La Peine De Mort Ne Reduit Pas La Criminalité

Anthologie poétique et artistique La peine de mort Table des matières Préface………………………………………………………………………………… 3 Introduction…………………………………………………………………………… 4 Poèmes………………………………………………………………………………... 5 Le dernier chant………………………………………………………………. 5 Contextualisation Illustration Commentaires sur les œuvres Contre la peine de mort………………………………………………………. 7 Contextualisation Illustration Commentaires sur les œuvres L’exécution…………………………………………………………………… 13 Contextualisation

Techniques Financières et d'Ingénierie - CETFI Centre de Recherche en Matière Pénale Fernand Boulan Groupe Européen de Recherche sur la Délinquance Financière et la Criminalité Organisée Mémoire présenté pour l'obtention du Master professionnel Economie-Droit, spécialité : « Prévention & répression de la délinquance financière et de la criminalité organisée » La corruption privée : un risque majeur pour les entreprises Présenté et soutenu par : Pierre Rocamora Sous la direction de : Vonny MANOUK Octobre

d’un condamné de Victor Hugo, Livre de Poche crigess@yahoo.fr Problématique : Le récit romanesque peut-il devenir argumentatif ? Le dernier jour d’un condamné est-il seulement le témoignage d’un condamné à mort ? Ne peut-il pas être considéré comme un plaidoyer contre la peine de mort ? Objectifs : - le récit, œuvre intégrale - Enonciation : locuteur/destinataire ; reprise nominale et pronominale ; indicateurs spatio-temporels - la singularité des textes

Nom : Joseph Vacher Surnom : "L’Eventreur français ", "Le Jack l’Eventreur du Sud-Est", "Le Tueur de bergers" Né le : 16 novembre 1869, à Beaufort (près de Beaurepaire) dans l’Isère (France) Mort le : 31 décembre 1898, à Bourg-en-Bresse (guillotiné) Un tueur en série peu connu, qui fut pourtant surnommé le "Jack l’Eventreur français", dont il était contemporain. A la fin du 19ème siècle, Joseph Vacher a égorgé au moins 20 femmes et enfants avant de les mutiler et de les violer. Il est probable

de droit pénal ou de droit criminel, ces termes sont inadaptés à ce cours car au niveau terminologique on parlerait du droit des crimes (infractions) quant au droit criminel. On devrait plutôt parler de droit pénal, mais celui-ci est le droit de la peine. L'appellation de droit criminel ou droit pénal n'est pas une acception qui permet exactement de rendre compte du programme. Section 1 : contenu du droit pénal Le droit pénal contient différentes disciplines dont certaines sont juridiques et

délinquance. L’inégalité du taux de délinquance des filles et celui des garçons n’a pas reçu d’explication complète. L’inégalité est, au moins en partie, justifiée par la différence dans les contrôles familiaux et par un contrôle social différent. La criminalité des filles reste moins agressive, moins violente. B) Les définitions de la personnalité criminelle : Mucchielli, pour établir une psychologie de la personnalité criminelle, distingue deux époques : avant et après la Seconde Guerre mondiale

DROIT PENAL GENERAL   Le droit pénal est la branche du droit qui détermine quelles sont les conduites antisociales et en quoi consiste la réaction de la société contre ces divers comportements.   I)L’OBJET DU DROIT PENAL.     Droit de la peine = sanction infligée par l’état à ceux qui menacent gravement l’ordre social. Nous allons étudier quand il y a lieu à sanction et quelle sanction doit être appliquée.  La sanction n’est infligée que si la personne est responsable. Nous n’étudieront pas

tension entre l’efficacité et des prescrits légaux qui font qu’on ne peut pas tout faire, c’est là que se pose le problème éthique (Dirty Harry, il a face à lui une victime qui est kidnappé, il trouve le mec et le torture, il retrouve le kidnappé, mais mort car trop tard, et le kidnappeur ne peut pas être poursuivi car les aveux ont été trouvés dans la torture). Parfois il n y a pas d’autre moyens que de contourner la loi par des moyens sales, comme

disparu. Le corps n’est plus la cible majeure de la répression pénale. Cette transformation a donc lieu à la fin du XVIIIe siècle, et au début du XIXe, et deux processus se sont mêlés : 1. L’effacement du spectacle punitif : Le cérémonial de la peine tend à entrer dans l’ombre, pour ne plus être qu’un nouvel acte de procédure ou d’administration. En effet, la punition à cessé peu à peu d’être une scène. Et tout ce qu’elle pouvait emporter de « spectacle » se trouvera désormais affecté d’un indice

l’individu vient rétablir l’équilibre des intérêts => idée très forte dans nos civilisations occidentales. Idée de la souffrance administrée pour faire expier la faute (idée chrétienne) ; souffrance = rachat de la faute. Fonction rétributive de la peine. Ce système de raisonnement est très présent dans nos sociétés. Cela peut conduire à une sévérité du droit pénal, qui peut paraitre un peu gratuite si on est partisan des thèses utilitaires. Idée de responsabilité morale. Kant a écrit sur ce fondement