La Poésie Est Indéfinissable

diversement selon les cultures, les auteurs et les institutions. Selon l'usage le plus courant du mot  au XXIe siècle, l'art englobe principalement les produits de « beaux arts » tels que l'architecture,  la sculpture, la peinture, la musique, la danse et la poésie (et donc la littérature), auxquels on ajoute  fréquemment le cinéma, la gravure, le théâtre, la photographie, la bande dessinée, la télévision, voire  l'art numérique. La classification des arts n'est pas universelle et à part pour le 7e art (le cinéma) qui a eu 

auteurs. * Stefan Zweig était né à Vienne, où il fit ses études, le 28 novembre 1881. À vingt-trois ans, il était reçu docteur en philosophie et obtenait le prix de poésie Bauernfeld, une des plus hautes distinctions littéraires de son pays. Il avait alors publié une plaquette de vers et une traduction des meilleures poésies de Verlaine, écrit des 4 nouvelles et une pièce de théâtre. Mais il jugeait « que la littérature n’était pas la vie », qu’elle n’était « qu’un moyen d’exaltation

auteurs. * Stefan Zweig était né à Vienne, où il fit ses études, le 28 novembre 1881. À vingt-trois ans, il était reçu docteur en philosophie et obtenait le prix de poésie Bauernfeld, une des plus hautes distinctions littéraires de son pays. Il avait alors publié une plaquette de vers et une traduction des meilleures poésies de Verlaine, écrit des 4 nouvelles et une pièce de théâtre. Mais il jugeait « que la littérature n’était pas la vie », qu’elle n’était « qu’un moyen d’exaltation de

frissons de cœur, cette émotion de l’âme, cet alanguissement de la chair ? Pourquoi ce déploiement de séductions que les hommes ne voyaient point, puisqu’ils étaient couchés en leurs lits ? À qui étaient destinés ce spectacle sublime, cette abondance de poésie jetée du ciel sur la terre ? Et l’abbé ne comprenait point. Mais voilà que là-bas, sur le bord de la prairie, sous la voûte des arbres trempés de brume luisante, deux ombres apparurent qui marchaient côte à côte. 6 L’homme était plus grand

c’est dans cette direction qu’on veut découvrir quelque chose de neuf. Sal a vingt-trois ans et recherche des nouvelles formes d’écriture, il rejette le modèle normatif d’une société sclérosée. Avec ses amis : Allen Ginsberg, juif homosexuel fou de poésie et Neal Cassidy mauvais garçon qui, entre deux aventures, trouve le moyen d’aller à la bibliothèque, il fuit un monde qui lui déplaît. Il y a tant de façons de s’échapper : amphétamines, morphine, marijuana, benzédrine et alcool sont autant de compagnons

que le quotidien ? Le plaisir que nous avons à employer un objet resulte-t-il uniquement de l’adéquation à sa fonction ? Existe-t-il une «esthétique du quotidien» ? Ce mémoire retrace une réflexion personnelle autour du «concept» très large (indéfinissable) «d’esthétique du quotidien». Le terme «esthétique» est ambigu. Ainsi «l’esthétique du quotidien» peut vouloir dire deux choses en même temps : d’une part elle désigne une réflexion (théorique) sur l’art du quotidien, d’autre part elle renvoie

se fondant, le plus souvent, sur des lectures discutables des œuvres maîtresses du mouvement de la négritude. Il en va ainsi du Cahier d’un retour au pays natal sur lequel Soyinka a émis un jugement esthétique qui trahit son inconnaissance de la poésie césairienne. Il reproche à celle-ci qui se signale par son hermétisme d’avoir fait l’apologie de l’irrationalisme. Pour lui, « même Aimé Césaire à un moment a écrit dans un de ses poèmes : « Eia pour ceux qui n’ont jamais rien inventé faisant référence

armures dorées, des lambeaux d’étoffe, des machines  ; mais il y a je ne 7La vendea Chapitre sais quoi de grand comme la pensée  : le génie et la mort sont là  ; la Diane ou l’Apollon auprès d’un crâne ou d’un squelee, le beau et le désordre, la poésie et la réalité, de riches couleurs dans l’ombre, et souvent tout un drame immobile et silencieux. el symbole d’une tête d’artiste  ! Au moment où commence cee histoire, le brillant soleil du mois de juillet illuminait l’atelier, et deux rayons le

graves beautés demeureraient inaperçues. J'aime, dans les Contes du jour et de la nuit, comme une « causerie triste » d'un auteur tôt parvenu à ces jours où l'Illusion a cessé de faire aimer la vie, de nous bercer, de nous tromper : « Elle s'appelle Poésie, elle s'appelle Foi, elle s'appelle Dieu ! [...] Quelques-uns la perdent, cette illusion, la grande menteuse. Et soudain, ils voient la vie, la vie vraie, décolorée, déshabillée. Ce sont ceux-là qui se tuent [...]. Ils ont compris ; ils aiment mieux

logiques allèrent jusqu’à dire que les métaphysiciens parlaient dans le vide, que confondant vivre et connaître, ils étaient en quelque sorte de mauvais poètes, des musiciens sans don musical. Montaigne disait déjà que toute la philosophie n’est qu’une « poésie sophistiquée ». B. Les mathématiques On peut admettre que les principes logiques sont innés car ils ne font que poser une exigence de cohérence interne à la pensée qui est la condition du sens. Les mathématiques aussi paraissent évidentes