La Peine De Mort Ironie

lieux (Florence-Venise) et par un rétrécissement du temps (les scènes I à IV ont lieu dans la même journée du 6 janvier ; les scènes V à VII le lendemain matin). Tout d’abord, l’intrigue dramatique centrale se referme apparemment bel et bien sur la mort du duc Alexandre de Médicis : la formule employée par Lorenzo à l’attention de Scoronconcolo (« Attends ! Tire ces rideaux. », scène XI de l’acte IV) est une métaphore qu’opère l’auteur, perpétrant une mise en abyme, un théâtre dans le théâtre. L’action

cher cousin, est-ce que vous ne plaignez pas le sort des femmes ? Voyez un peu ce qui m'arrive : il est décrété par le sort que Coelio m'aime, ou qu'il croit m'aimer, lequel Coelio le dit à ses amis, lesquels amis décrètent à leur tour que, sous peine de mort, je serai sa maîtresse. La jeunesse napolitaine daigne m'envoyer en votre personne un digne représentant chargé de me faire savoir que j'ai à aimer ledit seigneur Coelio d'ici à une huitaine de jours. Pesez cela, je vous en prie. Si je me rends

pensées du perso. Or pas de cela ici. 1) le narrateur se contente d’enregistrer Comme si on était plus proche d’un PDV externe. ⇨ La nouvelle de la mort de sa mère ouvre le texte : brièveté de la phrase : simple constat + télégramme, peu de détail. Plus aucun détail supplémentaire ensuite. Lexique de la mort très discrèt. ⇨ Dans les paragraphes suivants, le personnage valorise des détails en principe insignifiants : abondance indices spatio-temporel ; demande de congé ;

des lumières Italien né en 1738 est le père du droit pénal moderne. Il introduit des nouvelles notions juridiques dans son ouvrage Des délits et des peines. Il est le premier à faire une véritable argumentation contre la peine de mort, et il prône une proportionnalité de la peine par rapport au crime. Ses idées sont très bien reçues à son époque par les autres philosophes des lumières, mais aussi par le reste de la population. En effet, il est le premier à proposer une révision de la justice pénale

Maupassant et la mort de Balzac. En 1852, c'est le Second Empire. En 1865 vient  Les Goncourt , Germine Lacerteux puis en 1967 vient « Thérèse Raquin » de Zola. En 1870, c'est la guerre avec l'Allemagne et la chute de l'Empire. 1An après la IIIè République débute. En juin 1876, c'est la mort de George Sand, Flaubert a même écrit à son fils : « J'avais commencé UN COEUR SIMPLE à son intention exclusive, uniquement pour lui plaire. » En 1877, Zola écrit « L'ASSOMMOIR » En 1880, c'est la mort de Flaubert

-Le but de son œuvre -Sa surprise devant les critiques qui ne comprennent pas Chapitre 1, commentaire littéraire Objectif du chapitre : Placer les personnages dans un lieu qui va les déterminer Lieu malsain, maladif, qui nous fait penser a la mort. Les êtres se comportent suivant des facteurs qui les déterminent, ils ne sont que des produits de leur condition humaine. Zola donne dès l’incipit l’explication de ce qui va suivre. Axe 1 : Une description réaliste d’un lieu étrange, le passage

de figure mythologique monstrueuse. Pour figurer cette longueur de vie, Cyrano recourt en effet au creuset des références mythologiques qui constituent une complicité d’hommes cultivés : la Parque, unes des trois fileuses du destin qui décide de la mort des hommes, se mêle à la représentation du Temps comme progression par son mouvement de la marche. De sorte que le temps, par le biais de la référence antique, prend une forme anthropomorphique. L’écriture , grâce à la fiction de dialogue, joue à s’emballer

virulente de la monarchie et de l'injustice du pouvoir (symbolisé par l'aumône). Ironie du sort, Bélisaire qui était un grand général, mendie au pied d'un monument évoquant la gloire militaire Bélisaire : Général de Justinien, qui fut l'un des plus grands capitaines de son temps. Impliqué dans un complot contre Justinien, il eut les yeux crevés par ordre de l'Empereur en 561 après J.C et fut aussi dépouillé de tout ses biens. Ironie du sort, Bélisaire qui était un grand général, mendie au pied d'un monument

physiologiques ("maladie"). De l'autre, se manifeste le platonisme mièvre des femmes pour lesquelles la passion revêt l'aspect d'un romantisme désuet.  Remarque sur leur réaction : comme si l’amour ne pouvait frapper que des êtres fins et distingués. Ironie du narrateur. -Champ lexical de l’argumentation : discussion, des exemples, d’autres exemples, prétendaient, l’opinion, combattait vivement cette croyance, je vous répondrai que, arbitre, son avis… (dans les premières lignes). -Différences entre

l’auteur d’un bref traité « De la supériorité des femmes » – paradoxe difficilement soutenable au XVIe siècle, tout aussi insoutenable d’ailleurs en ce siècle d’érudition que celui « De l’incertitude et vanité de toutes les sciences et les arts ». Une ironie caustique, déstabilisatrice, se donnait libre cours dans ce genre de declamatio, exercice de virtuosité pure au départ mais où pouvaient se glisser des idées dérangeantes et stimulantes à la fois pour un esprit en quête de liberté. 4Ce genre littéraire