La Reine morte

 Blanche-Aspirine Il était une fois, dans un lointain futur, une reine qui était derrière le tableau de bord de son vaisseau. Elle ne se sentait pas très bien alors, elle décida de prendre une aspirine, en ouvrant le cachet, elle se coupa et le sang coula sur l’aspirine. Le contraste entre le rouge du sang et l’aspirine était tellement joli qu’elle se dit : - Je voudrais avoir une petite fille qui ait la peau blanche comme cette aspirine, les lèvres rouges comme ce sang, les yeux et les cheveux

 Reine d'Egypte (née 69, morte en 30 avant notre ère), Cléopâtre VI était la fille de Ptolémée Aulète, qui lui avait légué le trône ainsi qu'à son frère, à condition qu'ils s'épousent. Mais les favoris du jeune Ptolémé XIV firent exiler la soeur. Quand après Pharsale César entra dans Alexandrie, Cléopâtre, qui s'introduisit dans le palais, cachée dans un paquet de hardes, séduisit le général romain. Le roi dut se réconcilier avec sa soeur. Cependant, Ptolémée, révolté contre César, se noya dans

La Belle au Bois Dormant, célèbre conte pour enfants de Charles Perrault datant de 1697 et dont l'adaptation cinématographique la plus célèbre est celle de Disney®. Le Roi et la Reine n'arrivent pas à avoir d'enfants puis un jour, la Reine qui a grossit, accouche d'une petite fille. A l'occasion du baptême de la petite princesse, ils organisent une somptueuse fête avec beaucoup d'invités, la famille mais aussi les fées marraines de cet enfant. A cette occasion, chacune des sept fées marraines

Bougainville, entretien de Diderot avec d’Alembert. -Fontenelle : entretien sur la pluralité des mondes, dialogue des morts. -traité sur la tolérance : dialogue entre un prêtre et un mourrant -Marivaux ; l’île des esclaves -Montherlant : la reine morte - Sartre : les mains sales (Hoederer et Hugo qui parlent de leurs convictions politiques) -Beaumarchais : le mariage de figaro -jean Claude carrière : la controverse de Valladolid -camus : Caligula -oscar Wilde : le portrait de dorien gray

de Bougainville, entretien de Diderot avec d’Alembert. -Fontenelle : entretien sur la pluralité des mondes, dialogue des morts. -traité sur la tolérance : dialogue entre un prêtre et un mourrant -Marivaux ; l’île des esclaves -Montherlant : la reine morte - Sartre : les mains sales (Hoederer et Hugo qui parlent de leurs convictions politiques) -Beaumarchais : le mariage de figaro -jean Claude carrière : la controverse de Valladolid -camus : Caligula -oscar Wilde : le portrait de dorien gray -Anouilh :

autre espèce), trouve la reine, subtilise l'hormone de distinction de la reine (comme un parfum)s'accroche sur son dos, dos duquel elle ne va pas descendre avant la mort de la reine Tetramonium. Elle se fera alors nourrir par les fourmis nourrices (la caste qui s'occupe du bien être de la reine), qui pensera nourrir la reine , et beneficiera des mêmes soins de la reine. Et du fait de leur petite taille, on peut compter jusqu'à 6 fourmis parasites sur le dos d'une même reine. D'autres fourmis, et là

la demande de son propre père qui supplia Neptune de le venger. Qu’on se le dise, ma chère, la mort d’Oenone ne m’a pas tant préoccupée que ça. C’était une femme qui croyait être supérieur au peuple, étant donné qu’elle était la confidente de la reine. Je finissais même par être jalouse de voir Phèdre et sa nourrice rirent pendant que moi, je nettoyais le sol à la main. Malgré cela, j’aimais particulièrement Phèdre. Mais les faits se sont déroulés successivement et rapidement. À Trézène tout allait

scène 4), fut écrit par Molière en 1668. Le second texte est une œuvre d’Alfred de Musset. Il s’agit de la scène 1 de l’acte I de Il ne faut jurer de rien datant de 1836. Enfin, le dernier extrait est issu d’un texte d’Henry de Montherlant : La Reine morte (Acte I, tableau 1, scène3) qui est daté de 1942. Les points communs des trois personnages adultes sont l’autorité, la critique et la comparaison de deux générations. En effet, dans la pièce de Molière, Harpagon montre son autorité en imposant

sa vie. Il se considère comme un être malheureux et désespéré : «  Je suis le Ténébreux, le veuf, l'inconsolé, » (vers 1). Il est en manque d'une vie heureuse, d'amour, de joie & d'une famille. En effet, la femme qu'il aimait est morte : « Ma seule étoile est morte » (vers 3), le fait qu'il insiste sur l'adjectif « seule » nous montre qu'il ne réussit pas à l'oublier et à reconstruire sa vie, il reste renfermé dans sa solitude et son désespoir. Il espère la revoir un jour : «  Rends-moi le Pausilippe

ANNEXE : « Bruges-la-Morte », G. RODENBACH 1. Biographie de Georges RODENBACH Georges Rodenbach, né le 16 juillet 1855 à Tournai et décédé le 25 décembre 1898 à Paris, est un poète symboliste et un romancier belge de la fin du XIXe siècle. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise à Paris. Georges Rodenbach est né à Tournai, rue des Augustins (maison disparue). Il a été baptisé à l'église Sainte-Marie Madeleine. Lié, par sa mère, aux familles Baclan et Debonnaire de la ville picarde