La Pension Vauquer Conclusion

véritable génie de l'observation. De 1807 а 1813, pensionnaire au Collège oratorien de Vendôme, Balzac revient une seule fois dans sa famille. Il a évoqué ces années de collège dans Louis Lambert. À partir de 1814, il poursuit ses études dans une pension à Paris, puis à la faculté de Droit. Il fait un stage chez un avoué Me Guyonnet de Merville, qui servira de modèle au Derville de ses romans. Mais, appelé par la vocation littéraire et certain de son propre génie, il s'installe, à vingt ans, dans

humaine rend compte de la société françaises dans ses moindres détails. L'observation remplace donc l'imagination et c'est pourquoi les descriptions balzaciennes sont toujours très fouillées ( Père Goriot où est très exactement représenté la pension Vauquer et ses pensionnaires ). Quand à Flaubert, il s'est appuyé sur ses propres recherches médicales pour décrire l'empoisonnement d'Emma dans Madame Bovary qui se suicide faute d'avoir vécu la vie romanesque dont elle rêvait. Le naturalisme rejoint

tout en évoquant le motif récurrent dans la littérature fantastique de l'animation d'une ÷uvre d'art. Dès le début du roman, le lecteur est donc intrigué par le mystérieux Frenhofer, personnage étrange et quasiment diabolique dans ce passage. Conclusion La première apparition du vieux Frenhofer amorce bien l'intrigue du Chef-d'÷uvre inconnu. Ce  portrait  détaillé et minutieux d'un vieux peintre, initié par le point de vue d'un jeune peintre et comparé nalement à un tableau, suscite d'emblée

royal: La Fronde, contre Louis XIV et Anne d’Autriche (1648-1653): p.129-130. Une certaine agitation intellectuelle MAIS centralisme (palais de Versailles): p. 127, censure et sous Louis XIV on allait vers l'écrivain professionnel: système des pensions. (2de partie) Qui est écrivain : les hommes d’Eglise, les nobles, la bourgeoisie => Corneille, Pascal, Molière, Racine, Boileau, … Le courant idéaliste: le roman héroïque et galant => encore une forme de la littérature courtoise. L'amour est centrale

de sa classe : le luxe n’est pas entré dans sa salle à manger où une table carrée, une chaise à patins garnie de coussins et deux fauteuils de canne n’ont rien de remarquable si ce n’est leur commodité. Une incurie annonciatrice du décor de la pension Vauquer, dans Le Père Goriot, menace même avec « le gros taffetas ciré que, par un usage immémorial, mademoiselle Gamard laissait pendant le déjeuner sur la table, sans avoir égard ni aux bords usés ni aux nombreuses cicatrices de cette couverture »13

alors bien plus nombreux que les aga- 352 Revue critique cements généraux, et l’on ne retiendra que ceux-là. Citons, en particulier, la remarquable analyse du motif de la grille chez Balzac (p. 16-24), ou encore l’objet « jupon » de Mme Vauquer (p. 30-31) : intelligentes, audacieuses, souvent même amusantes, ces pages sont des modèles de micro-lectures, et prouvent avec brio que l’analyse littéraire générale de qualité n’a pas besoin de s’encombrer de positionnements théoriques excessifs

Roosevelt, décide d'utiliser la bombe atomique, récemment découverte (le premier essai a eu lieu en juillet 1945) sur Hiroshima le 6 août 1945, puis sur Nagasaki le 9 août, ce qui amène la capitulation sans conditions du Japon le 2 septembre 1945. Conclusion : la seconde guerre mondiale se termine là où elle avait commencé, en Extrême Orient après huit années de guerre (six en Europe) et soixante millions de morts. Les grands vainqueurs en sont les Etats-Unis et l'URSS. Le XXe siècle « littéraire »

; on n’entendait ni leurs pas, ni leurs mugissements ; et la cloche, sonnant toujours, continuait dans les airs sa lamentation pacifique. À ce tintement répété, la pensée de la jeune femme s’égarait dans ses vieux souvenirs de jeunesse et de pension. Elle se rappela les grands chandeliers, qui dépassaient sur l’autel les vases pleins de fleurs et le tabernacle à colonnettes. 20 Frédéric, pour rejoindre sa place, poussa la grille des Premières1, dérangea deux chasseurs avec leurs chiens

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .22 Structurer son propos . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .24 Préparer la conclusion de la synthèse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .26 CULTURE GÉNÉRALE 3 Que faire de l’objet devenu inutile ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Lors de la présentation d’un texte, procédez de la manière suivante :· A l’oral, comme à l’écrit, il faut un plan  · Commencer par présenter le texte · Appuyer les interprétations pas des citations extraites du texte· Ne pas oublier d’annoncer la conclusion de la présentation· Passer à la lecture en suivant les instructionsCorpus d’étude : I / III - La proseLa Parure (1884)  [Guy de MAUPASSANT (1850-1893)] Nouvelle (texte narratif)Mme Loisel connut la vie horrible des nécessiteux