La Politique Monetaire Chez Les Classiques

* 3.1.1.8 Les Utopies finales (IVe-Ier siècle av. J.-C.) * 3.1.2 Le Monde Romain * 3.1.2.1 Rome * 3.1.2.2 L'apport de la première chrétienté * 3.1.2.3 La « Cité de Dieu » et L'« Augustinisme politique » * 3.2 L'économie au service du Bien Commun : L'époque médiévale * 3.2.1 Naissance et évolution du système domanial * 3.2.2 Le fonds culturel commun * 3.2.2.1 Apport judéo-chrétien * 3.2.2.2

domination bourgeoise. • Il en découle une position clairement libreéchangiste et une méfiance vis-à-vis des ÉtatsNations  controverse avec R. LUXEMBURG 2) La spécialisation internationale selon les Classiques anglais : • Mais c’est bien sûr l’école libérale, avec comme pères fondateurs les Classiques anglais Adam SMITH et David RICARDO, qui a fondé les bases de ce qui est aujourd’hui la théorie du libreéchange. 2) La spécialisation internationale a - L’avantage comparatif absolu, selon SMITH :

les monnaies étaient définies entre elles en fonction d’une certaine quantité d’or. Cela signifie bien entendu une stabilité absolue des changes. Au sens strict, le système de l’étalon-or respecte les caractéristiques suivantes : l’unité monétaire nationale est définie en une certaine quantité d’or, la monnaie obéit aux règles de la convertibilité ; la monnaie fiduciaire (billets) en circulation est proportionnée aux réserves d’or de la banque centrale ; l’or est librement frappé ;

Dans cette citation, Adam Smith (Classique) marque une rupture entre son école de pensée et celle des Mercantilistes. Les Mercantilistes et les Classiques sont deux écoles de pensées souvent considérées comme opposées. Les Classiques étant la continuité des Physiocrates et ces derniers ont basés leur analyse dans l’objectif d’être anti-Mercantilistes. Mais nous pouvons tout de même trouver des continuités entre l’analyse des Mercantilistes et celle des Classiques. Beaucoup de questions se posent

ECONOMIE POLITIQUE Examen : Quatre questions de cours on répond à deux soit une synthèse du cour ( plus de réflexion). CHAPITRE 1 : LA MONDIALISATION DE L'ECONOMIE Nous allons voir quelles sont les différentes dimensions de la mondialisation qui est un processus long qui à démarrer au 15ème siècle. -> petit recul de la mondialisation dans l'entre deux guerres, -> depuis la fin de la seconde guerre mondiale relance de l'économie ( org. mondiale du commerce), -> mondialisation par la

science (point de vu objectif) Analyse normative : explique le monde tel qu’il devrait être en s’axant sur les changements à effectuer et les objectifs à atteindre (point de vu subjectif) Les deux principaux courants dans l’économie sont : Le courant classique : régulation automatique des marchés, l’intervention de l’Etat n’est donc pas nécessaire Le courant keynésien : il faut que l’Etat intervienne pour réguler les déséquilibres économiques. - La finalité de l’économie est de satisfaire les besoins

COURS complet sur la Monnaie et la politique monétaire : * Introduction * Monnaie : désigne l’ensemble des moyens de paiement, directement utilisable pour effectuer des règlements sur le marché des biens et services (et aussi sur le MT) * Ensemble actifs monétaires acceptés partout, par tous et en tout temps pour le règlement des dettes issues de l’échange, peut être détenu, prêté, échangé, conservé * Pas un bien de consommation car ne procure pas directement de la satisfaction

est l'équilibre La pensée mécaniste (et les analogies mécaniques) vont avoir une influence profonde sur toutes les sciences. Dans une large mesure faire de la science reviendra à construire un modèle mécanique de la réalité étudiée. L'économie « politique », lorsqu'elle va devenir une « science économique » va aussi imiter la mécanique. Jevons est considéré comme l'un des précurseurs de l'économie mécanique, à l'instar de Fischer et sa représentation mécanique de l'économie. La pensée mécaniste

disponible courant c’est-à-dire le revenu national brut (Y) net d’impôts et des charges sociales (T) : soit Yd= Y-T. Cette fonction a été développée par John Maynard Keynes. a) La fonction de consommation keynésienne : le revenu courant Chez Keynes la consommation des ménages s’explique essentiellement par le revenu disponible courant. Il base son analyse sur ce qu’il appelle la loi psychologique fondamentale selon laquelle : en moyenne et la plupart du temps, les hommes tendent à accroître

des agents économiques : c’est une grandeur désirée mais pas forcément réalisée. La demande de monnaie est une encaisse monétaire désirée. C’est la quantité de monnaie qu’un agent souhaite détenir à une période. La demande de monnaie n’est pas le retrait en billet ou en pièce sur le compte d’un particulier. Cette notion d’encaisse monétaire désirée est apparue en Angleterre chez des économistes de l’école de Cambridge (PIGOU et ALFRED MARSHALL qui seront les professeurs de KEYNES) mais également en