La Pensée Néoclassique

développement du Sud. On exposera ces théories et leurs implications en termes d’approches du développement à travers un plan en cinq parties : 1°/ Les théories de la croissance endogène : un dépassement des difficultés posées par la théorie néoclassique traditionnelle et non réglées par le modèle de Solow. 2°/ La croissance endogène : une synthèse remarquable de travaux et d’acquis, récents et plus lointains, de la théorie économique. 3°/ La croissance endogène : dissociation entre intérêt

la performance 1.2.1. La compétitivité et l'efficacité des entreprises Quand nous parlons d’efficacité cela se réfère à l’art du management. Ce dernier a évolué et ne combine plus seulement les facteurs de production de manière optimale mais pense également à servir également les clients. Selon SIMON et MARCH le rôle du manager est essentiel. C’est ici que la notion de fonctionnement humain apparait. 1.2.2. L'environnement de l'entreprise Le changement rapide et imprévisible de l’environnement

production. Développement : Les conditions de la concurrence pure et parfaite ont été explicitées par Frank Knigh en 1921. La concurrence pure et parfaite représente un des deux cas extrêmes de structures de marché étudiés par les économistes néoclassiques, le second étant le cas de monopole. La concurrence parfaite est censée permettre l’équilibre sur tous les marchés sous des conditions suffisantes très particulières. Chaque marché doit remplir les quatre conditions suivantes : l’atomicité : le

hiérarchie des problématiques en conformité avec les problèmes de son temps. Face à l'urgence de la situation, Keynes laisse donc de côté la thématique de l'allocation des ressources et de l'accumulation du capital, rompant ainsi avec la théorie néoclassique. On le voit bien ici, la théorisation est intimement liée aux problèmes historiques jugés «  importants  » par la communauté des économistes.  Ainsi, une des raisons essentielles qui placent l'économie dans l'incapacité de souscrire aux injonctions

Économie Générale Chapitre préliminaire : histoire de la pensée économique I. Introduction L’économie générale porte sur l’économie de marché. Marché = lieu physique ou se rencontraient des acteurs (agents économiques) certains produisaient et essayaient d’échanger entre eux le résultat de leur production => relation bilatérale. Très vite cette relation bilatérale s’est transformée en relation de concurrence. La monnaie va arriver dans un premier temps pour faciliter les échanges mais elle a aussi

devient surabondant dépend des individus. Si les classiques avaient une vision de long terme avec une perspective dynamique dans laquelle était mis en avant, notamment avec Smith, l’accumulation du capital, il n’en demeure pas moins pour les néoclassiques qui se sont orientés vers une conception plus restreinte de l’économie où il n’y pas de but lointain. Ils font une hypothèse d’une offre donnée de facteurs de production et ils vont étudier comment les agents économiques peuvent procéder à la meilleure

(polis). Antoine de Montchrestien exposait en 1615 la manière pour la France de devenir puissante. - science économique : analyse scientifique (utilisent les maths notamment la statistique). La théorie économique (=pensée économique) débouche sur 3 courants : - Classique et néoclassique (économie libérale) ( Ils deviendront les Libéraux. - Keynésien (KEYNES) : économie libérale mais avec intervention de l’Etat. - Socialiste marxiste : collectivisme. Définition des libéraux (un exemple) :

entre l'augmentation de la X° (croissance) avec le niveau de l'emploi. III°Les grands courants de la pensée économique 1)Les pensées libérale La pense libérale né au XVIII° siècle ac les travaux de Adam Smith suivi plus tard par David Richards et J.B Say. Les précurseurs de cette pensée apparaissent formellement au plus tard des le XVI° siècle avec les Mercantilistes, ce courant de pensée envisage la prospérité des nations et du souverain par l'accumulation des métaux précieux. Il fallait

institutions nationales INSEE + Eurostat Banque de France les institutions internationales FMI BCE OCDE B. Les grands courants de pensée. Il y a 3 paradigmes : libéral avec Adam Smith (1723-1790) marxiste avec Karl Marx (1818-1883) Keynésien avec John Keynes (1883-1946) Les premières pensées économiques datent de l'Antiquité jusqu'au Moyen-Age. Cela étant lié à la morale avec : Platon Aristote Saint Thomas D'Aquin A la renaissance, pour

dans le monde occidental, la branche la plus influente de la théologie séculière – parce qu'elle peut être formulée, et l'est habituellement, de manière à échapper à toute espèce de contrôle [...] On n'a aucune peine à montrer ce que les écoles de pensée et les caprices de la mode en économie doivent à l'air du temps et au débat idéologique »8. Jacques Sapir fait, lui, remarquer que ce n’est qu’en … s’acceptant comme des chercheurs en sciences sociales que les économistes peuvent mettre fin à la