La Pension Vauquer Conclusion

          Au delà de ces règles, le Sonnet respecte plus ou moins certaines modalités de construction qui constituent un art de la composition, indissociable du genre :          - la chute : le dernier vers du sonnet doit apparaître comme une brève conclusion, brillamment formulée. Ce sera une image expressive résumant le tableau décrit par le poème, une formule satirique spirituelle (une "pointe"), un effet de surprise, une sorte de morale éclairant le sens du texte, etc... (voir sur ce point le développement

société française dans ses moindres détails. L’observation remplace donc l’imagination. C’est pourquoi les descriptions balzaciennes sont toujours très fouillées : le lecteur peut ainsi, dans Le Père Goriot, se représenter très exactement la pension Vauquer et ses pensionnaires. Quant à Flaubert, il s’est appuyé sur ses propres recherches médicales pour décrire l’empoisonnement d’Emma dans Madame Bovary. Le naturalisme rejoint le réalisme dans ce projet de ne dépeindre la réalité qu’après des

« méditer sur les ppes naturels et voir en quoi les Sociétés s’écartent ou se rapprochent de la règle éternelle, du vrai, du beau ? » « Ainsi, dépeindre la Société devait porter avec elle la raison de son mvt ». « l’œuvre, pr être entière, voulait une conclusion »-> n’implique pas un dénouement (cf notes Pléiade) ms caractère démonstratif & explicatif. -« la loi de l’écrivian, ce qui le fait tel… > à l’Hô d’Etat, est une décision qqconque sur les choses humaines, un dévouement absolu à des ppes » « instituteur

sa poétique romanesque. Mais Balzac n’avoue pas la fonction poétique de cette science: selon lui, Lavater a inventé une « véritable science ». Et chaque personnage est doté à l’occasion par Balzac de cette « science » physiognomoniste, telle maman Vauquer, dans Le Père Goriot, qui diagnostique le fort tempérament de Goriot à partir de son nez, qu’il avait fort développé. On pourrait relever aussi la vive curiosité de Balzac à l’égard des physiciens comme Galvani ou Volta, des chimistes comme Berzelius

société. Microcosme du livre renvoit au macrocosme. Les personnages sont des échantillons représentatifs des types. Une réunion semblable devait offrir et aux frais en petit les éléments d'une société complète. Toute sa personne explique la pension comme la pension implique sa personne. Le texte transforme poirée en type à travers une description à fonction explicative. On l'explique par son appartenace à une classe et une espece. Celle ci explique son comportement vis à vis du commissaire. La dscription

Lecture troisième : la mort solitaire du père : pp.237-238 (pp.480-484) « Aucune répondit le vieillard en se dressant sur son séant. » à « Et me voilà à la porte de mes filles. » La mort du père Goriot est la conclusion logique de toute l’action qui conduit le personnage de l’amour passionné, à la dépossession de soi, à l’expérience de l’ingratitude jusqu’à la mort misérable et solitaire. Goriot passe de l’état de celui qui compte car il a la fortune à l’abandon le plus total, au mépris de tous

avec l’utilisation du discourt indirect libre Q6 : L’écrivain met en relief le volonté d’évolution social au moyen de trois symbole : la montagne que julien gravi; l’épervier, oiseau de proie dominateur, référence littéraire a l’empereur napoléon Conclusion : Il s’agit ici d’un extrait de roman réaliste car le cadre spatio-temporel est le reflet de la société contemporaine de Stendal : le héro est un jeune précepteur, on y trouve le motif de l’argent. Julien Sorrel correspond au type du jeune-homme

d'église, son corsage trop plein et qui flotte, sont en harmonie avec cette salle où suinte le malheur, où s’est blottie la spéculation, et dont madame Vauquer respire l’air chaudement fétide sans en être écœurée. Sa figure fraîche comme une première gelée d'automne, ses yeux ridés […], enfin toute sa personne explique la pension, comme la pension implique sa personne. Le bagne ne va pas sans l’argousin, vous n’imagineriez pas l’un sans l’autre. […] Son jupon de laine tricotée, qui dépasse sa première

il est décrit comme un prédateur. Le paragraphe se finissent par une interrogation directe et rhétorique du héros ,, C'était la destinée de Napoléon, serait-ce un jour la sienne ?’’ pour soutenir une tension dramatique, mais aussi ironique. En conclusion, cet extrait fait partie d’un roman realiste qui pose un problematique entre et contre le desir de reussit et le prix a payer. C’est un texte marque par la sensebilite romanesque pour les desirs des certains puissances par impuissances.

sortir la statue du bloc de marbre. Le personnage vient s’insérer dans un tissu social ou dans un monde. JeanJoachim Goriot est un ancien négociant enrichi dans le commerce du vermicelle, des pâtes d’Italie et de l’amidon, qui s’est retiré à la pension Vauquer, au quartier latin… et il semble que, si on le rencontrait dans la rue, on le reconnaîtrait… Balzac va même jusqu’à détailler la généalogie de ses personnages. C’est aussi l’aptitude créatrice du romancier à donner à son personnage un physique