La Poésie Descriptive

flamboiement ▪ Le champ lexical de la beauté ▪ Le champ lexical évoquant des êtres de haut rang et esprits supérieurs. ▪ La gradation ascendante ▪ Les imparfaits de description/ verbes de mouvement ▪ Groupe nominal à valeur descriptive doublé d’un superlatif de supériorité  La beauté éclatante du palais  Le palais brille, étincelle et frappe la vue.  Un palais de grande valeur, signe de richesse  La qualité des habitants du palais  Le luxe du palais / signe extérieur

VI. LE RENOUVELLEMENT DU LYRISME Lecture analytique 2/3 * Guillaume Apollinaire, Alcools (1913). « Crépuscule » Introduction « Ut pictura poesis » : « La poésie est comme la peinture », affirmait au Ier siècle avant Jésus-Christ l’auteur latin Horace, dans son Art poétique. Cette analogie n’a pas échappé à Apollinaire qui, quelques vingt siècles plus tard, dans son recueil poétique Alcools, publié en 1913, tisse régulièrement des liens entre littérature et peinture. Ainsi, le poème « Crépuscule

décasyllabe et du vers de quatre syllabes. Temps et amour s’unissent dans cette complainte. Ils créent ainsi le ton mélancolique comme le courant d’un fleuve. II Un poème de l’eau 1 L’atmosphère de la Seine Nous ne sommes pas dans une poésie descriptive : le décor se limite à deux éléments. C’est un poème d’atmosphère. Le mouvement de la Seine inspire le poète. Apollinaire reprend aussi le thème de la ville au travers su pont. Traditionnellement, le choix des artistes est plutôt un cadre verdoyant

supportent pas les interdits. Le parnasse est un courant littéraire qui est plus classique. Les parnassiens pensent qu’ils accéderont à la Beauté en vouant un véritable culte au travail, leur description des émotions se veut plus objective. Leur poésie est descriptive et ils veulent créer pour créer et non pour revendiquer une cause (ex : politique, morale ...) Baudelaire va prendre du courant parnasse l’importance accordée au travail et à la forme poétique. Au courant romantique, il va emprunter la conception

au discours indirect : « on parle » et au discours indirect libre « Mme Rouault ne s’amusait guère […] Surtout maintenant ». Emma est présentée/ ses manières / ses attitudes « elle grelottait » Le 2è P@ correspond à une pause descriptive qui s’attache a la chevelure d’Emma Le 3è P@ correspond a la recherche de la cravache de Ch : Emma est vu à travers ses actions « se penche » (l.36), « se redresse » (l.40), « regarde » (l.41), « en tendant » (l.42) = L’originalité

l’écho d’aucune parole, si ce n’est celle de Dieu. Le poète doit avoir qu’un modèle : la nature, qu’un guide : la vérité. Il ne doit pas écrire avec ce qui a été écrit, mais avec son âme et avec son cœur. « Hernani » pièce écrite en vers. Recueils de poésie : «  Odes et ballades » « les contemplations » dans ces recueils univers romantique avec un thème approfondi, dont la représentation du poète comme intercesseur entre Dieu et les hommes. Il pense que le poète a le devoir de guider les hommes avec

intervention des Etats Unis où il s’exile. Il revient en France où il s’installe en 1948 il s’éteindra à Saint-Paul de Vence le 28 mars 1985. . Ses œuvres, sont fortement empreinte du folklore et de la culture de ses origines, elles conjuguent la poésie au merveilleux : contractions d’espaces et envolées de personnages, chatoiement des couleurs. Ses tableaux présentent des caractéristiques du suréalisme ( andré Breton difinit comme : «  l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors

question progressive des genres littéraires : si la narration devient le genre de plus en plus dominant avec un roman polymorphe, les frontières avec l'autobiographie se troublent avec la mode de « l'autofiction » des années 1980-2000, tout comme la poésie tend à se confondre avec la chanson en même temps que l'œuvre de théâtre est remplacée par des mises en scène à partir de textes non spécifiques où le metteur en scène l'emporte sur l'auteur dramatique. Par ailleurs la deuxième moitié du siècle est

d’information et par le ton ces œuvres sont en parfaite harmonie avec l’idéologie coloniale et les buts du colonisateur : établir un ordre conçu comme étant la civilisation et la modernité. On pourrait penser qu’il en est autrement quand il s’agit de la poésie. La raison est surtout que l’entre-deux-guerres voit naître et se développer le mouvement de la négritude. Mais la négritude en tant que mouvement culturel ayant été illustré sur le plan litéraire par la production poétique, essentiellement celle

de la prose, dans sa concrétude phonétique comme dans sa dynamique énonciative textuelle, mais aussi dans l'impertinence de la présence au monde de certains discours, dits « littéraires ». Elle insiste sur l'artificialité du clivage « prose » vs « poésie », qui n'est jamais mobilisé que pour justifier certains paradoxe méthodologique. --- http://www.unicaen.fr/services/puc/revues/thl/questionsdestyle/print.php?dossier=dossier6&file=03freyermuth.xml Poétique de la prose ou prose poétique ? Le rythme