La Personnification Du Temps

base carrée, de 125 mètres de côté et de 300 mètres de hauteur". Le projet de Gustave Eiffel est retenue. Par la suite des artistes connus tel que Garnier, Maupassant, Zola et Huysmans, publient une lettre ouverte le 14 février, dans le journal Le Temps, nommée Les artistes contre la Tour Eiffel. Dans cet article, ils s'opposent aux projet dont la modernité effrayaient et demandent au directeur des travaux publics, M. Jean-Charles Alphand, de reconsidérer son choix de construire la tour Eiffel.

du Mans comme sur une scène. -Dans un premier temps, nous allons parler de la forme, des moyens utilisés et des nombreuses figures de styles qui rendent cette description pittoresque -Dans un deuxième temps, nous allons voir en quoi les comédiens collent a la réalité, pourquoi l’extrait s’apparente-t-il a une entrée théâtrale ? -Dans un dernier temps, nous verrons ce que nous apporte ce texte, et si le lecteur est lui aussi

, paru en 1913. A la fois élégiaque, lyrique et cubique, Apollinaire évoque sa vision des thèmes du monde et des nouveautés du XIXème et XXème siècle dans ce poème cyclique de vers libres non ponctués et dans lequel la notion de temps semble brouillée.Nous nous demanderons en quoi ce poème est à mi-chemin entre la nouveauté créatrice et la tradition poétique?L’extrait à l’étude

malheurs des passagers du « Vittoria ». L'état de panique des africains est introduite et mise en valeur par l'utilisation du passé simple, qui a une valeur ponctuelle, dans la phrase « La panique s'empara très vite du bateau » ainsi que par la personnification de la panique dans cette même phrase. Cette phrase introduit donc la liste des fatalités dont sont victimes les passagers qui se rendent compte que leur situation est des plus critique. Ces infortunes sont appuyées par l'anaphore « Personne ne

du Mans comme sur une scène. -Dans un premier temps, nous allons parler de la forme, des moyens utilisés et des nombreuses figures de styles qui rendent cette description pittoresque -Dans un deuxième temps, nous allons voir en quoi les comédiens collent a la réalité, pourquoi l’extrait s’apparente-t-il a une entrée théâtrale ? -Dans un dernier temps, nous verrons ce que nous apporte ce texte, et si le lecteur est lui aussi

préciosité) On retrouve le baroque dans le théâtre, la poésie ainsi que dans le roman. Dans le théâtre, le héros n’est pas soumis à une fatalité, il est maître de ces choix. Dans la poésie, les poètes exprimes leurs sentiments devant l’amour, la nature, le temps, la mort etc. Mais c’est aussi une inspiration satirique qui critique les ridicules de l’époque. Ensuite, le roman présente aussi deux tendance : L’une, l’idéalisme de l’homme, a la recherche d’un amour spirituel et l’autre, dans une veine réaliste

la nature. L'auteur utilise-t-il le rêve et/ ou le registre de l'éloge ? Nous allons voir dans un premier temps comment la présentation des lieux traduit l'idéal de l'auteur, et ensuite nous verrons comment se définit la société dont rêve l'auteur. Nous pouvons, en premier lieu, remarquer que Rousseau parle de lieux idéal pour lui : Il compare par le biais d’une personnification de « la tuile […] qui à l’air plus propre et plus gaie que le chaume » (4) ; ensuite, il utilise le terme « mon

| |NOM |DEFINITION |EXEMPLE | |ALLEGORIE n.f. |Personnification d'une idée abstraite |- Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! | |ALLITERATION n.f. |Répétition d'une ou de plusieurs |Allitération en [s] dans Colombine de Verlaine : | |

Principales figures de style -Allégorie : Personnification d'une idée abstraite Exemple : « Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! » -Allitération : Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots Exemple : Allitération en [s] dans Colombine de Verlaine :     Cassandre sous son   Capuce -Anaphore : Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers Exemple : Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits 

Les figures de style TABLEAU RECAPITULATIF | NOM | DEFINITION | EXEMPLE | ALLEGORIE n.f. | Personnification d'une idée abstraite | - Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! | ALLITERATION n.f. | Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots | Allitération en [s] dans Colombine de Verlaine :     Cassandre sous son     Capuce | ANAPHORE n.f. | Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers | - Partout l’image idée, partout la pensée