La Pensée économique Des Grecs Rejoint Elle Celle De La Modernité

 1-Introduction au Moyen Âge : Le nom Moyen Âge désigne la période de l’histoire qui est passée entre la fin de l’Antiquité en 476, avec l’effondrement de l’Empire romain d’Occident, et le début de la Modernité en 1492, avec la découverte du Nouveau Monde. C’est pendant cette période que se forment la plupart des nations européennes avec leur identité culturelle toujours existante, et que l’on assiste à un grand déploiement d’énergie et au développement

et la vérité ne s’opposent pas, c’est a dire qu’il n’y a pas de liberté pour tous, si la liberté est celle de tout faire si elle n’est pas sérieusement encadré par une vision d’ensemble c’est a dire si elle n’est pas ajusté. D’autres états nations se sont introduit dans els institutions européennes, dont l’ambition est moins de faire une construction politique que d’organiser un espace économique élargie et donc a coté du projet politique des pères fondateurs coexiste un projet moins ambitieux politiquement

l’espace public qui apparaît dans les villes méditerranéennes : les cours intérieures (éléments traditionnel de la maison urbaine en Méditerranée, cf l’atrium romain) sont accessibles, mais ont bien souvent un statut semi privé dans les medinas (ici celle de Damas), les impasses nombreuses et correspondent souvent à des familles élargies ; à Naples, on ne vit pas à l’intérieur, mais dans la rue, où on sort les fers à repasser, parfois les fourneaux et même l’étal de marchandises ; par les nuits trop

mouvements qui viennent de l´extérieur et qui éclatent à l´intérieur, en éclaboussant le domaine de l´art occidentale. Outres les visites d´Aimé Césaire en 44 et de Breton en 45, il y a eu celle d´Alejo Carpentier en 1941 qui alimente et déplace le débat esthétique en Amérique latine. Il y a eu également celle de Wilfred Lam qui témoigne d´un intérêt grandissant des américains et des européens pour la peinture naïve ou primitive haïtienne. D´ailleurs, c´est en 1945 et 1946 que cette peinture envahit

leur opinion artistique hors des cadres institutionnels pour s'adresser au public, restent liés aux institutions ; leur démarche était de s'opposer à une idéologie (Heartfield envers le Nazisme) ou au contraire de participer à la propagation d'une pensée politique. Malgré la fin des idéologies imposées dans l'art moderne, les artistes actuels reprennent cet héritage à leur compte en exprimant leur engagement profond par rapport aux institutions. Notamment, lorsque leur sensibilité y est perturbée

l’imprimerie et une redécouverte des textes antiques. C’est une démocratisation du savoir. La découverte de l’Amérique par Christophe Colomb en 1492 coïncide avec la réunification du Royaume d’Espagne (Conquête des Amériques et de l’Espagne). La Modernité est une rupture épistémologique, c'est-à-dire, une rupture avec le savoir. L’Eglise a le monopole du savoir, elle peut imposer ses vues (condamnation de Copernic, etc.) C’est le magistère de l’Eglise basé sur l’autorité des Ecritures. C’est un savoir

LE POUVOIR STRATÉGIQUE DES MÉDIAS LES MOYENS DE PROPAGER AGENDA D’une part, ils décident de ce qui apparaîtra comme significatif ou urgent, enclenchant une spirale de l’attention (plus on en parle, plus c’est important, donc plus on en parle). Celle-ci suppose a contrario une spirale du silence où s’enfoncent les événements, les courants, les opinions ainsi laissés dans l’ombre. L’exemple le plus choquant est celui des « guerres invisibles » ; des événements aussi graves que des conflits sanguinaires

influencé les arts : littérature, musique, peinture, etc. Difficile reconstruction sociale et économique de la France, qui a perdu plus de 1 300 000 hommes pendant la Grande Guerre, et dont les infrastructures sont fortement endommagés Les années folles [pic] Max Beckmann, Tanz in Baden-Baden (1923) Bayerische Staatgemäldesammlungen (Munich) La Grande Guerre est suivie d’une nouvelle prospérité économique de 1922 à 1929 : Seconde révolution industrielle Rationalisation du travail (Taylor)

l'oeuvre d'art» dans Chemins qui ne mènent nulle part. Gallimard nrf (Classiques de la philosophie). Paris; 1962 [1950] (320 - 2 p.) [p. 11-68]. Sans admettre qu'il faille parler d'art chez les Grecs ou chez les Égyptiens et surtout avant (aux temps préhistoriques), il faut mentionner que pour les Grecs de l'Antiquité, la poésie est une technique qui s'accompagne de musique; seule la poésie est un "art", qu'elle prenne la forme du poème ou de la tragédie, du dithyrambe ou de l'épopée. La poésie

existe aujourd’hui un écart significatif entre le discours savant de l’histoire de l’architecture au xxe siècle et la somme des expériences qui l’ont façonnée. À une histoire officielle qui privilégie la connaissance des grandes œuvres icônes de la modernité ou des parcours biographiques de ses maîtres, fait place la néces‑ sité d’étudier cet ensemble d’expériences qui se sont déroulées conjointement dans l’espace et le temps pour adapter les innovations théoriques aux réali‑ tés sociales et culturelles