La Passion Destructrice

d’asservissement ? Le capital est t-il la condition de l’accomplissement de l’homme ou non ? L’argent est-il un principe d’humanité ou d’animalité ? L’argent est-il une fin ou un moyen ? La super puissance de l’argent est elle bénéfique ou destructrice ? Définitions : Liberté : C’est « l’obéissance à la loi qu’on s’est prescrite » d’après Rousseau Etre libre c’est le fait de vivre selon son essence. L’essence c’est ce qui nous différencie des autres et il s’agit pour l’homme de la raison

lors bon à prendre ? Chaque plaisir peut-il nous procurer un bien ? Ou peut-il se révéler sur le long terme source de souffrance et de malheurs ? Ne doit-on pas alors veiller à nos plaisirs et les régler pour qu’ils ne se transforment pas en passion destructrice ? PLAN : I/ LE PLAISIR EST LA SEULE JOIE DANS UNE EXISTENCE FAITE DE SOUFFRANCE : -Tout individu recherche le bonheur, mais celui-ci n’est pas donné. Pour beaucoup, il est illusoire. C’est que l’existence humaine contient son lot de

de l’Homme : peut-on se connaître soi-même ? Le terme de moraliste n’existe que depuis 1762, lorsqu’il est entré dans l’encyclopédie ayant comme définition : « écrivain qui traite les mœurs ». Mais comment ces conceptions s’opposent à propos des passions, ces mouvements de l’âme qui emportent vers le Bien ou le Mal ? Pour cela, nous verrons dans un premier temps que l’Homme mis en scène par Corneille et décrit par La Fontaine possède une vision positive. Nous étudierons ensuite que la citation de

divertissement. Pour Pascal, ce n'est qu'un leurre. Objectif de convaincre, plus que de persuader, ce qui éloigne ce texte des Essais, plus souple dans la pensée. Lignes 23 à 26 : Prolongement de la thèse. Présence d'une oxymore “passion agréable” (rappel : étymologiquement, la passion vient du latin patior qui veut dire souffrir). ⇒ Impression de trouver le bonheur dans les occupations ludiques ou sportives. Ce n'est qu'un contournement de la prise de conscience de la condition humaine. Quels arguments

laquelle l’homme est dépendant et faible, par la longueur de l’existence. L’homme n’est donc pas défavorisé par rapport à l’animal sur ce point. Rousseau estime par ailleurs que les maladies sont, pour la majeure partie d’entre elles, l’ouvrage des passions, lesquelles ne se développent qu’à l’état social, rendant ainsi la médecine nécessaire. La santé n’est donc pas meilleure dans l’état social que dans l’état naturel, dans lequel les hommes n’ont, d’ailleurs, à craindre que la maladie sans avoir à

judiciaire. Apres cela il vivra toute sa vie dans la misère, endetté, et poursuivi constamment par ses créanciers. Baudelaire meurt en 1867 de la syphilis, maladie qui l’a rendu aphasique à la fin de sa vie. Un autre aspect important de sa vie est la passion amoureuse qu’il a connu. Il a profondément aimé trois femmes dans sa vie : Jeanne Duval, sa venus noire ; Marie Daubrun, l’actrice et Mme Sabatier, la passionnée d’art. Chacune très différentes, elles ont été de véritables muses pour le poète. De

roman total : Balzac veut également élargir les limites du genre ; le roman devient un drame romantique ; référence à Shakespear ("All is true") 3. Le réalisme balzacien : Intention d'intégrer des éléments du réel ; dimension visionnaire ; passion destructrice ; champ lexical religieux où les prêtres sont Mme Vauquer et Mme de Nucingen et le martyr Goriot Conclusion : Incipit novateur qui annonce le programme de Balzac

Andromaque (1667) Avec Andromaque , inspirée des récits mythologiques , Racine connaît son premier triomphe : -Passions exacerbées et destructrices -Pression d'un destin inexorable confrontations douloureuses et sublimes . Le roi Pyrrhus a enfin obtenu d'Andromaque , la veuve d'Hector , qu'elle consente à leur mariage ; il délaisse ainsi Hermione à qui il s'était promis . Pour obéir à celle-ci qu'il aime passionnément . Oreste vient d'assassiner Pyrrhus . Mais l'ordre d'Hermione était

l’échec de sa pièce La nuit vénitienne. Ses œuvres chantent la violence de la passion dans un langage libre et fantaisiste qui mélange les genre. Sa liaisn passionnelle avec George Sand inspire son roman La confession du siècle (1836) et Les nuits (1835-1837), marqué d’un lyrisme profond. Sa vie de débauche se retrouve chez les personnages ambilants qu’il met en scène, habités d’idéaux mais hantés de pulsion destructrices tel Octave dans les Caprices de Mariannes (1833), ou Lorenzaccio. Dans ce passage

affaiblie par la maladie et par la douleur ; mais je meurs du cruel déplaisir que vous m'avez donné. Fallait-il qu'une action aussi extraordinaire que celle que vous aviez faite de me parler à Coulommiers eût si peu de suite ? Pourquoi m'éclairer sur la passion que vous aviez pour monsieur de Nemours, si votre vertu n'avait pas plus d'étendue pour y résister? Je vous aimais jusqu'à être bien aise d'être trompé, je l'avoue à ma honte ; j'ai regretté ce faux repos dont vous m'avez tiré. Que ne me laissiez-vous