La Rationalisation Des Choix Budgétaires

la structure productive : 1. L’investissement de capacité (ou d’extension) : accroître la capacité globale de production 2. L’investissement de remplacement : renouveler le capital usé ou obsolète 3. L’investissement de productivité (ou de rationalisation) : ’accélérer la productivité du travail. Les investissements directs à l’étranger (IDE) : Il s’agit d’investissements qu’une firme effectue dans le but d’acquérir un intérêt durable dans une entreprise située dans un autre pays afin d’exercer

d’emploi arrivent sur le marché du travail. En 2002, le taux de chômage s’élevait à 11,6 p. 100 ; l’inflation atteignait 6,6 p. 100. Les équilibres financiers sont progressivement restaurés. De 12% du produit intérieur brut (PIB) en 1982, le déficit budgétaire a été ramené à 2,7 en 2001 et à 3.5% en 2003. L’inflation est maîtrisée : de 6,1% en 1995, la hausse des prix a été ramenée sous la barre des 3%. En 2000, elle a été contenue à 2,5%, à 1.4% en 2001, à 2.1% en 2002 et à 1.2 en 2003. La reprise

hiérarchique, et donc des ateliers (line) - L’autorité fonctionnelle de technostructure (staff), les bureaux d’études, des méthodes, de planification ou de contrôle. Pour minimiser les pertes de temps, augmenter la productivité et les profits, la rationalisation de l’activité se fait par : - La mesure systématique des temps (MTM = Method Time Measurement), - L’analyse poussée des opérations de fabrication, - Le découpage normalisé des activités en gestes élémentaires, associés à un poste précis et

financiers; – les investissements industriels; – les investissements publics. Les investissements industriels peuvent être décomposes en quatre types: – les investissements de remplacement; – les investissements de modernisation ou de rationalisation; – les investissement d'expansion; – les investissements stratégiques; Thème II. Le climat d’investissement. 1) Le concept concernant le climat d’investissement 2) Les facteurs d’influence du climat d’investissement

immobilière totale d’au plus cinq cent mille DH. Contrairement à la première disposition, le bénéfice est limité aux ménages disposant de revenus salariaux ou assimilés (les salaires, les pensions, les rentes viagères). En 2006, dans le cadre de la rationalisation des dépenses fiscales, cette mesure a été restreinte aux logements sociaux définis par une superficie de moins de 100 m² et une valeur ne dépassant pas les deux cent mille DH. Section 2 : la réduction des exonérations vers des orientations ciblées

pertes importantes de recettes tarifaires renforcent à travers une politique de transition fiscale leurs recettes de fiscalité internes. Le plus souvent, en raison de ses qualités de neutralité économique et aussi de la possibilité de rendements budgétaires substantiels procurés par une large assiette (consommation), les pays concernés s’appuient en priorité sur la TVA. La transition fiscale marocaine s’est effectuée initialement de manière atypique à travers une forte progression de la contribution

GERER SANS BUDGET ? Nicolas Berland Maître de conférences Pesor Faculté Jean Monnet (Université Paris-Sud) 54, Bd Desgranges 92330 Sceaux Cedex nicolas.berland@free.fr Résumé Comment peut-on gérer sans budget ? La remise en cause du processus budgétaire s’est intensifiée ces dernières années et a parfois conduit à la suppression du budget. Les premiers cas d’entreprise gérant sans budget peuvent être maintenant analysés afin de mieux comprendre les enjeux et le degré de nouveauté des pratiques

même, celui de la satisfaction de l’intérêt général par des procédés de puissance publique sous le contrôle du juge d’où la quête permanente de la recherche de plusieurs équilibres : • La balance entre efficacité administrative (rationalisation des choix budgétaires) et les droits des citoyens. • Un équilibre entre le pouvoir du juge et celui de l’administration. • Un équilibre entre le principe de sécurité juridique et l’adaptation aux circonstances. C’est ainsi qu’avec la Question Prioritaire

pose : Quel est l’impact du budget sur la performance de l’entreprise : le cas de l’O.I.C ? De cette question centrale se dégage des sous questions suivantes : •Quels sont les principaux déterminants du budget à l’O.I.C ? • Est ce que la gestion budgétaire est un outil efficace pour une entreprise : le cas de l’O.I.C ? III° OBJECTIFS DE L’ETUDE. Elles se subdivisent en deux parties : III°1 Objectif général L’objectif général de notre étude est d’évaluer l’impact du budget sur la performance de l’Office

vers les pays tiers- méditerranéens. La montée de la concurrence entre les pays pour l’attraction de l’investissement étranger fait que le choix du site d’implantation d’un projet obéit à des exigences de plus en plus fortes de la part des investisseurs internationaux. Si la taille et le dynamisme du marché intérieur constituent des conditions de base dans ce choix, il existe d’autre facteurs qui commandent la décision finale d’implantation. Il s’agit des fondamentaux macroéconomiques, de l’environnement