La Religion Est Elle Incompatible Avec La Science

cherche des pays où elle peut investir ce capital financier. La puissance financière entraine évidemment une pression politique sur les pays colonisés. C'est ainsi que Les européens deviennent "les banquiers du monde". -Une mission civilisatrice incompatible avec une volonté de puissance Les européens estiment que leur devoir est de civiliser les peuples "dis inférieurs" car ils se considèrent comme une race supérieure. la notion paternalisme : on considère le colonisé comme un enfant à qui il

culturel ou l'impossible universel.] Pour bien comprendre les enjeux de la question, il est néces¬saire de rappeler quelques points. L'idée qu'il existe des valeurs universelles est ancienne. On la trouve dans les formes de pensée des trois grandes religions (juive, chrétienne, musul¬mane), qui se caractérisent elles-mêmes par une prétention planétaire. De manière significative, le mot «catholique», terme grec, a dans cette langue le sens d'« universel ». De même, les commandements bibliques de ne pas

est le monde objectif, c’est-à-dire tout ce qui est mesurable, quantifiable et c’est la raison pour laquelle l’en-soi est le mode d’existence à partir duquel la science constitue ses objets. C’est donc le monde des phénomènes sans aucune valeur puisqu’est pris en compte que ce qui peut être étudié dans une expérience quelconque. La science du XIXème siècle a poussé cette approche en voulant tout réduire à des phénomènes observables, notamment l’homme. C’est en partant de ce principe qu’on a pu calculer

douleur soit éloignée du corps, que l'esprit jouisse de sensations heureuses, délivré des soucis et affranchi de la crainte." (II, v 1 à 19). C'est ce bonheur négatif que les épicuriens appellent ataraxie. Ils assurent que seule la PHYSIS, la science de la Nature, permet d'atteindre le souverain bien car elle purifie notre esprit des représentations erronées du monde et nous libère de deux craintes fondamentales qui font notre malheur : la crainte des dieux et celle de la mort. En pratique, EPICURE

SOMMAIRE Nourriture et religion De la santé publique à la psychiatrie Voyage au coeur d’une cantine Le contexte historique et socioculturel Ronald passe comme « ça » chez Mac Donald’s Mac Do et exploitation animale Conclusion Bibliographie NOURRITURE ET RELIGION On dit souvent que « savoir manger c’est savoir vivre ». En effet les comportements

plutôt dans la continuité et l’actualisation de formes de guerres anciennes. L’idée de conflits de civilisation est-elle pertinente ? Introduction : En 1993, Samuel Huntington, prof de Sciences Politiques à l’université de Harvard, publiait dans la revue Foreign Affairs, un article qui allait faire grand bruit. Intitulé The clash of civilizations ? (http://history.club.fatih.edu.tr/103%20Huntington%20Clash%20of%20Civilizations%20full%20text

numérique par Jean-Marie Tremblay, bénévole, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jean-marie_tremblay@uqac.ca Site web pédagogique : http://www.uqac.ca/jmt-sociologue/ Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.ca/Classiques_des_sciences_sociales/ Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à Chicoutimi Site web: http://bibliotheque.uqac.ca/

l'auteur. La seconde partie se focalisera sur l'articulation de ces éléments de réflexion avec la problématique interculturelle. Chapitre premier Dans ce court chapitre introductif, Freud nous introduit son propos sur le sentiment de religion. En faisant à ses discussions précédentes sur le sujet, il caractérise ce sentiment comme étant au conditionnel un sentiment « océanique » dans le sens de « sans frontière ». Hors Freud ne saurait être d'accord dans le fait que ce sentiment serait

philosophie grecque, et ce qu'elles nous enseignent comme vérité à entendre sur ce que « politique » veut dire en régime démocratique. Dans cette perspective, Arendt promeut une théorie de la sphère publique et se livre à une critique de l'expression « religions séculières ». Elle interroge parallèlement la pertinence du lien entre le christianisme et la sécularisation; Leo Strauss, par son analyse critique de la Modernité, se fait l'avocat du retour à la tradition de la philosophie politique pré-moderne

mais il faut plutôt : 1) se demander ce qui dans l’engagement peut faire penser qu’il y a renoncement à la liberté : - non en énumérant des exemples mais en analysant la notion, en se demandant ce qui dans l’idée même d’engagement peut sembler incompatible avec la liberté (et en illustrant éventuellement cette analyse par un ou quelques exemples précis et commentés) ; - en évitant, également, de « contourner » cette réflexion en examinant les conséquences éventuelles de l’engagement (comme l’emprisonnement)