La Raison Libere T Elle L Esprit

personnelle des œuvres au programme. (Introduction) :[1] (Exergue) Le penchant humain vers le mal est un constat, dont l’évidence n’a pas manqué d’étonner les philosophes. C’est ainsi que Kant, dans La religion dans les limites de la raison, ne sait pas à quel saint se vouer, lorsqu’il note amèrement : « qu’un penchant pervers de ce genre doive être enraciné dans l’homme, c’est là un fait dont nous pouvons nous épargner de donner une preuve formelle. » (Citation) Charles Baudelaire semble

de liberté, soit par intérêt : leur position d’esclave, pourrait dans certaines conditions, être préférable à leur situation d’homme libre. Ainsi on peut prendre l’exemple d’un homme ayant toujours vécu dans une situation de dominé, s’il, par des raisons diverses, il se retrouve à être en situation de domination, ou au moins libre, il pourrait sans aucun doute trouver cette situation délicate, et préférer rester dans une situation de dominé. Gandhi affirmait que « à l’instant où l’esclave décide

universel (porte sur tout) Le doute radical (tout ce qui n'est pas absolument certain est faux) - il existe au moins une vérité indubitable: je suis, j'existe, est nécessairement vraie toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit. Cogito cartésien: la conscience du soi du sujet pensant désigne la certitude d'exister en tant que je pense. Hegel: l'homme doit constituer la conscience de soi, elle n'est pas donné toute constitué, mais doit être obtenus par des activités

nous propose l’univers , Pascal dans ses Pensées publiées au XVIIème siècle parie pour l’existence de Dieu. Mais Camus refuse ce pari. Ds ce refus réside la grandeur de l’homme qui assume ainsi l’absurdité du monde. Pour autant l’homme n’est pas en raison de ce refus de Dieu condamné au désespoir ce que Pascal appelle la Misère de l’homme sans Dieu. Pour Camus l’homme ressemble à Sisyphe héros mythologique à qui Zeus imposa comme châtiment de rouler éternellement un rocher en remontant une pente ;

qui va être victime de ses colonies. Les Etats-Unis s'opposent aux colonisateurs pour plusieurs raisons. Tout d'abord, depuis plusieurs années déjà ils affirment leur volonté de conserver le droit pour les peuples à disposer d'eux-mêmes. Ils sont tellement attachés à ce principe qu'ils ont réussi à en faire l'article fondamental de la Charte internationale des Nations Unies. Ils ont eux-mêmes libéré les peuples qu'ils opprimaient par l'esclavage il y a près d'un siècle, en 1871, ils se permettent

(Avec assurance) Il s’était enfermé dans le monde de la débauche pour mieux le combattre mais malheureusement il y a pris goût et n’en est pas sortie indemne. Malgré tout, il a gardé en tête sa mission qu’il s’était donné, qui été de tuer le Duc pour libérer le peuple de Florence de l’emprise de cette maudite famille de Médicis. Ce jour la donc, je voyais bien dans ces yeux se vrai nature mais il n’en restait presque rien de cette homme autrefois si bon. (Attristé) Oh si vous l’aviez vue ! Il ne croyait

et prend le pseudonyme de Voltaire. La tragédie marque le début de sa reconnaissance littéraire. Lors d’une dispute avec le chevalier Rohan-Chabot afin d’éviter une dispute entre les deux hommes la famille du chevalier le fait emprisonner, puis le libère sous promesse de s’exiler en Angleterre (1726). En 1734 Voltaire fait publier les Lettre philosophiques. Cette satire de mœurs et d’institution française fait scandale et est censurée. Suite à cet événement il se réfugie à Paris puis publie des

responsabilité dans notre groupe, la mienne est celle de la spiritualité. J’appartiens aussi à l’équipe liturgique des jeunes. Je désire donc la recevoir pour être marqué de l’Esprit Saint le Don de Dieu. Pour être comme l’ont été les apôtres, libéré de mes doutes et de mes questions vis-à-vis de Dieu. Mes doutes ont été nombreux et certains sont toujours présents. Plusieurs de mes questions sont restées sans réponses et m’ont rendu perplexe au point de ne plus savoir ce que je devais décider

de ce qu’il lui arrive. La sagesse est donc la soumission du destin. La liberté, c’est le pouvoir que nous donne notre esprit de maîtriser son jugement sur ce qu’il lui arrive ; il s’agir donc d’une liberté intérieure. C’est également dans la maîtrise de notre jugement que réside le bonheur. Epictète écrit : « Il n’y a qu’une route vers le bonheur, que cela soit présent à ton esprit dès l’aurore, jour et nuit : c’est de renoncer aux choses qui ne dépendent pas de notre volonté ». Ainsi, pour Epictète

l’organisation du travail est telle que l’homme en est réduit à n’être que le rouage asservi d’un système qui l’écrase. Ici se pose un problème conceptuel : que nous apporte le travail ? Dans un 1er temps, nous verrons que le travail permet à l’homme de se libérer en maîtrisant et en transformant la nature. Puis, dans une 2ème partie, nous montrerons que le travail est synonyme d’aliénation et d’esclavage. Thèse : Idée1 : l’humanité s’affirme par le travail. On peut affirmer que l’homme se différencie