La Responsabilité Et La Conscience

revient à se remettre en question, par mauvaise conscience, culpabilité ou regret. Il s'agit dans un premier temps de voir comment et dans quelle circonstance nous pouvons répondre de nos actes et ainsi se montrer responsable de la vie que nous menons. Dans un second temps, il faut exposer les faits qui peuvent s'opposer et entraver cette prise de responsabilité. Enfin, dans un dernier temps, nous verrons comment nous pouvons diriger notre conscience sur sa prise de décision qui a obligatoirement

libre, c'est prendre des décisions, s'engager et implique ainsi une responsabilité. L'homme véritablement libre ne connait pas de repos. Il lui faut toujours penser. Or, la liberté définit l'essence même de l'homme. L'histoire de l'humanité est l'histoire des combats que les êtres humains ont livré pour la conquérir. D'elle dépend le bonheur de l'existence. Ici se pose un problème conceptuel: la liberté, comme fardeau de responsabilite, est-elle à craindre? Dans un premier temps, nous verrons qu'est

La conscience I – La conscience, condition essentielle du sujet A – La définition de la conscience Le mot conscience vient du latin « cum scientia » Qui signifie « savoir ensemble », « savoir rassembler ». Au sens général la conscience est le savoir intérieur immédiat que l’homme possède de ses propres pensées, sentiments et actes. Il existe plusieurs sortes de conscience : - La conscience spontanée des choses existant autour de soi La conscience réfléchie de soi, qui demande un certain raisonnement

Dissertation : Sujet : Suis-je responsable de ce dont je n’ai pas conscience ? Le philosophe, dramaturge et romancier français Jean-Paul Sartre (1905-1980) disait « Dans la vie on ne fait pas ce que l'on veut mais on est responsable de ce que l'on est ». Cette citation est à la fois révélatrice de la pensée existentialiste et de l’ardeur du débat qui règne entre l’inconscience et la responsabilité. La notion d’inconscience peut être distinguée entre trois instances majeures

différents degrés de la conscience humaine. Spontanément, certains tels Descartes pensent toujours pouvoir être maîtres de leurs actes, avoir une conscience permanente. Or est ensuite apparue la théorie de l’inconscient formulée par Freud admettant que celui-ci constitue la partie la plus importante de l’esprit, contrôlant ainsi la majeure partie de nos actes. Nous remarquons que les idées communes sont contradictoires, nous poussant donc à rechercher les limites de conscience de nos agissements, jusqu’où

d’abord avoir conscience de nos faits et gestes et de pouvoir en assumer les conséquences. Or être conscient signifie donc que lorsque je pense, sent ou agit, on sait que l’on pense, sent ou agit. Donc je suis responsable a partir du moment où j’ai conscience d’être ce que je suis. Prendre conscience de soi, c’est produire une identité. Autrement dit avoir sa propre identité passe par la responsabilité de soi. Or il est difficile de savoir comment un sujet peut prendre conscience de lui, c'est-à-dire

comportements qui pourraient nous rendre responsable de ces événements ? La part de responsabilité dans ceux-ci ne dépend peut être pas de nous tous mais bien par qu’elle moyen vient elle à nous, est-ce par nos comportements et nos actions ? Si tel serais le cas nous oublions un des sens de la responsabilité qui passe par la conscience des conséquences de nos actes. Nous pourrions aussi nous demander a qui vient alors la responsabilité des séquelles commises par des gestes pavées de bonnes intentions ? Tout

saisit consciemment pensant et fait donc de lui un sujet pensant, responsable de ses actes. De plus, le principal reproche fait à la psychanalyse est relatif à la division de la conscience établie par Freud, à savoir en " ça ", " moi " et " surmoi ", alors que selon des philosophes comme Descartes notamment, la conscience est unité ( seule existe une métaphysique de l'âme et tout ce qui n'en faifckmct de ce qu'il faisait : quand on l'a grondé d'avoir manger ce ver, il n'en comprenait pas forcément

accompagnée de la représentation du but à atteindre. En d’autres termes le désir est comme une relation particulière que nous entretenons avec un objet. Cet objet est estimé par nous comme une source de satisfaction. Il s’ajoute ici la question de la responsabilité de l’Homme face à ses désirs, l’Homme est il la cause ou à l’origine des ses désirs, répond t-il moralement de ses désirs ou assume t-il un pouvoir de décisions face à ses désirs. Il convient donc de se demander si l’on peut pleinement nous tenir

que ce que l‘on pensait. Même si cette attention part d’un bon sentiment , il est possible qu’elle ne plaise pas. Il nous est également tout à fait possible d’accomplir une action sans une bonne volonté, « à contre cœur ». Cela signifie que notre conscience est opposée à l’action. Nous ne voulons pas la faire mais nous nous y forçons, nous subissons. Bien que le résultat soit le même pour une action telle qu‘une corvée, la mauvaise intention modifie le tout, car l‘action n‘est pas pleinement voulue