La Représentation Du Monstre

fatigue ») = Paris est un monstre (« colosse, géant informe ») – Fin du passage = sorte d’hallucination (« descendre la longue avenue ouverte devant lui ») Le registre épique * Ville semblable à un monstre – « lueur de forge démesurée » → mythe d’Héphaïstos, dieu grec feu/forge/volcan – Vision hyperbolique (« rumeur confuse, immense, démesurée ») d’une ville transformée par l’esprit torturé de Duroy – Madeleine est un monstre, les femmes sont des monstres, la ville est un monstre, Duroy appartient

La représentation de la ville dans la littératureLa représentation de la ville dans la littérature Dans son essai, Marches dans la ville, Certeau explique qu'on ne peut pas voir une ville entière sans un œil omniscient. De loin, on peut saisir une image de la ville, mais pour lui, la vraie ville est faite de ses habitants et de la façon dont ils interagissent entre eux et avec la ville. Dans la littérature, un auteur est capable de saisir l'essence d'une ville et de ses habitants à l'aide de métaphores

Dans la religion chrétienne, la fin des temps se caractérise par le Jugement Dernier ; dont la représentation faite du purgatoire va peu à peu s’infernaliser ; les tourments que le chrétien y subit ne sont pas toujours discernables de ceux de l’Enfer. C’est ce que Giotto di Bondone décide d’immortaliser en peignant cette immense fresque de l’église de l’Arena, à Padoue. Datant de 1306, période des grandes cathédrales, où l’Eglise est florissante, l’œuvre est réalisée sur commande d’un banquier padouan

Dès l'arrivée de Persée, il tomba amoureux d'Andromède et demanda au roi de l'épouser lorsqu'il racheta le pays de l'élan divin. Il tue le monstre, épouse Andromède et revient avec elle à Sérifos. Il pétrifie Polydecte et ses compagnons parce qu'il a usurpé le trône et expulsé Dictys et Danaé. Il a donné le trône au Dictys, il rend les cadeaux à Hermès, les sandales ailées et le casque, et la

Baccalauréat blanc de Français Objet d’étude : le Théâtre et sa représentation Corpus : texte A : Pierre Corneille, Le Cid, Acte I, scène 4, 1637 texte B : Jean Racine, Phèdre, Acte I, scène 3, 1677 texte C : Eugène Ionesco, Rhinocéros, Acte III, scène finale, 1959 Question : (4 points) Comment les spécificités du texte théâtral (personnages, registres, énonciation, etc.) apparaissent-elles dans ces trois extraits ? Travaux d’écriture : Vous traiterez

est la représentation d'un être mythique, une chimère, un monstre à trois têtes[1] avec une gueule de lion, une tête de chèvre qui jaillit sur son dos, une tête de serpent au bout de sa queue. La Chimère adopte une position défensive, après avoir reçu une blessure que Bellérophon, chevauchant Pégase, lui a infligée. Elle date probablement du Ve siècle av. J.-C. et est probablement issue d'un atelier du nord de l'Étrurie (Orvieto, Chiusi ou Arezzo)[1]. Suivant la légende[1] elle aurait été

mal-être en peignant cette toile, symbole de sa déception. Le tableau est donc le miroir de ses sentiments face à un amour déçu. La femme est représentée comme une victime. Elle est faible, pâle et ne peut pas se défendre face aux deux monstres l'oppressant. La représentation de la femme faible, presque mourante, est idéalisée par les romantiques. Un cauchemar est le miroir de nos sentiments qui peuvent se traduire de façon abstraite et imaginaire. On sait donc que l'auteur veut nous montrer ses état d'âme

crime tellement atroce à son époque qu’on l’attribuait à un égarement envoyé par les dieux. Le substrat de cette représentation renvoie à un préjugé misogyne et nationaliste. La Médée de Sénèque. Le philosophe procède à une observation clinique de la passion. Son héroïne possède des caractères universels, ceux de la femme trahie et de l’étrangère bafouée . Il dénonce des représentations stéréotypées de ses contemporains et les engage à se reconnaitre eux-mêmes dans sa Médée, d’une terrible lucidité

offrent une représentation singulière du groupe. Un peu chien, un peu ours, félin, le groupe connaîtra par la suite plusieurs scissions, pour constituer les groupes de carnivores que nous connaissons au XXIème siècle. Leurs tailles étaient loin d'être homogènes. Des chercheurs ont trouvé des espèces possédant un crâne de 80 cm de long. Une espèce libyenne, ressemblant à une hyène aurait eu un crâne de 70 cm de long. Elle s'attaquait à des éléphants gigantesques. A côté de ces monstres, existait

celle des autres œuvres liées à ce thème. Depuis les regards des contemporains de l’artiste jusqu’aux analyses savantes les plus récentes, on n’en finit pas de retracer les sources antiques, l’origine de l’urne ou le dessin des pieds des victimes du monstre tout comme on n’ignore plus rien de l’histoire des tableaux, des collectionneurs, des marchands, voire des clous grâce auxquels ont été suspendus les tableaux… Sur le sens profond de l’œuvre, en revanche rien ou presque sinon des analyses hâtives