La Pension Vauquer Conclusion

exposition Importante partie centrale: la montée d’un drame, le conflit père/fille conclusion: phase dramatique (plus rapide) Le Père Goriot 1834-35 : Section: scènes de vie privée Histoire: éducation parisienne d’un jeune provincial noble, mais pauvre (Rastignac), la misérable existence d’un vieillard qui s’est ruiné pour amour de ses filles Cadre: pension sordide de Mme Vauquer Personnages. Rastignac, Père Goriot, ses filles,Vautrin, une héritière répudiée par

l’histoire […] des moeurs ». Si l’on assigne au roman cette mission, il devient logique de gommer le plus possible les traces de fiction dans les personnages créés : en leur donnant un nom – Mme Vauquer dans Le Père Goriot –, un milieu et un décor minutieusement calqués sur la réalité – une pension comme il y en avait beaucoup à Paris –, une existence sociale, le romancier fait son oeuvre de « peintre de la réalité ». Le roman se lit alors comme un témoignage auquel le lecteur peut trouver

cerner les gens qui l’entourent et qui pourrait l’intéresser voire l’aider… Ce monde corrompu sera donc celui qui aidera à l’ascension de Duroy car s’il n’était pas un tel nid de tromperies et de comédies, notre héros n’aurait eu aucune chance. CONCLUSION Cet incipit très révélateur de l’avenir du héros : nous le découvrons qui masque ses manques et sa pauvreté sous des apparences, qui essaie de trouver de l’argent pour s’en sortir, qui va bousculer les autres et utiliser les femmes pour arriver

des analepses, c’est-à-dire des rétrospectives, ou des prolepses, c’est-à-dire des anticipations. Ex. : dans Le père Goriot, Balzac raconte l’activité de vermicellier du personnage éponyme après avoir raconté son comportement de retraité à la pension Vauquer : il s’agit d’une analepse. Ex. : dans l’extrait proposé de Thérèse Desqueyroux, Thérèse raconte un événement qui s’est passé antérieurement. — La vitesse du récit est constituée par le rapport entre la durée de l’histoire et le nombre de pages

écrire « l’histoire […] des mœurs ». Si l’on assigne au roman cette mission, il devient logique de gommer le plus possible les traces de fiction dans les personnages créés : en leur donnant un nom – Mme Vauquer dans Le Père Goriot –, un milieu et un décor minutieusement calqués sur la réalité – une pension comme il y en avait beaucoup à Paris –, une existence sociale, le romancier fait son œuvre de « peintre de la réalité ». Le roman se lit alors comme un témoignage auquel le lecteur peut trouver de l’intérêt

l'égoïsme et l'avidité de ses filles. Les premiers temps, sa fortune lui permettait d'habiter au premier étage dans l'appartement le plus cossu d'une pension de famille. Il était alors Monsieur Goriot. « Goriot vint muni d'une garde-robe bien fournie, le trousseau magnifique du négociant qui ne se refuse rien en se retirant du commerce. Madame Vauquer avait admiré dix-huit chemises de demi-hollande, dont la finesse était d'autant plus remarquable que le vermicellier portait sur son jabot dormant deux

apparentent cette scène à un triomphe à l’antique ou à une cérémonie de couronnement. Relevez les champs lexicaux et les figures d’analogie de cette scène. b) Relevez le champ lexical du regard et classez ses éléments en fonction de qui regarde. Quelles conclusions pouvez-vous en tirer ? c) « Il allait lentement, d’un pas calme, la tête haute, les yeux fixés sur la grande baie ensoleillée de la porte. » : analysez la construction de cette phrase et montrez comment son rythme traduit la solennité de l’instant

la maison, la description, par l’emploi de ces différentes expressions, est en outre marquée par un effet de disparate. 2. Quelle est la fonction de la pancarte située à l’entrée ? Dans Le Père Goriot, la pension Vauquer est annoncée par un écriteau indiquant « MAISON VAUQUER, et dessous : Pension bourgeoise des deux sexes et autres 1 ». De même, la pancarte « VERGNIAUD, NOURICEURE » indique ici l’entrée de la masure. Dans les deux romans, l’écriteau désigne la fonction du bâtiment. Balzac, en reproduisant

d’une philosophie. La technique balzacienne se manifeste en particulier dans la composition du roman. Le langage quotidien, le rythme se caractérise par un premier temps descriptif, puis des scènes convergentes qui apportent tension et finalement la conclusion résolutive en chute. Par la peinture des mœurs la Comédie humaine constitue le document le plus précieux sur la Restauration et de la Monarchie de Juillet. L’auteur souligne le rôle du pouvoir, les dangers de la presse, le rôle de l’administration

Méridional : il «avait un visage tout méridional, le teint blanc, des cheveux noirs, des yeux bleus». Et, en tant que Méridional, s’il est audacieux, il est prompt au découragement comme aux retours d’optimisme.  Rastignac à son arrivée à la pension Vauquer se trouve vite à la croisée des chemins entre le vice et la vertu.  Son éducation ne sera pas celle de l’étudiant qu’il est censé être mais celle du jeune provincial qui se frotte à la société parisienne, se fait à travers diverses expériences