La Princesse De Cleves Moral

Le roman conserve son importance et se généralise. Référence : 17ème : La princesse de Clèves : (premiers romans psychologiques) exemple du roman conditionné par le théâtre, considéré comme plus noble → le roman est subordonné aux genres plus nobles 18ème : Le paysan parvenu de Marivaux, La paysanne pervertie ou encore La nouvelle Héloïse de J-J Rousseau présentent un nouvel intérêt qui réflexion politique, morale, et expression des sentiments. B-La société, un contexte romanesque Histoire

allant des heures qui suivent la joyeuse réécriture de la 5 Cité par M-J. Durry, p. 87. 67 Revue d’Études Françaises ¾ No 6 (2001) lettre du vidame de Chartres en compagnie de M. de Nemours jusqu’aux moments où, après l’accident de celui-ci, la princesse « lui avait donné des marques de sensibilité que la seule compassion pouvait avoir fait naître ». Par la superposition de ces plans temporels, le centre de gravité du discours se déplace graduellement de plus en plus vers le bas pour devenir une

contente pas de décrire le milieu du journalisme parisien, mais d'en dénoncer les excès de son époque. Parfois, le personnage ne reflète plus la société telle qu'elle est mais la société telle qu'elle devrait être : Comme le duc de Nemours dans la Princesse de Clèves de Mme de la Fayette, pourvus de nombreuses vertus. III. Autres fonctions Faire réfléchir sur la nature humaine : Désir d'ascension sociale de George Duroy, Bel-Ami de Maupassant, et son attirance pour les jolies femmes. Faire rêver, Dracula

analytiques : 1. La Princesse de Clèves, 1678, Madame de Lafayette 2. L'Etranger, 1942, Albert Camus Textes complémentaires : 1. Lancelot ou le chevalier à la charrette, 1181, Chrétien de Troyes 2. La Maison Nucingen, 1837, Honoré de Balzac 3. Madame Bovary, 1856, Gustave Flaubert 4. L'Education Sentimentale, 1869, Gustave Flaubert 5. La Jalousie, 1957, Alain Robbe-Grillet Lecture cursive : J'ai lu : L'Etranger, 1942, d'Albert Camus (certains ont lu La Princesse de Clèves) Perspectives d'études :

et Juliette, Tristan et Iseult, ….) à l’amour trahi et dévasté par l’adultère (Des Grieux et Manon dans Histoire du Chevalier des Grieux et de Manon Lescaut de L'Abbé Prévost) L’amour peut être impossible, réprimé et entravé par des contraintes morales et sociales comme le cas de Julie et Saint-Preux dans La Nouvelle Héloïse de Rousseau qui étaient obligés de se séparer à cause des différences sociales. D’autres différences ont fait obstacle à l’amour : les noirs et les blancs ne peuvent pas s’aimer

l’analyse psychologique qu’en fait le romancier. Dans le roman LA PRINCESSE DE CLEVES de MADAME de la FAYETTE, Le personnage principal du roman est le parfait symbole de la sincérité et de la vertu. Sa mère l'a élevée selon de rigoureuses règles morales. La Princesse est très proche de sa mère, qu'elle admire et qu'elle craint à la fois. Elle va lui demander conseil concernant sa passion et suivra ses recommandations, conformes à la morale. Elle prouvera sa franchise en avouant à son mari les sentiments

LECTURE LINEAIRE n°2 L’aveu de la Princesse à son mari.« Eh bien, Monsieur, lui répondit-elle en se jetant à ses genoux » jusqu’à « je ne réponds pas, comme je dois, à un procédé comme le vôtre » l.548 p.144Cette scène intervient dans la 3e partie du roman LPD écrit par Mme de LFYT en 1678 . L’œuvre est considérée comme le premier roman d’analyse psychologique et répond aux codes de la préciosité et du classicisme.Alors que la princesse, qui se trouve à la campagne (officiellement pour se reposer

de comprendre en quoi les personnages de ce texte sont-ils à l’image de la société du 17ème siècle ? La princesse de Clèves nous est dépeinte comme un personnage idéal au 17ème siècle mais nous sommes également éclairés sur l’éducation de cette époque et ses principes, pour nous intéresser plus particulièrement aux personnages qui sont le reflet d’un monde en mutation. La princesse de Clèves est idéalisée tout d’abord de part sa beauté, avec « beauté parfaite » l. 2, « parfaite » étant un adjectif

d'Autriche, mère de Louis XIV. Elle se liera d'amitié avec la princesse Henriette d'Angleterre. Bientôt cette dernière épousera le frère du roi, Philippe d'Orléans. Mme de La Fayette continuera donc de fréquenter la Cour, en même temps que chez elle, A Paris, rue de Vaugirard, elle tiendra un salon qui attire toute l'élite sociale et intellectuelle de Paris. Elle ne publie pas ses romans sous son nom. C'est en 1678 qu'est éditée La Princesse de Clèves, et l'on y retrouve des intrigues de cour que l'auteur

solitaire qui lui attend si elle refuse ses avances. Nous verrons que dans ce sonnet “Quand vous serez bien vieille”, Ronsard adopte une stratégie de séduction paradoxal I , puis nous étudierons la morale épicurienne II . Pour terminer, nous souligneront le pouvoir de célébration de la poésie III . Une stratégie de séduction paradoxale I. La “ belle indifférente ”, femme