La Pratique Référendaire Sous La V République

demandeur ou le défendeur), leur représentant ou les auxiliaires de justice (avocat, huissier), afin d'introduire une action en justice, d'assurer le déroulement de la procédure, de la suspendre ou l'éteindre, ou de faire exécuter un jugement. Acte sous seing privé Engagement établi et signé par les parties elles-mêmes sans faire appel à un officier public. Action collective Action en justice exercée par une personne morale à but désintéressé (ex: association) pour la défense de ses intérêts collectifs

Naissance de l’histoire positiviste : C’est la source qui prime au-dessus de l’analyse. Histoire essentiellement politique, sur les héros, les guerres etc… En France, Marbloc et Lucien Fèvres => ils veulent faire éclater la pratique historique et géographique du monde Moyen Ageux. Ils mettent en avant Histoire économique, sociale et des mentalités. Obj : but faire une Histoire globale et complète de cette période . II) Périodisation : Elle sert surtout à l’enseignement. Le

actuelle née avec le régime actuelle ( la V° République), qui a remplacé celle du 27 Octobre 1946 ( sous la IV° République ). Elle a été imposée et conçu à l’initiative d’un homme, le Général De Gaulle qui voulait du changement. La constitution est élaborée par une commission de juriste présidentielle par Michel Debré. Ensuite elle a été voté par les 2 assemblées de la IV° République ( chambre des députés devenu chambre national et le conseil de la république ). Ensuite elle a été votée par le peuple

(droit de ne pas être arrêté et détenu arbitrairement) et le Bill of Right de 1788. Cette série de textes constitue donc une partie de la constitution coutumière britannique, l’autre partie étant constituée par du droit non écrit c'est-à-dire par des pratiques qui a force de répétition ont fini par être perçues comme constituant des normes juridiques contraignantes et à travers ces éléments on retrouve les deux caractéristiques qui permettent de définir ce qui est une règle coutumière : la répétition,

souveraineté et de personnalité de l’Etat français : une lecture bien connue et solidement établie semble considérer que, mis à part les alinéas 14 et 15 du Préambule de 1946, le texte constitutionnel envisage la souveraineté de l’Etat principalement sous sa forme interne, comme souveraineté nationale, tandis qu’il omet totalement de parler ou de consacrer sa nature de personne juridique1. Or une telle interprétation ne nous a pas convaincu -de même que la distinction entre souveraineté interne et

Locke ou de Montesquieu) et régime présidentiel (séparation stricte des pouvoirs, telle qu'énoncée par les juristes) [réf. nécessaire]. Ce concept classique a donc souvent été modifié, voire déformé, au cours du temps pour répondre aux exigences pratiques. On [Qui ?] distingue notamment aujourd'hui plus volontiers entre séparation horizontale (séparation classique) et verticale des pouvoirs de l'État : il s'agit ici d'une répartition à des échelons territoriaux distincts (fédéralisme, décentralisation

éradiscité l’élargie ® doit rendre la justice dans un délai raisonnable au moyen de décision qui doivent s’imposer entre les parties, sans peine de dénit de justice. L’Etat a confié la gestion du service publique. Le Ministère de la Justice est placé sous la responsabilité du Ministre de la Justice, Gardes des Sceaux. En 2008, le service publique de la justice disposait d’un budget de 6,5 milliard d’euros (remboursement de la dette publique, l’éducation, la santé.) Il y a trois exigences fondamentales

Robert.hanicotte(arobase)univ-lille2.fr Droit constitutionnel de la Vème République Les institutions politiques de la Vème République : La Constitution du 4 octobre 1958 Trois dates, trois étapes : -3 juin 1958 (Lois constitutionnelles du 3 juin 58 : une autorisation parlementaire) : tjrs ss la IVème Rép, lois votées par le Parlement de la 4ème rép, contexte de la guerre d’Algérie. Cette loi donne pvr au Gouv pr entreprendre une réforme constitutionnelle (car institutions de la 4ème bloquées)

Thème : Les processus de transition démocratiques en Afrique et dans le monde arabe Exemple : le cas mauritanien Présenté par l’étudiant : Mohamed Ould Bah Dah Sous la direction de : Pr. Mohamed Lemine Ould Dahi Année universitaire : 2010-2011 Dédicace Je dédie ce modeste travail :

une loi, n'est pas du droit. » On retrouve également cette notion de droit naturel dans l'oeuvre de Rousseau, Le contrat social. Cette conception est consacrée par plusieurs textes de droit comme la DDHC, Le préambule de la constitution de la Veme République et La déclaration universelle des droits de l'Homme. 2. Le droit positiviste cf. Ihering, Kelsen On analyse le droit comme des règles de la conscience humaine qui vise à régir la vie des hommes en société. La règle de droit dépend uniquement de