La Pensée Et La Logique

fonda dans un premier temps sur la nouvelle logique contemporaine, issu des travaux de Gottlob Frege et Bertrand Russell à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, pour éclairer les grandes questions philosophiques. Sa démarche s'appuie sur une approche analytique, et donc sur une analyse logique du langage, cherchant à mettre en évidence les erreurs de raisonnement qu'il peut induire, et viser ainsi à la clarification des idées et concepts. La logique et la philosophie du langage furent les

Depuis la naissance de la philosophie et l’apparition du logos, les philosophes ont cherché à organiser les champs du savoir grâce au travail de la pensée rationnelle. Dans les textes extraits des pensées de Pascal que nous étudions aujourd’hui, c’est bien dans ce questionnement que s’inscrit l’auteur. Entre les théologiens d’un coté et les rationalistes de l’autre, Blaise Pascal propose de déterminer la place de la connaissance par le cœur. La difficulté pour lui est de ne pas opposer ces deux modes

couple avec une femme jalouse, possessive et parano ce fut le cas pour moi. Parfois, le pêcher d’omission est préférable si vous ne voulait pas vivre une situation délicate. J’étais allé faire du magasinage avec une collègue de ma classe sans arrière-pensée, mais tout cela sans informer ma copine. Le soir en rentrant, elle était assise dans la pénombre de notre appartement. Elle me posa une question, « ou étais tu », je réponds, « je rentre de mes cours », une dispute éclata. Elle m’avait vu dans le

chaque culture, la variation est ce qui caractérise toute culture. En même temps il n’y a pas de culture sans un système de règle. Rien n’est donc antagonique. Ceux sont ces règles qui sont le fruit de l’œuvre de l’homme, elles sont l’expression de la pensée humaine, individuelle ou plus souvent collective, commune. Si l’homme institue un ordre, c’est dans la mesure où il parle (caractère crucial du langage), il n’y a pas de culture sans langage, et inversement. L’homme s’exprime dans ce qu’il réalise

le cogito, le "je pense" est pensé par moi, et donc je me pense. Aucune théorie métaphysique ultérieure ne pourra réfuter ceci, car cette théorie, pensée par moi, et parlant de moi (puisque étant métaphysique) fournit elle-même un exemple ou je pense sur moi. La pensée de soi nécessite la potentialité d'action sur soi, et est d'autant plus grande que celle-ci est importante. En effet, si quelqu'un d'autre me pense, cela ne modifie pas mon état, mais si je me pense, cette pensée a lieu en moi, et

disposées d'une certaine manière en relation avec quelque chose * 4.3 Les incorporels * 4.3.1 Le dicible (ou exprimable) * 4.3.2 Le vide * 4.3.3 Le lieu * 4.3.4 Le temps * 4.4 Tableau récapitulatif * 5 La logique * 5.1 La rhétorique * 5.2 La dialectique * 5.3 Les dicibles * 5.4 Les propositions * 5.4.1 Les propositions simples * 5.4.2 Les propositions non simples * 5.5 Raisonnement et démonstration * 5.5.1 L'implication

adapter (se croit être le messie, etc). * La culpabilité : lorsqu’elle n’a aucun rapport avec la réalité et qu’on est responsable de rien (se croit responsable du tsunami, de la mort d’untel car il a souhaité sa mort à un moment, fait référence à la pensée magique). * L’hypocondrie : concerne la transformation du corps, ou la présence d’un corps étranger dans le notre (alien, etc). * L’influence : la conviction d’être contraint à penser ou à agir de force. * La référence : conviction d’être

(Descartes) 2 1. La révolution cartésienne 2 2. Je pense, donc je suis 3 3. La logique du système cartésien 4 B. Sujet transcendantal et moi empirique (Kant) 5 1. Le « Je pense » est un principe d’unité qui est la condition de toute pensée 5 2. Transcendantal et transcendant 6 C. Le cogito est une illusion grammaticale (Nietzsche) 7 1. Le doute interdit d’utiliser les concepts de Je et de pensée 7 2. Deuxième falsification : l’introduction d’une causalité

symboliques ; elles évoquent en effet le monde de la culture. Une langue symbolique est une langue où le signe contient l’image de la chose qu’il désigne. - Le signal Les signaux ne sont pas un langage (ex : signaux du code de la route) : il n’y a ni pensée ni dialogue. Le signal a pour but de faire agir. - La voix Elle a un pouvoir (ex : orateur politique) : convaincre / séduire par la voix. La rhétorique, quant à elle, vise à persuader. - L'ambiguïté C’est la propriété d'un mot ou d'une suite de

crise éco et sociale, le roi décide le grand Renfermement, les miséreux, délinquants, fous et pervers sont enfermés dans les hôpitaux généraux. Mais évolution de la façon de concevoir la folie : Avec la révolution française rationalisation de la pensée scientifique, courant humaniste, aliénisme (pinel est nommé a Bicêtre) Question éthique : peut on mélanger malades et criminels ? Comment protéger l’ordre public ? Essuierol préside une commission qui décide d’un lieu de placement unique