La Qpc Une Réforme Nécessaire

de droit parce que sa violation est « simplement » dépourvue de sanction (voir P. Weil, « Le droit international en quête de son identité », Cours général de droit international public, R.C.A.D.I., 1992, p. 54). Passons ce débat. Il n’est pas nécessaire d’en dire plus à ce sujet pour le droit constitutionnel. A partir de la seconde moitié du XXe, le droit constitutionnel va effectivement muter. La discipline se transforme, elle se juridicise. Elle forge ses propres instruments d’analyse, ses propres

après l’ordonnance de 1945, réforme d’ampleur du DPM : règles de procédure et aux aux mesures applicables aux mineurs. -Elle va créer tribunal des enfants et adolescents( mineurs de 13 à 18 ans avec discernement). - mineurs moins 13 ans : aucune responsabilité pénale avec ou sans discernement. * décret loi du 30 octobre 1935dépénalisation vagabondage mineurs + supprime l’incarcération des mineurs comme mesure de correction paternelle. * la loi du 27 juillet 1942 – réforme du DPM mais échec car guerre

la création d’une institution spéciale chargée de vérifier la conformité des lois à la C, le CC. Depuis la révision de la 07/08, le constituant a créé une nouvelle procédure, la question prioritaire de constitutionnalité (QPC), prévue par l’article 161-1 de la C. Cette réforme est entrée en vigueur le 01/10/2010. Lors d’un procès devant le juge administratif ou judiciaire un justiciable peut soulever l’inconstitutionnalité d’une loi qui lui est opposée. Le juge s’il a des raisons sérieuses de croire

cette fonction. Comment ? La procédure de révision en France ou ailleurs se décompose en trois étapes. L’initiative de la révision peut venir du président de la République, en l'occurrence, Nicolas Sarkozy, et deux de ses réformes. On a modifié environ 40% de la constitution. C’est clairement le président qui en est à l’origine. Mais il peut aussi appartenir aux parlementaires. Un député ou un sénateur peut déposer une proposition de révision de la constitution mais en pratique

la dignité humaine… ». Le Conseil Constitutionnel, lui-même estime que la sauvegarde de la dignité de la personne humaine est un principe indérogeable (décision du 27 juillet 1994). On note ainsi l’encellulement individuel qui est une composante nécessaire du maintien de la dignité en milieu carcéral. Mais c’est surtout le problème de la surpopulation qui porte atteinte à la dignité car beaucoup de conséquences en découlent comme l’insalubrité, l’hygiène, l’accès restreint aux soins… Le droit à la

constitutionnalité de ces propositions de lois avant qu’elles soient soumises au vote populaire (les lois adoptées par référendum ne pouvant pas faire l’objet d’un contrôle puisqu’étant directement l’ « expression de la volonté générale »). B. Le mécanisme de la QPC : le contrôle a posteriori La révision constitutionnelle du 23 juillet 2008 instauré un contrôle de constitutionnalité a posteriori, c’est-à-dire, après que la loi ait été promulguée. Il prend la forme du mécanisme de la Question prioritaire

ce sont les moyens d’action afin d’assurer les missions. On peut décomposer ces moyens en quatre catégories, cette fois, cumulatives : des moyens matériels, humains, financiers et enfin juridiques. Les moyens matériels comprennent les locaux, nécessaires aux activités, des moyens en équipement, immobilier, mobiliers. Ces moyens vont être acquis soit par l’achat, soit à titre gracieux, par la collectivité ou la personne publique. On dit alors que ces biens sont la propriété de la collectivité publique

de la société et évolution du droit de la famille. On trouve une vague de réformes profondes du droit de la famille. Réforme importante des effets du mariage en 1965 en faveur de l’égalité entre les époux. Depuis cette date, le mari ne peut plus s’opposer à l’exercice d’une profession par sa femme. Il y a une réforme de la filiation en 1972 et réforme du divorce en 1975. Deux lois que l’on doit à Jean Charbonnier. La réforme de 72 reconnait l’égalité entre les enfants légitimes et naturels et elle

4ème rép, contexte de la guerre d’Algérie. Cette loi donne pvr au Gouv pr entreprendre une réforme constitutionnelle (car institutions de la 4ème bloquées). DG se retrouve à la tête du Gouv de la 4è Rép. Les pleins pvrs provisoirement pr préparer une réforme constitutionnelle : officiellement c une révision de la 4è Rép : mais c’est une nouvelle Constitution qui va sortir. Cette loi prévoit que la dite réforme devra être soumise au pple (référendum). -28 sept 1958 : le référendum : le projet élaboré

débiteurs ne se présument pas, et donc puisque la loi ne prévoit pas cette solidarité, il n’y a pas de raisons de la mettre en place. Chaque débiteur n’est pas tenu à payer la totalité de la somme nécessaire au créancier pour assurer ses besoins. Le créancier devrait donc diviser ses poursuites si nécessaires. La deuxième conséquence est que si un débiteur a réglé la somme totale de l’obligation alimentaire, et qu’il a été au delà de ce qui lui incombait, le débiteur a un droit de recours contre les