La Reine blanche

son œuvre future, une œuvre qu’il signera Lewis Carroll et qui entraînera des millions de lecteurs au Pays des Merveilles. Charles Dodgson est né en 1832 en Angleterre, et y est mort en 1898. Sa naissance a lieu six ans avant l’avènement de la Reine Victoria, sa vie est donc très marquée par la société victorienne, connue pour la rigidité de ses mœurs et l’importance qu’elle porte aux traditions. De sa haute position, Dodgson pouvait facilement observer le milieu huppé de cette société, car il

orateur et avocat romain, a un bouton en forme de pois chiche sur le nez (cicer=pois chiche) Marc-Antoine: lieutenant de César, bel homme, Egyptiens Cléopâtre: reine d'Egypte, fille de Ptolémée maîtresse de César Ptolémée: frère de Cléopâtre et fils de Ptolémée XII et dit l'Aulète; c'est un adolescent Arsinoé: soeur de Cléopâtre, reine de Chypre Césarion: fils de César et Cléopâtre Personnages imaginaires Livia: intendante de Calpurnia;

termes ou idéaux. La blancheur de la jeune femme (« blanche fille ») se retrouve ici avec les plumes blanches du cygne (« blanc »). De même que le cygne représente la pureté, la beauté ce qui rappelle le dernier vers du poème précédent qui est un tremplin « ô ma beauté ». Enfin de même que l'animal a une connotation de grâce et de noblesse, la jeune mendiante du poème précédent est plusieurs fois imaginée dans l'élégance historique « qu'une reine de roman / Ses cothurnes de velours ». Le cygne est

. : Pourquoi ? Moi : Je sais pas.... Qui......Qui es-tu ? ..... : Jackson Campbel ? C'est la réponse que tu attendais ? Moi : En partie * je souris * Il me sourit en retour. Ses cheveux, comme dans mon rêve, était en bataille. Sa peau était blanche. Jackson : Et toi, qui est-tu ? Moi : Elisabeth O'hara, mais tu peux m'appeler Liz. Jackson: D'accord Liz. Il avait prononcé « Liz » avec un sourire IRRESISTIBLE ! Moi : Pourquoi t'es parti ce matin ? Jackson : J'avais une urgence. Moi :

Marie-Odile Hartmann, « Histoires noires de la mythologie », Nathan Résumé du roman Résumé du roman : (A proposer sous forme de texte à trous, avec suggestion des mots à y insérer) : Ariane, la fille du roi de Crète Minos et de la reine Pasiphaé, sœur de Phèdre, apprend un jour que le Minotaure, monstre au corps humain et au buste de taureau enfermé dans le labyrinthe que son père a fait construire à l’architecte Dédale, est né d’une union de sa mère avec un taureau – union provoquée

Blessé, Tristan est abandonné par les siens au gré des flots marins. Rejeté sur le sol d'Irlande, il est soigné par la reine, soeur du Morholt et magicienne, et par sa fille Iseult. Guéri, de retour auprès

l’Afrique du Sud, cette dernière ayant été complique de par son assise hollandaise. Ce qui a donné lieu à la guerre des Boers en 1880/1881 et 1899/1902 qui voit triompher l’Angleterre à un terrible prix, qui a aussi énormément touché la population blanche. C’est dans cette colonie qu’existe le système de l’Apartheid, qui apparait dès le XIXème siècle avant sa codification dans les années 1950. Il y a ensuite les colonies anglaises d’exploitation comme l’Inde et les colonies africaines, qui sont un

qui l’utilisaient déjà à l’epoque pour marquer la superiorité de leur civilisation…Les européens de l’ouest reprenne donc ce symbole et l’utilisent ne vous trompez pas pour illustrer l’inversion des poles et la supériorité de la race caucasienne (blanche) sur les autres races ainsi, on utilisera ce symbole la bas pour commémorez des généraux de guerres ayant combattus outre mer, des batailles ou tout simplement des grands hommes ayant œuvrés pour l’édification de l’Europe. J’ai souvenir d’un monument

espaces de pouvoir et de discorde. Tout d’abord, Jennings montre bien à travers son ouvrage que le thermalisme et le climatisme apparaissent durant l’époque coloniale comme les uniques remèdes au « mal des tropique » décimant les populations blanches de l’empire. En effets, au 18ème le climat tropical comporte une dimension fantasmagorique aux yeux des européens. La chaleur apparaît comme une pathologie qui expliquerait l’infériorité cognitive attribuée aux peuples indigènes. Elle serait

classiques ôtent le prestige de la rime). Emile Deschamps, Études françaises et étrangères, Préface, 1828: « la rime est le trait caractéristique de notre poésie ». Victor Hugo, Préface de Cromwell,1827: « (…) un vers (…) fidèle à la rime, cette esclave reine, cette suprême gr^ce de notre poésie, ce générateur de notre maître » (Les romantiques, en particulier Hugo, rétablissent la royauté de la rime). Théodore de Bandeville, Petit traité de versification, 1872: « la rime est tout le vers » (Avec le Parnasse