La Philosophie Nous Eloigne T Elle Du Réel

de l'esprit, on distingue alors le produit qui serait le résultat créatif d'une activité industrielle ou artisanale et l'œuvre d'art conçue pour représenter dans des formes et des structurations d'éléments interagissant une perception construite réelle ou transcendante. Alors on pose cette question qu'est ce que l'art ? Dans l'usage courant on associe souvent le thème de l'art à celui de la beauté. L'œuvre d'art serait alors la représentation esthétique d'un idéal. Cependant toutes les œuvres

que pour l’apparence. p-216 : Deuxième volet : la critique de la philosophie par Calliclès. Dans tout ce discours, Calliclès dit que la philosophie est une activité nuisible car elle nous rend faible et incapable de défendre nos intérêts véritables. Calliclès est un misologue (haine de la raison). Elle nous éloigne, nous isole des autres, des non-philosophes. Elle marginalise. Elle coupe de la cité. Calliclès dit que la philosophie, c’est bien qund on est jeune, mais pas quand on est vieux. Quand

André Comte-Sponville est né le 12 mars 1952 à Paris. C'est un philosophe et enseignant. Il est l'auteur de nombreux ouvrages de philosophie accessible à tous. C'est un philosophe humaniste, il a remis la recherche de la sagesse au goût du jour et a écrit beaucoup de thèmes classiques traités par les philosophes antiques ou des siècles passés, y compris sur la philosophie politique. Jusqu'à ses 18ans il a eu la foi mais il dit, je cite: «l'une des rares choses dont je suis sûr en ce domaine, c'est

d'idéologie : il voit l'idéologie comme un système d'opinions servant les intérêts de classes sociales. Acceptions actuelles du terme idéologie Une définition dérivée est celle d'une doctrine politique fournissant un principe unique d'explication du réel, susceptible d'inspirer rapidement un programme d'action et constituant un ensemble cohérent d'idées acceptées sans réflexion critique. L'idéologie est une notion beaucoup plus large que celle de doctrine (qui est la dimension intellectuelle de l'idéologie)

– Les hommes sont souvent animés par le désir de posséder les derniers objets qui viennent d’être découverts et qui sont le fruit de progrès techniques ou de progrès culturels ; plus qu’une question de mode, ces objets sont le signe d’un réel progrès social et sont la source d’un bonheur plus grand. Thèse – Lucrèce condamne une forme de délire de possession qui est source de souffrances psychologiques et de conflits entre les hommes ; comme Epicure, il incite les hommes

dit-il, qui ont spéculé sur la signification de la vie et sur destinée de l’homme n’ont pas assez remarqué que la nature a pris la peine de nous renseigner là-dessus elle-même”. Les philosophes n’auraient donc pas vu l’évidence, s’en seraient même éloignés préoccupés qu’ils étaient par leurs rationalisations, voire par leurs ratiocinations. Bergson adresse, là, à ses pairs, une sérieuse et sévère critique. En fait, pour être plus précis, il semble qu’il ne critique pas tant les philosophes eux-mêmes

l'abstraction1. L'évolution de la peinture allemande a certes préparé l'apparition de l'art abstrait. Mais ce sont les fauves qui ont donné le ton, avec le triomphe de la couleur pure, et qui ont laissé entrevoir comment les objets perdent leur apparence réelle, ce qui allait conduire ensuite au cubisme. C'est ainsi que l'indépendance de la forme a rejoint celle de la couleur dès 19107. Seul Kandinsky resta indifférent aux recherches cubistes et ne prendra pas la tête d'un mouvement abstrait, comme le firent

scientifiques mais ils s’intéressent a l’écriture. Les femmes qui tiennent des salons ont des petits labos et font des expériences et des maths. Vulgarisation scientifique. - L’encyclopédie de Diderot et d’Alembert 1745-1772. Bilan du savoir (philosophie, maths, planches de savoir) paru en 8 tomes mais le 8e n’est pas sorti a cause de la censure. II) le courant préromantique : Sentiments affectifs, c’est l’opposé du rationalisme, parle de la nature, des sentiments, utilisation

engendré des conceptions nouvelles du monde. Elles ont bouleversé les mentalités, réformées des dogmes établis. Elles ont par la forte constatation des épreuves passées par la démonstration et les logiques évidentes, étayé des thèmes favoris à la philosophie, à la métaphysique et à la spiritualité des êtres. Des questions comme : D’où venons-nous ? Où allons-nous ? Sommes- nous seuls dans l’univers ? Sont devenues des questions récurrentes à la science. La quête du « comment » a fini par rejoindre

phénomènes permis l’édiction de différentes lois véritablement scientifiques. Voici devant nos yeux la fameuse révolution copernicienne, le passage de l"obscurantisme" d'un géocentrisme à l'éclairage soudain de l'héliocentrisme introduit par Kant en philosophie, une révolution de l'entendement. Les objets, en eux-mêmes ne se trouvent à l’origine d’aucun savoir.Les racines de la connaissance est la raison elle-même, la "productrice" selon le mot de Kant (l. 16). La raison désigne donc chez lui tout ce qui