La Raison Libere T Elle L Esprit

quelles seraient les stipulations pour que l’art soit inutile.Observons dans un premier ce qui nous inciterait à opposer art et utilité, avant de comprendre, dans un deuxième temps, l’utilité de l’art qui pourrait bien être, paradoxalement, de nous libérer d'un monde machinal et pragmatique, où prédomine la recherche de l’utile.Du point de vue de l’utilité au sens de ce qui sert à atteindre une finalité ou à accomplir une tâche, l’art ne ferait alors pas partie. En effet, comme le philosophe Kant nous

avec Diderot, Montesquieu et Rousseau de l’équipe créatrice notamment de l’Encyclopédie qui était un dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers qui visait à être à la portée de chacun et à éclairer les esprits sur les conditions de vie et d’abus de pouvoir. Voltaire joua un grand rôle dans la préparation de mouvements précurseurs de la révolution de part son esprit libre, son opposition à certains hommes de pouvoir mais il est mort en 1778 et n’a pas pu être le témoin de la révolution

« le pape du surréalisme ») définit dans « son Manifeste » (1924) du surréalisme comme : « un automatisme, par lequel on exprime de n’importe quelle manière, le fonctionnement de la pensée ». C’est la pensée à l’état brut sans aucun contrôle de la raison et sans aucune préoccupation morale ou éthique. Le surréalisme repose sur un remaniement des structures et la recherche de solutions aux principaux problèmes de la vie. En effet, l’Europe était en proie à de nombreuses crises économiques et culturelles

révélant tissé de la même texture énergétique, sans distinction possible entre une chose et une autre. En plein coeur du mois de décembre 1900, Max Plank faisait une découverte cruciale, en notant que l’énergie n’est pas continue, mais qu’elle se libère en paquets séparés, donnant naissance à la Mécanique quantique (ou physique quantique). La “mécanique” est un terme de physique qui désigne l’étude du mouvement, et un “quantum”, la quantité de quelque chose. Dès 1927, les fondations de la Mécanique

siècle au latin libertinus, « affranchi, libéré ». Ce terme, s’appliquant dans la Rome antique aux esclaves libérés de l'autorité de leur propriétaire, tout juste sortis de leur servitude, possède à l’origine un caractère péjoratif en français. Relecture des théories du philosophe grec Épicure, le libertinage est un courant de pensée né au XV e siècle, développé en Italie (Cardan, Paracelse, Machiavel) et qui débouchera au VIIIe siècle sur la notion de raison critique des philosophes. Parallèlement

intègre également la notion de liberté au travers du document 1 où Mandela peut pratiquer son sport même en prison, ce qui est un véritable exutoire pour lui « oxygéner son esprit » ligne 38. Enfin, le sport enseigne aussi la coopération notamment avec les sports collectifs où il est essentiel d’avoir une cohésion et un esprit d’équipe. En effet, l’union fait la force comme le montre le document 1 : « nous étions une seul nation (…) les […] sports collectifs, a vraiment le pouvoir de guérir les blessures »

de mon esprit et me livre à une forte agitation et agressivité. Pourtant si j’avais pleinement conscience de moi-même je pourrai progressivement apprendre à me maîtriser. Si avoir conscience de soi revient à être capable d’agir sur soi, il devrait alors être simple de se maîtriser ; est-il suffisant de dire qu’avoir conscience de soi permet la maîtrise de soi ? (comme le penserait l’opinion commune c’est à dire la Doxa). Mais alors, est-ce donc la conscience de soi ou plutôt la raison, la volonté

nouveau, «créateur» - Le Nouvel Esprit scientifique (1934) : Bachelard, réfléchissant sur les problèmes de la science contemporaine (relativité d'Einstein, mécanique non newtonienne), montre que les chemins de la découverte vont du théorique à l'expérimental - La Formation de l'esprit scientifique (1938): idée principale = il s'agit de «psychanalyser» l'esprit scientifique afin de le purifier. L'inconscient «désirant» a tendance à déformer le réel. Former un esprit scientifique, c'est apprendre à

par-delà des opinions et des illusions. Platon se questionne sur la nature de ce qui contraint l’homme ordinaire a siégé continuellement dans l’ignorance. Ici, le philosophe tente de délivrer l’homme, dans la caverne, de ses chaînes, il veut le libérer. Ce texte nous présente alors une libération progressive du prisonnier, s’effectuant en trois étapes bien précises. Dans un premier temps, il effectue une description d’une existence réfugiée aux questions philosophies (« Maintenant […] de leur ignorance »)

contraires les uns aux autres, et qui, ni les uns ni les autres ne nous conseillaient peut-être pas le meilleur, il est presque impossible que nos jugements soient si purs ni si solides qu’ils auraient été si nous avions eu l’usage entier de notre raison dès le point de notre naissance, et que nous n’eussions été jamais conduits que par elle ». Descartes, Discours de la méthode, Deuxième Partie. 1637. 2) Le conditionnement socioculturel Si l’enfant est inscrit dans une famille qui le produit