La Prévoyance Banque

DOSSIER D’ACTIVITES PROFESSIONNELLES Sabrina Ortiz BTS Banque 2009/2011 FORMAPOSTE ------------------------------------------------- SOMMAIRE INTRODUCTION 3 LE MARCHE BANCAIRE 3 LA BANQUE DE DETAIL 4 LES BANQUES FACE A LA CRISE FINANCIERE 4 LA BANQUE POSTALE 5 LA RELATION A DISTANCE… 6 UNE OFFRE COMPLETE 7 MON AGENCE BANCAIRE 7 MON PORTEFEUILLE CLIENTS 8 UNE JOURNEE TYPE DU CONSEILLER FINANCIER 8 MA MONTEE EN COMPETENCES 9 CONCLUSION 12

l’entreprise, la BNS et l’état ? Faux. Banque économique 2) le circuit économique commence par les entreprises produisent ? Faux. Les ménages vont d’abord travailler pour les entreprises. 3) Le RN, c’est inférieur au PIB de quelque 20 milliards ? Faux, le revenu national est toujours supérieur au PIB. 4) Les banques privées prêtent au ménage, les banques commerciales prêtent aux entreprises ? Faux 5) La BNS ne prête pas de l’argent ? Faux, la BNS prête aux banques commerciales 6) Le tissu économique

Voir la Fédération nationale des sociétés coopératives d'HLM. Les banque coopératives : On parle ici des banques où les clients sont associés, ou autrement dit les sociétaires. Ce sont donc les déposants ou emprunteurs. C'est le même système que pour les assurances mutuelles. Pour ne citer qu'eux, c'est le cas du Crédit agricole, du Crédit mutuel, du Crédit coopératif, de la Caisse d'épargne, de la Banque populaire, de la Banque Raiffeisen au Luxembourg et des Caisses Desjardins au Québec. Cela

distribution à coût marginal de l’assurance. Aujourd’hui confronté à un environnement sans précédent, notamment frappé par la collecte nette négative en Assurance vie (qui représente plus de 90% de leur activité), la course à la liquidité des banques, les réformes Solvency 2 et Bâle 3. Qui pose la question, non de la légitimité du modèle de bancassurance intégré qui a fait ses preuves en France et en Europe du Sud, mais des transformations indispensables à opérer pour lui permettre de conserver

Regards sur l’extérieur Regards sur l’extérieur Dans ce numéro P2 P3 P3 P4 P4 P5 P6 P7 Automobile - Deux roues Habitation Services à la personne Santé Prévoyance Épargne Banque Agriculture P 8 ACPS n° 6 Septembre 2010 Achevé le 17 septembre A retenir de l’actualité A LA UNE Réseaux sociaux : le nouveau cheval de bataille Ces derniers mois, les assureurs ont fortement développé leur implantation dans les réseaux sociaux : communication institutionnelle, relation client (concours

franchie vers la dynam isation du marché financier, la CDG s’y impose rapidement comme un acteur incontournable grâce à sa stratégie d’investissement. Par ailleurs durant cette période la CDG crée un nombre important d’unités hôtelières et intègre la banque « Crédit Immobilier et Hôtelier » (CIH), suite au choix du tourisme comme secteur prioritaire. Plus tard en créant le RCAR (Régime Collectif D’Allocation de Retraites) la CDG a participé à la politique d’élargissement de la couverture sociale des

Organisme……………………………………………………………………..18 5. Les missions et la vision stratégique de la CDG……………………………………19 5-1. La CDG : 1er mobilisateur de l’épargne institutionnel…………………….19 5-2. Gestionnaire des retraits et des promoteurs de produits d’assurances et de prévoyance……………………………………………………………………20 5-3. Investisseur institutionnel……………………………………………………20 5-4. Vision stratégique du groupe………………………………………………...24 Chapitre II : Les RH au cœur de la gestion à la CDG 1. Présentation de la direction des

est un groupe bancaire d'envergure internationale, multimétier (banque, assurance, immobilier…) et multi-enseigne. Le Groupe a entamé un processus de fusion avec le Groupe Banque populaire qui aboutira sur la fusion définitive des deux holdings début août 2009. La nouvelle entité, dont le nom est BPCE, devient le deuxième groupe bancaire français[1]. Au sein du nouveau groupe, les deux enseignes commerciales, Caisse d'Épargne et Banque populaire, subsistent. |Sommaire

(régime unique ARRCO) | (taux appel 25% inclus) |   Toutes les entreprises | 4,50 | 3,00 | Sur plafond 2.589 |   Toutes les entreprises | 12,00 | 8,00 | de 2.589 à 7.767 | Cadres (régime AGIRC)                                           | Prévoyance minimum | 1,50 | - | Sur plafond 2.589 | Tranche A   (cotisation ARRCO) | 4,50 | 3,00 | Sur plafond 2.589 |   Tranche B   (taux appel 125% inclus) | 12,60 | 7,70 | de 2.589 à 10.356 |   Tranche C  (taux appel 125% inclus) | 12,60 | 7,70 |

des règles de bonne conduite qui sont reprises pour une large part dans son règlement général (R.G.A.M.F.). Les autorités de tutelle du secteur de l’assurance Indépendamment des dispositions qui ont accentué le rapprochement des autorités de la banque et de l’assurance, le secteur de l’assurance avait sa propre autorité de tutelle. Dans le secteur de l’assurance lui-même, demeurent dessinées deux grandes origines bien distinctes : le secteur marchand - avec des entreprises d’assurances dont