La Providence Hume

Hume, Dialogues sur la religion naturelle. Introduction Parution : 1779 (3 ans après la † de H.). Cléanthe est le héros : H. n’épouse pas ncsrt la cause de Philon. La religion répond à une inclination, mais il faut un argument « parfaitement formel et régulier » pour prouver que celle-ci diffère de notre inclination à l’anthropomorphisme. La religion naturelle accorde inclination et raison, croyance et argument ; elle satisfait la demande φQ.[1] L’examen φQ doit révéler l’évidence du dessein

PRÉFACE i l i lLl « Au nom du passé et de l'avenir, les serviteurs théoriques » et les serviteurs pratiques de l'HumaNltÉ viennent , prendre dignement la direction générale des affaires » terrestres, pour construire enfin la vraie providence, » morale, intellectuelle, et matériellel en excluant irré- » vocablement de la suprématie politique tous les divers » esclaves de Dieu, catholiques, protestants, ou déistes, » comme étant à la fois arriérés et perturbateurs. » Telle fut la proclamation décisive

que le monde ne peut pas exister sans l’intervention de Dieu que le contraire. Faute d’expérience en la matière, aucune connaissance n’est possible à son sujet.   Une critique de l’idée de Dieu comme cause du monde est également formulée par Hume dans le Dialogue sur la religion naturelle. Le contexte. La religion naturelle correspond aux croyances et sentiments religieux qui naîtraient en chacun spontanément s’il n’avait pas reçu d’éducation religieuse. Théisme. Cette thèse s’oppose

tous, en changer léserait forcément quelqu’un. Cependant les passions humaines sont quelques peu plus perverses comme nous le montre Adam Smith. « Le problème Adam Smith » : séparation de l’économie de toute notion de moralité ? De Montesquieu à Hume, il y a eu une longue tradition de pensée économique qui donnait aux passions humaines un rôle centrale dans le schéma économique. Selon Hirschman, Adam Smith aurait brisé ce lien et désencastré la pensée économique, l’homo oeconomicus, de la justice

Au terme de cette comparaison, il apparaît que la religion ne peut pas rivaliser avec la science sur la plan théorique. Ses énoncés n'étant ni des "vérités de fait" ni des "vérités de raison", elle est extérieure au champ de la rationalité. Hume écrivait en ce sens: «Si nous prenons en main un volume quelconque de théologie ou de métaphysique scolastique, par exemple, demandons-nous : Contient-il des raisonnements abstraits sur la quantité et le nombre ? Non. Contient-il des raisonnements

renouvelables. Le libéralisme économique classique [modifier] Le libéralisme économique « classique » s’est constitué en théorie aux XVIIe et XVIIIe siècles, sous l’influence des philosophes du siècle des Lumières, les Britanniques John Locke, David Hume ou Adam Smith) et les Français Turgot, Étienne Bonnot de Condillac ou Montesquieu[1]. Il consiste essentiellement en l’application aux actes économiques des principes philosophiques et politiques libéraux, qui découlent de la primauté de la liberté

une académie à Berlin : il en fut nommé président perpétuel; il tenta inutilement de former des établissements du même genre à Dresde et à Vienne. En 1710, il publia ses Essais de Théodicée, dans le but de repousser les attaques de Bayle contre la Providence. Il se vit à la fin de sa carrière recherché par le Tsar Pierre le Grand, qu'il détermina à fonder une académie à Saint-Pétersbourg; par l'empereur Charles VI, qui le créa baron et lui fit une pension; et par Louis XIV, qui tâcha mais vainement

Athéisme 1L’athéisme n’est pas que celui qui nie l’existence de Dieu. C’est une partie de la définition de l’athéisme mais elle ne regroupe pas toutes les questions. L’athéisme est une position attachée à des thèses philosophiques. L’âge classique regroupe différentes définitions de l’athéisme. Ralph Cudworth dans un traité de 1678, distingue quatre formes d’athéisme :- hylopathien. Ceux qui pensent que la matière sent. La matière inerte produit les formes.Anaximandre. Thèse en opposition avec la

anglaise Chapitre 4: La révolution industrielle dans le reste du monde TROISIEME PARTIE - LA CRISE DU CAPITALISME Introduction Chapitre 5: De la « belle époque » a la crise de 1929 QUATRIEME PARTIE- DE L'ETAT PROVIDENCE A LA MONDIALISATION Introduction Chapitre 6: L‘Etat providence Chapitre 7: Les défis de la mondialisation CHAPITRE 1: LE MOYEN ÂGE Introduction Le Moyen Âge (Ve au XVe siècle): période de l’histoire occidentale située entre l’Antiquité et la Renaissance, soit entre 476

favorable à une conception positive de l’inégalité de quota ou de prestations sous condition de ressource. L’Etat a alors pour rôle d’assurer l’égalité des chances entre les individus. La redistribution est intimement liée à la conception de l’Etat Providence. Or la justice sociale peut se décliner sur des principes d’égalité soit sur des principes d’équité. En fonction de la conception retenue, cela renvoie à la place donnée à l’effort personnel à l’efficacité donnée et à la contribution effective des