La porte s'ouvre

robe noire, sous laquelle on entrevoit la livrée qu’il portait au premier acte. Meurs avec ta livrée enfin sous ton linceul ! -Dieu ! Si ce démon vient voir sa victime morte, il pousse un meuble de façon à barricader la porte secrète. Qu’il n’entre pas du moins par cette horrible porte ! Il revient vers la table. -oh ! Le page a trouvé Guritan, c’est certain, il n’était pas encor huit heures du matin. Il fixe son regard sur la fiole. -pour moi, j’ai prononcé mon arrêt, et j’apprête mon supplice, et

constitue une des trois parties de cette «　cathédrale　» : Du coté de chez Swann. Dans ce passage, Swann est interpellé par la sonate de Vinteuil et pense à ce qu’il a ressenti pour Odette, et ce que cette mélodie leur a apporté. 　 Le paragraphe s’ouvre sur 2 expressions de Swann : «　temps ou j’étais heureux, temps ou j’étais aimé　» (l.2) le mot «　temps　» nous montre qu’il s’agit de souvenirs vécus du temps ou il était avec Odette, le souvenir est accentué par l’emploi de l’imparfait «　j’étais »

œuvre de Zola, le roman illustre la théorie des tempéraments, l'impossible équilibre entre les nerfs et le sang ,l'esprit et la chaire . Le récit étudie les réaction au sens scientifique du terme des personnages faces aux situation le roman s'ouvre sur un chapitre descriptif ou l'en découvre le pont neuf puis la boutique ou vit la famille Raquin ..Ici la boutique nous apparaît déjà comme le véritable tombeau ou vont succombé les personnages : le décor est représenté le soir et qualifier de sinistre

coule. Les draps s'humectent, tout se mouille. L'armoire s'ouvre violemment ; un mort en sort et s'abat. Certes, cela n'est pas réjouissant. Mais c'est un plaisir que de frapper une belette. Bien, ensuite il faut la clouer sur un piano. Il le faut absolument. Après on s'en va. On peut aussi la clouer sur un vase. Mais c'est difficile. Le vase n'y résiste pas. C'est difficile. C'est dommage. Un battant accable l'autre et ne le lâche plus. La porte de l'armoire s'est refermée. On s'enfuit alors, on est

succession: - elle s'ouvre à la mort - elle peut s'ouvrir à la succession - la date de l'ouverture est la date du décès - le dernier domicile Les éléments en italique: Héritiers légaux: il s'agit ici de l'ordre légal des héritiers, tel qu'il est fixé par le Code civil. Ils peuvent prétendre à la succession. Tous les proches du défunt. Donation entre époux: Transfert immédiat ou différé d'un bien ou somme d'argent au conjoint à n'importe quel moment de la vie qui porte sur des biens présents

souffrance du poète A. La solitude 1. La trahison des sens qui renforce la solitude. - la vue dans les vers 10 à 15 : « J’ai cru qu’une forme voilée / [...] Elle s’efface et disparaît» ; - l’ouïe dans les vers 31-35 : « Ne frappe-t-on pas à ma porte ? / [...] Qui vient? qui m’appelle ? — Personne. 2. La souffrance engendrée par la solitude. - souffrance physique ( tout mon corps frissonne »? v. 34) - souffrance morale (analyse des exclamatives déploratives: « Ô solitude! Ô pauvreté », v

d’exposition : début jusqu’à « Jean et Bérenger se sont assis » DÉCOR Une place dans une petite ville de province. Au fond, une maison composée d’un rez-de-chaussée et d’un étage. Au rez-de-chaussée, la devanture d’une épicerie. On y entre par une porte vitrée qui surmonte deux ou trois marches. Au-dessus de la devanture est écrit en caractères très visibles le mot : « EPICERIE ». au premier étage, deux fenêtres qui doivent être celles du logement des épiciers. L’épicerie se trouve donc dans le fond

dans ses questions couchées sur le papier devant moi, et là je me suis mis à écrire, tout venait tout seul et je ne pouvais noter que les grandes lignes tellement les idées arrivaient toutes simultanément… Ça y est, moment fatidique…. La porte s’ouvre, on vient me chercher, un peu surpris à l’entente des mots « enlèves ta chemise, ta chaussure, tes bijoux, remonte une jambe de ton pantalon et mets cette pantoufle. » Puis le bandeau sur les yeux…. Stupeur… Mais toujours pas d’appréhension, je

Anthologie poétique La Mort Une Fin inévitable Epitaphe Il a vécu tantôt gai comme un sansonnet, Tour à tour amoureux insoucieux et tendre, Tantôt sombre et rêveur comme un triste Clitandre. Un jour il entendit qu'à sa porte on sonnait. C'était la Mort ! Alors il la pria d'attendre Qu'il eût posé le point à son dernier sonnet ; Et puis sans s'émouvoir, il s'en alla s'étendre Au fond du coffre froid où son corps frissonnait. Il était paresseux, à ce que dit l'histoire, Il laissait

typographique Le 1er paragraphe commence par une phrase pérempoire annoncant la thèse. Plus loin, des mots logiques indiquent une opposion tel que : 'et cependant', ou encore 'jamais personne' qui montre une forte négation. Le 3ème paragraphe s'ouvre sur une interrogation : ' qu'est – ce donc ' : qui montre une conclusion et une réponse à la question. On observe donc une évolution précise : 1er paragraphe : énonciation de la thèse et son développement 2ème paragraphe : objection explicitée