La Pratique Gaullienne De La Constitution

bien en plave : les préfets → relais et piliers de l'etat à l'echelle locale = « des empereurs au petit pied » → Jean Moulin (archétype du resistant) préfet de l'Eure révoqué par Vichy Centralisation ancienne réactivée en 1945/46 dans les pratiques et les mentalités « La france est une et indivisible » II – Comment gouverner et administrer un état fort et centralisé dans les années 50/60 ? =France du général de Gaulle Support d'étude : la Carrière de Paul Delouvrier

République, le Président de la République dispose, incontestablement, d’une légitimité qu’il n’avait pas dans les régimes précédents. Cette légitimité tient tout particulièrement à son mode de désignation. En 1958, au moment de l’entrée en vigueur de la Constitution, le Général de Gaulle n’a pas souhaité mettre en place immédiatement le SUD afin de ménager les susceptibilités politiques. Le Président était donc élu par un collège électoral composé par les membres du Parlement, les conseillers généraux, des

cités grecques car Rome était devenue puissante avait incorporé dans empire romain les cités grecques. - Romain ont cités stables alors que cités grecques instable - Réponse de Polybe = les romain ont inventé qqc de nouveau ils ont su pratiquer le régime mixte - Régime mixte = un peu de monarchie, un peu d’aristocratie, un peu démocratie =) stabilité - Il y aurait tous les avantages sans les inconvénients - Ce régime mixte va durer longtemps - On l’utilisera pour décrire

étant le centriste A. Poher, président du Sénat. Pompidou l'emporte au 2ème tour avec 58% des voix, le 15 juin 1969. Il nomme Jacques Chaban-Delmas, gaulliste historique, qui ouvre le gouvernement aux R.I et aux centristes. Il continue la pratique gaullienne des institutions, affirmant la suprématie du président sur le 1er ministre. Cette continuité se retrouve également dans la politique étrangère : - la force de frappe - les relations avec le tiers monde - l'équilibre entre les deux grands

de rétablir l’ordre républicain. Après l’élection d’une Assemblée Constituante en 1945, la question se pose de la forme de gouvernement que la France doit adopter. De Gaulle, qui veut un pouvoir exécutif fort, démissionne en janvier 1946. La Constitution de 1946, adoptée difficilement après un premier refus, met en place un régime parlementaire dans lequel l’Assemblée Nationale est le cœur du pouvoir politique. Ce régime de la IVe République est contesté par le RPF, le parti politique du Général

(2004). 22. La place particulière de la France dans l’OTAN Née en 1949, pendant la Guerre froide, l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord accueille une France soucieuse de conserver son indépendance militaire. Cette volonté « gaullienne » n’empêche pas, malgré tout, la France de participer aux diverses opérations dirigées par l’OTAN sous mandat de l’ONU, ainsi qu’aux exercices multinationaux. La France occupe une place particulière au sein de l’Alliance. Sous la présidence

(1958-Nos jours) A) La République Gaullienne (1958-69) 1) Restaurer l’Etat -Juin 1958-Janvier 59 : De Gaulle va organiser 1 gvnt d’union nationale (gvnt composé de ministres de différents partis et qui ne sont pas d’anciens parlementaires) -Son gvnt est au dessus des partis et à l’écart du parlement (car les partis engendrent l’instabilité) -Projet de nvelle constitution (rédigée en trois mois). Principal soutien : Michel Debré qui va élaborer cette constitution reprenant les principes du discours

appartient à un corps politique » (Diderot, L’Encyclopédie) : cette première définition, pour le moins restrictive, définit donc le citoyen comme une personne civique, tandis que la citoyenne demeure elle la simple « habitante de la cité ». La Constitution de 1791 établissant pour sa part, en plus de celle du genre, une nouvelle distinction : les « citoyens actifs », disposant de droits politiques et autorisés à participer à la Garde Nationale, et des « citoyens passifs », qui ne disposent eux que

évolution s’accompagne d’une multi polarisation dont les acteurs contestent l’ordre bipolaire: 1. La contestation existe au seins de chaque bloc : Les « malentendus » transatlantiques demeurent avec le maintien de l’essentiel de la diplomatie gaullienne après la démission de 1969. C’est au sein du bloc oriental que la contestation du rôle du leader est la plus marquée:absence de réconciliation URSS-CHINA La société civile montre sa présence dans les démocraties populaires :Solidarnosc La chartre

nouvelle république (1958-1962) De Gaulle a à résoudre les trois problèmes causes de la chute de la quatrième république. a) Les nouvelles institutions •  La constitution de 1958 Elle est élaborée par Debré et présentée par De Gaulle le 4 septembre 1958 et soumise à référendum le 28 septembre 1958. 80 % de « oui ». Cette constitution est l’inverse de celle de 1946 avec un Exécutif fort et un législatif affaibli. Le président de la république est la clé de voûte des institutions. Ainsi, il peut