La Poesie Est Elle Un Moyen De Fuir La Realité Ou De S En Rapprocher

de "démesure" (ubris, en grec), pour cela il doit être puni. Antigone est l'instrument des dieux, Hémon le moyen, Créon la victime. Lui seul est puni en fin de compte. La mort d'Antigone n'est en rien une punition, puisqu'elle n'a commis aucune faute, au regard de la loi divine - au contraire. La tragédie est celle d'un homme qui avait cru à son bonheur et que les dieux ramènent aux réalités terrestres. Représentée dans un Paris encore occupé, Antigone à sa création a suscité des réactions passionnées

des caractéristiques spécifiques. On peut constater que la représentation du démoniaque, et de manière plus générale de Satan, varie au gré des mouvances culturelles. Le dix-neuvième siècle a convoqué la figure de Satan pour circonscrire le mal, le fuir, l’exorciser ou l’encenser. On s’attendait à ce que le mythe s’évanouisse après le XVIIIe siècle qui se voulait scientifique et raisonnable. Mais, « c’était sans compter sans la passion des foules pour le merveilleux et l’insolite, que traduisit

du siècle » qui caractérise leur époque. Alfred aime Pauline mais ne peut espérer qu’un amour platonique. Il semble désabusé, incapable d’envisager l’avenir. Horace, lui, se tourne vers le crime, se plaçant au-dessus des lois pour échapper à une réalité ennuyeuse. Quant à Pauline, pure et naïve, elle ne parvient pas à comprendre ses propres sentiments (lors de sa rencontre avec Horace) et paraît incapable d’admettre son amour pour Alfred. Soumise à la fatalité, elle préfère se cacher d’Horace plutôt

dans la revue de l’académie. Il s’était choisi poète, écrivant des vers latins et se distinguant dans cet exercice. Il eut pour amis et condisciples Ernest Delahaye (son futur biographe) et Paul Labarrière, avec lesquels il découvrit la nouvelle poésie dans l'’’Anthologie du Parnasse contemporain’’, en 1866. En 1868, à l'occasion de la première communion du prince impérial, il lui envoya une ode latine. En 1869, alors qu'il était en classe de rhétorique, trois de ses compositions latines furent

dans la revue de l’académie. Il s’était choisi poète, écrivant des vers latins et se distinguant dans cet exercice. Il eut pour amis et condisciples Ernest Delahaye (son futur biographe) et Paul Labarrière, avec lesquels il découvrit la nouvelle poésie dans l'’’Anthologie du Parnasse contemporain’’, en 1866. En 1868, à l'occasion de la première communion du prince impérial, il lui envoya une ode latine. En 1869, alors qu'il était en classe de rhétorique, trois de ses compositions latines furent

Au Salon d’automne, en 1905 : MATISSE, VLAMINCK DERAIN FRIEZ MARQUET 1906 : idem + Dufy, Van Dongen et Braque. 1- une proximité mais pas une école : quelques regroupements les élèves de l’atelier de Gustave MOREAU (« en art, plus les moyens sont élémentaires, plus la sensibilité apparaît ») : MATISSE, ROUAULT, MARQUET les coloristes qui s’épanouissent dans le midi de la France et traduisent leur sérénité par la joie de la couleur : MANGUIN, PUY, LEBASQUE L’école de Chatou (région

août 1888 au Théâtre de Cluny - Inédit jusqu'en 2009 par les Ed. Nicolas Malais. • Les musardises – 1890 – Recueil de poèmes – Ed. Lemerre (1890), Ed. Nouvelle (1887-1893), Ed. Fasquelle (1911). • Ode à la musique – 1890 – Poésies lyriques écrites pour l'inauguration de la maison de Jules Griset et présentées le 23 mars 1891 au Théâtre du Châtelet sur une musique d'Emmanuel Chabrier. • Les deux Pierrots – 1892 – Pièce en un acte et en vers (refusée par la Comédie

narratif » du terme. Le lieu où se déroule l’action n’est souvent pas cité avec précision (dans « en attendant Godot », on sait que l’action se déroule dans une lande, sans plus de précision). Le temps est lui-même tourné à l’absurde par certains moyens (pendule sonnant un nombre improbable de fois ). Volonté de créer un spectacle total : utilisation de mime, de clown, d’un maximum d’éléments visuels, soucis du détail dans la mise en scène, jeux de lumières, de sons. La toile de fond de l’action

Méthode de travail :· Travail en individuel et en groupe · Apprentissage collaboratif (basé sur l’interaction)· Travaux dirigés · Corpus d’étude : extraits de textes littéraires : · I / III - Prose · II/ III- Poésie · III/III- Théâtre · Types d’évaluation : mode oral· Evaluation formative · Evaluation sommative (contrôle final en individuel) INTRODUCTION I- LECTURE ET ANALYSEPouvoir analyser un texte littéraire

aimer et désirer jusqu’à vouloir mourir n’est pas une réalité qu’on raconte ou qu’on analyse du dehors, mais une expérience qu’on ne peut comprendre qu’en la vivant.” Il serait néanmoins à noter que cette superposition entre les deux plans opposés entraîne l’un à se métamorphoser graduellement pour se confondre dans l’autre. La passion de Chauvin et Anne se confond parfaitement avec la fin du récit, avec le drame qui les a, au départ, rapprochés. Le décalage allant décroissant va finir par unir