La Poésie Rapproche Réalité Fuir

cette maison  de mort. Suite à cette dernière le narrateur se réveille et «cette fantaisie s’évapore » (Phantasia,p77) Les corps acephales     L’espace  de la fiction est décrit et organisé  selon une topologie qu’élabore un corps comme ultime réalité entre un dehors et un dedans en continuité, sans passer par la représentation et la raison : «La béance sera l’endroit du corps qui engloutira ton œil sans retour. Tu fixeras différemment le monde. Tu n’érigeras pas, tu erreras »(Phantasia, p 22)

Benjamin lui-même, chantre d’une Modernité d’inspiration baudelairienne, réactualisant l’interrogation sur les catégories rhétoriques de l’inventio et de l’imitatio, affirme l’intégration « rituelle, magique, religieuse » de toute œuvre dans la « réalité vivante, changeante » de la tradition et, dissociant au sein des « champs de forces historiques » les sujets, en nombre limité, des formes toujours multipliables qu’ils revêtent, n’hésite pas à démystifier la vaine quête de l’originalité, assimilée

permet d'atteindre la certitude. Par exemple quand on tire une carte dans un paquet de 52, on a une chance sur 52 d'avoir l'as de pique. Lorsqu'on a une information, on diminue le niveau d'incertitude. Avec 26 cartes, l'incertitude diminue et on se rapproche d'une certitude. Il n'y a pas au départ une infinité de solution. Notion d'entropie (thermodynamique): Organisation vers le chaos Prédictibilité vers le hasard La quantité d’information contenue dans un message correspond à sa capacité à combattre

remarquables par leur fond historique. Nous pouvons y retrouver des personnages ayant existé réellement, aussi bien que des endroits réels et des bâtiments historiques. Cet aspect historique donne aux œuvres de Madame de La Fayette une valeur de réalité et aussi de vérité. C’est ainsi que ces récits remplissent le rôle des histoires véritables, ce que leur auteur tant désirait. Madame de La Fayette, elle-même, a commenté son œuvre en disant : « Et surtout ce que j’y trouve, c’est une parfaite imitation

de grand ne s'est accompli dans le monde sans passion." [ Friedrich Hegel ] "Ce qui est juste peut bien être dit même deux fois." [ Empédocle ] "Le cinéma est fait pour tous ceux dont la curiosité est le plus grand défaut." [ Claude Lelouch ] "La poésie c'est le plus joli surnom qu'on donne à la vie." [ Jacques Prévert ] "Un jour par an, le Mardi gras par exemple, les hommes devraient retirer leur masque des autres jours." [ Claude Aveline ] "C'est toujours le plus idiot des deux qui s'en prend à

diverses versions ou à l'intérieur du même texte ? quelle était sa forme primitive ? quel en est l'auteur ?...Interrogations qui supposent un perpétuel va-et-vient entre le texte et son contexte historique : d'une part le texte permet de restituer des réalités perdues (que l'on songe à tous les 4 enseignements sur la civilisation mycénienne que l'on a cru pouvoir tirer des textes d'Homère), d'autre part notre connaissance de la société (obtenue à travers d'autres documents ou des fouilles archéologiques)

peintre qui se rapprocha du mouvement impressionniste, traite d’un thème contemporain, inspiré par une activité ordinaire de la société bourgeoise de Paris, et s’efforce de saisir dans ses moindres détails l’atmosphère d’un moment  : on peut le rapprocher du texte de Zola (p.  110 ES/S et Techno / p.  112 L/ES/S), où est représentée, dans tout son réalisme, une scène de repas. Le Nouveau Roman, dont les fondements sont posés dans le recueil d’essais de Nathalie Sarraute L’Ère du soupçon, trouve

La souffrance et le bonheur de la femme dans l’ouvre de Francois MauriacMasarykova Univerzita v BrněFilozofická fakulta Ústav románských jazkyků a literatur Diplomová práce La souffrance et le bonheur des femmes dans l’œuvre de François MauriacVypracovala : Renata DrápalováVedoucí práce : prof. PhDr. Petr Kyloušek, Csc.Brno 2009Prohlašuji, že jsem vypracovala magisterskou diplomovou práci samostatně s využitím všech uvedených pramenů a literatury, a že elektronická verze se přesně shoduje s verzí

les jouissances du vrai. » La passion qu'il éprouve n'est, en effet, qu'un rêve : il n'a même pas osé l'avouer à celle qu'il aime et il poursuit en lui-même une exaltation tout idéaliste et mystique. Peu à peu cependant, il découvre brutalement la réalité charnelle de Maria : « Elle était là, derrière ces murs que je dévorais du regard. Elle était là, belle et nue, avec toutes les voluptés de la nuit, toutes les grâces de l'amour, toutes les chastetés de l'hymen. Cet homme n'avait qu'à ouvrir les bras

imprécations ! quels déchirements de voix ! Ils m’ont reconnu. Voilà que les animaux de la terre se réunissent aux hommes, font entendre leurs bizarres clameurs. Plus de haine réciproque ; les deux haines sont tournées contre l’ennemi commun, moi ; on se rapproche par un assentiment universel. Vents, qui me soutenez, élevez-moi plus haut ; je crains la perfidie. Oui, disparaissons peu à peu de leurs yeux, témoin, une fois de plus, des conséquences des passions, complètement satisfait... Je te remercie, ô rhinolophe