La Pensée Néoclassique

manifeste, essentiellement dans l’art architectural et pictural, ce retour à l’Antique par la reprise de codes esthétiques. Enfin nous nous focaliserons sur l’analyse d’œuvres marquantes d'un art plus « classique ». En effet, certains artistes néoclassiques reprennent des thèmes antiques pour les réinterpréter. I- Critiques et théories du Retour à l'Antique a) La critique et théories de retour à l'antique - Chénier, Diderot En parlant du néoclassicisme, de ce ''second'' retour à l'antique au niveau

référence, un maitre ouvrage. Il s’intitule la Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie, 1936. Dès 1932, Keynes écrit à son ami Bertrand Russel, philosophe. « Je suis entrain de rédiger un ouvrage qui va révolutionner la façon dont on pense au fonctionnement de l’économie ; ce non pas pour les prochaines années, mais probablement d’ici 10 ans. » Keynes aura de ce point de vu une prévision auto-réalisatrice i.e. une prévision qui s’est parfaitement réalisée, ceci d’ailleurs sans véritable

concrètement leurs idées ? Nous suivrons tout d’abord le cheminement de la pensée Marxiste puis nous aborderons les théories Keynésiennes. Au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, Karl Marx, dresse une critique virulente du capitalisme,  notamment dans son œuvre Le Capital, publiée en 1867. Il prône l’avènement du mon ouvrier (le prolétariat) et la chute des capitalistes (le patronat) en vue d’une société communiste. La pensée de Marx tourne principalement autour de la « lutte des classes » .Pour

HISTOIRE DE LA PENSEE ECONOMIQUE Introduction: C'est vers la fin du XVIéme qu'arrive la pensée économique. Avant cela restait une question vaste. Au XVI apparait alors l'économie politique (terme d'A. De Montchrestien). On va alors s'intéresser aux moyens d'accroitre la richesse. Def classique de la pensée politique : s'intéresse à la production des matières, la répartition des revenus et la consommation. A l'époque, on s'est intéressé à l'État (fascination) notamment avec le mercantilisme

orthodoxie : la firme comme « nœud de contrats » Coase et la nature de la firme Les analyses précédentes se situent en dehors du noyau central de l’enseignement économique. Elles sont sur bien des points en opposition avec l’orthodoxie néoclassique. A partir des années 70, la théorie économique de la firme va être profondément renouvelée, sur une autre base : la redécouverte d’un article de Coase datant de 1937 qui n’avait connu jusque-là que peu d’audience. Il soulève la question de la nature

conduit à changer de système économique de façon à supprimer la propriété privée des moyens de production. Chapitre 3 : L'ecole néoclassique I- Les fondements théoriques de l'école néoclassique A- Le contexte économique Née de la révolution marginaliste dans les années 1870, l'école néoclassique a renouvelé l'analyse économique en mettant en place un nouveau paradigme faisant autorité aujourd'hui. Il tente d'expliquer les choix qui gouvernent les agents économiques

modèle de SOLOW et SWAN (1956) qui servira de base à la plupart des études récentes sur la croissance (BARRO, 1990,1992). II.1.1 L'analyse néoclassique de la croissance : le modèle de Solow-Swan (1956) À la question « qu'est ce qui fait croître la production ? », les néoclassique répondent : les facteurs de production. « L'on peut, selon la conception néoclassique, rapporter à trois sources distinctes la croissance de la production, à savoir : croissance de la main d'oeuvre, croissance du capital,

le lien entre les systèmes techniques et l’homme. Il est donc important que les décisions tiennent compte des facteurs humains (besoins, qualifications) mais aussi de l’environnement (mécanisation, conditions de travail). III) Historiques des pensées organisationnelles Le schéma ci-dessous représente l’évolution des différentes théories des organisations depuis le début du XXIème siècle. Il est important d’expliquer brièvement toutes les écoles qui ont permis d’aboutir à la création

nous verrons plus en profondeur les théories du capital humain, de la prospection d'emploi et des contrats implicites, qui elles s'inscrivent dans le courant de pensée néo-classique. Enfin, nous terminerons avec les théories de la régulation, de la segmentation et des marchés internes, qui se distinguent fortement du courant de pensée précédent et qui nous apportera une façon différente de voir l'économie classique. Tout d'abord, je parlerai du paradigme néo-classique. Celui-ci a pour caractéristique

l’intégration régionale à la création d’une zone de libre-échange ou d’une union douanière – considérées comme un second best – caractérisées par l’élimination, à l’échelle régionale, des barrières commerciales et des mesures discriminatoires. Les auteurs néoclassiques insistent sur l’unification des marchés nationaux au sein d’un marché régional qui respecte les conditions générales de l’équilibre. Toutefois, certains sont extrêmement critiques à l’égard de l’intégration économique car les groupements régionaux