La Religion Et Le Te Deum De Victor Hugo

critique acerbe ainsi qu’au vers 126 (« crachez vos te Deum à la face de Dieu ») où il y a une rupture de ton très spectaculaire. Besoin de couper court à une émotion. Pauline Roland était une femme de lettre adepte du saint-simonisme, qui fut arrêtée en février 1852 pour être venue en aide à des familles des proscrits. Sa générosité, son dévouement et sa souffrance, ainsi que sa foi en font une martyre mais aussi un exemple que Victor Hugo propose à ses contemporains pour leur redonner l’espoir :

guerre d’après « les lois du droit public ». Mais nous remarquons qu’il y a une certaine ressemblance entre les deux armées comme leur nom bulgare/arabe mais aussi dans leur méthode de faire la guerre comme les « deux rois [qui] faisaient chanter des Te Deum » ou encore leurs méthodes dans les villages ennemis « les héros arabes l’avaient traité de même ». Voltaire s’attaque surtout dans cette description aux souverains et à l’église. En 1756-1763 a lieu la Guerre de sept ans en Europe qui opposent

aurait-on pu admettre un fragment de la Pitié, par exemple, le passage relatif à la captivité du petit Louis XVII au Temple. Outre que le morceau ne manque pas d’intérêt, on aurait découvert, en le lisant, une des sources où puisait le jeune Victor-Marie Hugo quand il composait ses premières odes. Mais je n’insiste pas. Il suffit qu’on n’ait rien omis d’essentiel. La seconde raison de M. Lemoyne est d’ordre esthétique et vaut qu’on s’y arrête. La voici dans toute sa force : « André Chénier est

et la Religion (Cf. Affaire Calas), à l’époque de la guerre de | | |Sept Ans (1756-1763). | |- Une religion toute puissante et intolérante, plus proche du fanatisme ou |- Candide condamne la religion sous toutes ses formes : fanatisme (autodafé| |de la superstition et qui se fait la justification d’abus comme la guerre |chap.6), légitimation de la guerre (Te Deum chap

Citations : Religion Page 3/3 "Dans l'esprit du paysan, tout l'effort de la religion consistait à desserrer les bourses, à vider les poches des hommes pour emplir le coffre du ciel. C'était une sorte d'immense maison de commerce dont les curés étaient les commis, commis sournois, rusés, dégourdis comme personne, qui faisaient les affaires du bon Dieu au détriment des campagnards. Il savait fort bien que les prêtres rendaient des services, de grands services aux plus pauvres, aux malades,

Il n'y a pas que le crime des soldats qui sont mis en parallèle : -L12 «les deux rois faisaient chanter des Te Deum» → attitude mise en parallèle , Un Te Deum = prière d'action de grâce , prière dans laquelle on remercie Dieu → Le narrateur s'en prend à la religion , cautionné le pouvoir des princes et le fait que des deux côtés on remercie Dieu → religion qui n'est pas fiable car les 2 camps ne peuvent pas être vainqueurs = NARRATEUR SE MOQUE DE L'EGLISE CATHOLIQUE.

monde nouveau, la volonté d’exprimer dans un langage renouvelé une aspiration à la liberté et d’affirmer par là un nouveau pouvoir spirituel. On suivra 3 aspects de ce mouvement : ses relations avec l’essor du libéralisme, puis ses liens avec la religion et enfin sa place dans l’affirmation de l’idée démocratique et humanitaire au milieu du siècle. Les paramètres nécessaires sont manquants ou erronés. I) De la Contre-révolution au Libéralisme On a souvent désigné les romantiques comme les enfants

J'AVDBOUND AT THE UNIVERSITY OF TOUl IVTn ~ LA COULEUR. LA LUMIÈRE ET L'OMBRE DANS LES MÉTAPHORES Dl VICTOR HUGO METAPHORES Ils DANS L'ŒUVRE LA ET DE LES COMPARAISONS HUGO VICTOR COULEUR LA LUMIÈRE ET L'OMBRE DANS LES MÉTAPHORES DE VICTOR HUGO PAR EDMOND HUGUET : Il R A LA FACULTÉ DES LETTRES DE l'uNIVERSJTE DE CAEN ^^-^ PARIS BRA1RIE HACHETTE 7m. ET boulevard saint-germain, 79 1905 C lff 16 U 19 i AVANT-PROPOS Ce volume, comme le précédent', est fait pour

formuler que dans un rapport de réciprocité avec la nécessité d'occuper les positions favorables et de les aménager, surtout, en vue des mouvements décisifs. Plaire et convaincre ne vont pas sans ces calculs qui font la spécificité de l'écrire Hugo, par l'application ou la subversion qu'ils opèrent des règles de la dispositio, en quoi consiste l'invention du roman et se mesurent les intentions du romancier. Effets, à tout coup, d'une « préméditation involontaire ». Composer, c'est, par exemple

l’Homme et de l’horreur qu’est la femme. Forcé de constater que les fleurs du mal est un recueil cohérent qui ne surprend donc pas le lecteur puisqu’il suit le chemin de la vie : de la naissance à la mort. Les illusions perdues, les passions, la religion et la mort sont sans doute des sujets tabous à cette époque mais ils sont une réalité que personne ne peut nier. Baudelaire n’ayant jamais promis d’écrire quoi que ce soit de gai est resté fidèle à lui même et a tout au long de son recueil exprimé