La Poésie Nous Concerne T Elle Vraiment

s’adresse directement aux enfants tout en restant un album de luxe: l’évolution de Babar qui commence avec l’âge où tous les éléphants se ressemblent (le texte permet de situer Babar dans la page). Puis vient l’âge de la socialisation. Le texte sert vraiment à décrire ce que l’on voit afin d’accentuer les évènements (sans le texte, impossible de savoir qui est Babar dans la première scène). La tourne de page est garante du suspense. On trouve à la fois des pages densément comblées et d’autres très blanches

venant de personnages aussi caricaturaux. Pour conclure,ce qui frappe dans cette scène d’exposition, c’est la liberté que s’accorde Musset par exemple en ce qui concerne l'arrivée sur scène de Blazius et de Pluche montant respectivement une mule et un âne. Mais,surtout il crée un comique nouveau, à mi-chemin de la farce et de la poésie. L’originalité de Musset est cependant à relativiser ou plutôt elle a un prédécesseur: Shakespeare, cher aux romantiques. Par delà les rapprochements de détails

grec a été le premier a avoir bati une poétique, une théorie de la littérature de l’époque et une théorie de la manière de comment lesoeuvres littéraires créent du sens. Il a crée aussi la métaphysique. Genres théatraux : comédie, tragédie, épopée, poésie Genre épidictique : l’éloge et la blame. On est dans le jugement de valeur, dans la valorisation extrême ou au contraire dans la dépréciation extrême. Genre délibératif : le Cid de Corneille. Lorsqu’on essaye de pser le pour et le contre d’une

au sein du groupe. Nous partageons ce que nous sommes car dire c’est transmettre. Notre parole est unique, nous nous servons de la langue pour la créer. Le symbole (mis en place par la parole) a également une grande puissance de communication. La poésie, les figures de styles… tout cela joue avec les mots pour exprimer des émotions que l’on ne parvient pas à expliciter clairement avec des mots précis. De plus nous sommes les seuls à avoir à notre disposition un langage corporel. Nous disposons de

à l'infinitif «chanter, jouer...) dans une énumération (1.31 à 33) : ces procédés insistent sur l'implication de l'individu (verbes) et ses multiples talents (effet de liste). Les domaines évoqués sont le chant, la musique et l'écriture (prose et poésie). L'harmonie du corps est également mentionnée à travers les combats équestres 1.33 à 39. Noter l'hyperbole exprimée à travers l'expression «jamais on ne vit» et les répétitions de l'adverbe intensif «si» et de «si bien». Remarquer également les

Marsuprisci Le 15 octobre 2010 Une fable contemporaine Un roman qui nous plonge dans un univers miséreux d'apparence sordide mais habité par des personnages auxquels on finit par s'attacher. Une sorte de fable qui dénonce avec une certaine poésie la décadence de notre société. Un roman teinté de réflexions philosophiques qui laisse plein de questions en suspens une fois refermé. Je retiendrai une phrase (même si elle a été citée maintes et maintes fois) qui résume assez bien les choses : «

Lubumbashi Les intérêts de définition de la littérature négro-africaine semblent fugaces et pour dissiper le malaise, il faudrait l’appeler « littérature française d’Afrique » ou encore « littérature française d’inspiration africaine » En ce qui concerne les caractéristiques de ladite littérature, celles-ci portent sur : - Les genres : tous les genres se retrouvent, mais l’essai est encore à l’état embryonnaire ; - L’écriture : celle-ci va de l’expression élitiste à celle d’une langue hésitante

roman du XIX en France constitue un ensemble généralement honoré par la littérature. Il constitue une norme à partir de laquelle on va évaluer les romans ultérieurs. Le roman au XIX est comparable à ce qu’était le théâtre pour le XVII ou encore la poésie pour la seconde moitié du XIX. La conception du genre se fait en lien avec la période concernée. L’étiquette « réaliste » collée aux romans du XIX rassemblerait les œuvres de Stendhal, Balzac, Flaubert et Zola. Ces quatre noms sont dans la tradition

grenouille et le boeuf, une rencontre qui amuse et surprend le lecteur. Ces deux animaux semblent très proches, il y a une syllabe qui les sépare. Illusion d'optique avec le verbe "voir". L'enjambement rend un rythme souple et rapide, on a donc une poésie qui s'adapte à la vivacité du récit, les règles poétiques permettent de cadencer et de rythmer le récit. Au vers 2 La Fontaine utilise le comique : "belle taille" et l'humour avec l'adjectif "belle", c'est un euphémisme de la grenouille qui se permet

C'est finalement d'un terme à l'autre de cette opposition entre la poésie et la prose qu'oscille le langage quotidien [Sartre]. 5. Le langage et la pensée : problèmes. Définir le langage comme moyen d'expression ou de communication suppose que la pensée lui préexiste, et qu'il ne vient qu'après-coup tenter de l'exprimer ou de la communiquer. Deux problèmes se posent alors. D'une part, la langage parvient-il vraiment à remplir son rôle ? Le langage est-il pour la pensée un intermédiaire