La Puissance Des Etats Unis Au Niveau National Continental Et Mondial

nombre de bouleversements bouleverse le paysage économique mondial. La quantité des biens importés par chaque pays est de plus en plus considérable, les firmes « nationales » délocalisent leurs productions, établissent d’emblée une stratégie à l’échelle régionale ou mondiale. L’intensification des mouvements de capitaux distribue inégalement l’épargne mondiale et fait trembler les monnaies nationales… Il apparaît que les économies nationales ne semblent plus être des ensembles spatiaux pertinent

logiques d’organisation de l’espace mondial (p.5). *** ■ Deuxième partie - LES TROIS GRANDES AIRES DE PUISSANCE DANS LE MONDE. A) L’AMERIQUE DU NORD. - Chapitre 1 : Les Etats-Unis : la superpuissance (p.12). - Chapitre 2 : La façade atlantique de l’Amérique du nord (p.32). B) L’UNION EUROPEENNE. - Chapitre 1 : La puissance économique de l’Union Européenne (p.38). - Chapitre 2 : L’Europe rhénane (p.47). C) L’ASIE ORIENTALE. - Chapitre 1 : Une aire de puissance en expansion (p.50). - Chapitre 2

Relations internationales (08/12/13) Relations = interagir avec d’autre personnes Internationale = dans le monde Se sont les interactions entre états. Les relations Internationales ne sont pas forcement entre état ; cela peut être entre populations, firmes internationales, la guerre etc… . C’est quelques chose qui dépasse les frontière, on parle alors d’extranéité. Ce mot est plus large que la notion internationale. Quand on parle d’internationale, on parle que d’une catégorie d’institutions ou

question les fondements de l’etat. Ces acteurs ont en effet la particularité de ne pas être internationaux mais transnationaux , dans le sens ou ils transgressent la frontière , le territoire , la nationalité, et ne sont donc pas contrôle par les états , tout du moins plus difficilement ; ce qui a donné une explosion de flux en tout genre : migratoire , financier , commerciaux & communicationnel. Parmi les nombreux facteurs qui ont affecté l’organisation du territoire au cours de ces trente dernières

le succès du projet et des ambitions d’Aristide Briand. Le général De Gaulle et Winston Churchill, au milieu d’une guerre qui déchirait le continent sont parvenu à jeter les fondements d’une Europe unifiée en s’adressant au futurs grands, les Etats-Unis et l’Union soviétique, à Théodore Roosevelt et à Staline. La paix a donc, depuis les balbutiements européens, toujours été considérée comme une base essentielle à la construction d’une union d’Etats. A l’issue des deux guerres qui ont divisé l’Europe

CHAPITRE 7 : L'AFRIQUE :LES DÉFIS DU DÉVELOPPEMENT Si l'Afrique reste le continent le plus en retard à la vue des indicateurs socio-économiques à l'échelle mondiale, ce continent est entré dans une nouvelle ère depuis le début des années 2000. Depuis 2001, le PIB progresse en moyenne de 5% par an. C'est donc une rupture qui tranche avec les discours pessimistes à propos de l'avenir de l'Afrique. Ce continent participe bien à la mondialisation, il est relié par des flux divers aux autres régions

industrielle que le progrès technique est continu et cumulatif et en accélération. Les historiens ont longuement étudié cette singularité que constitue la Révolution industrielle anglaise, entre 1760 et 1830, qui se sont diffusée ensuite à l’Europe continentale, à l’Europe du Nord, puis au reste du monde. Après avoir retracé à grands traits cette épopée, nous reviendrons en conclusion sur les origines profondes de la révolution industrielle. Les débuts de la révolution industrielle Les industries motrices

réseau. Elle est mobilisée dans le cadre des grandes régions économiques depuis la x depuis les années 90. La double notion renvoi a des modalités du découpage du monde en entité régionale (taille intermédiaire  entre l'état nation et l'espace mondial). Concevoir une forme de régionalisation du monde. Il y a un contenu à ces aires (insérer dans des limite  frontière plus ou moins flou = confins). D'un point de vue économique le monde est divisé en aires (division au XX° siècle de l'aire capitaliste

bientôt 15 ans Par Daniel Navarro Castaño* Introduction En 1994, l’ancien sous-gouverneur de la Banque du Canada, William R. White, soutenait que la restructuration des industries nord-américaines causée par l’ALÉNA allait permettre l’amélioration du niveau de vie des habitants du continent dans le moyen et long terme1. Il répondait ainsi aux craintes concernant la perte d’emplois et l’harmonisation vers le bas des normes du travail soulevées par les multiples opposants à l’accord. Selon M. White, «

nucléaire. Le début des années 90 s’est en effet caractérisé par une diminution des États proliférants possédant ou cherchant à posséder des armements nucléaires (les trois Républiques de l’ex-URSS que sont l’Ukraine, la Biélorussie et le Kazakhstan, l’Afrique du Sud, l’Argentine et le Brésil). Par ailleurs, l’opération "Tempête du désert", en 1991, a mis fin au programme nucléaire irakien tandis qu’un accord États-Unis-Corée du Nord était passé en 1994 par lequel, en échange de l’arrêt de son programme