La Règle De Bienséance

nouvelle et le roman. Et on différencie les registres avec la règle de la bienséance. En effet la littérature française va se codifier et ce dans tous les genres littéraires, pour le théâtre, il y aura la mise en place de la règle des trois unités (unité de lieu, de temps et d’action) qui avait été évoquée au paravant par Boileau «qu’en un lieu, en un jour, un seul fait accompli tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli». La règle de la bienséance est également établie. Et la poésie est aussi codifiée, l’alexandrin

littérature est soumise à une esthétique qui implique l'existence d'un bel universel. La littérature a pour but de plaire et d'instruire. La tragédie, elle, était régulière et obéissait à des règles comme celles des ''trois unités'' et de la bienséance. Ces règles ont une logique. La tragédie du 16ème siècle, avant les règles, s'appelait humaniste: elle comportait la déploration et non l'action des personnages. Les acteurs pleuraient et chantaient au départ. La tragédie classique est en action:

vous appuierez sur vos connaissances, sur votre expérience de lecteur et spectateur et sur les textes du corpus. Le théâtre est avant tout un art né en Grèce pendant l’Antiquité. Il obéit un certain temps à la règle de bienséance qui avait pour but d’empêcher aux spectateurs d’être choqués et à celle des trois unités qui visait avant tout à donner un caractère de vraisemblance aux pièces représentées. Cet art à évolué tout en traversant les différentes périodes

représentation du Malade imaginaire. La Grande Comédie Le genre de la grande comédie au XVII siècle qu’a inventé Molière, comme par exemple avec l’Ecole des Femmes, s’apparente à celui de la tragédie classique. Tout d’abord, on peut voir que la règle des trois unités est respectée. La durée de l’histoire ne doit pas durée plus de vingt-quatre heures, pour respecter la vraisemblance. Dans l’Ecole des Femmes, l’histoire ne dépasse pas cette durée. Elle commence lorsque le matin Arnolphe annonce a

dans le temps et dans l'espace et montrer l'instabilité de l'homme dans l'univers. Tout est en mouvement, rien n'est jamais acquis, tout évolue, tout peut être remis en cause, tels étaient les convictions des artistes baroques. Ils refusaient toute règle, toute contrainte qui auraient pu les gêner dans leur création et leurs champs d'investigation étaient surtout, l'illusion, l'artifice, le mensonge. Or, le classicisme aspire à l'ordre et à la rigueur. En effet, le classicisme s'affirme en réaction

oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer ». C’est une règle de droit objectif qui édicte le principe de la responsabilité civile du fait personnel. 2. Lorsqu’une personne subit un dommage causé par la faute personnelle d’une autre, elle a le droit de réclamer la réparation à celle-ci. Elle bénéficie d’une prérogative individuelle, dite droit subjectif, qui lui est conférée par le droit objectif. La règle de droit Si le droit est l’ensemble des règles de conduite qui s’imposent

développé comment ce texte crée une rupture avec le théâtre classique pour s'affirmer en tant que drame romantique. Les parties étudiées seront la construction du texte dans le but de choquer les adeptes du théâtre classique puis le refus de la règle de bienséance et nous finirons par le mélange de registres et de genres. Victor Hugo a construit son texte de façon à choquer les adeptes du théâtre classique, par exemple, dès le premier vers, un enjambement est présent, la réaction ne se fit pas attendre

tourments intérieurs (peine de cœurs...) -Règle des trois unités : unité de temps, de lieu, et d’action -Veillez a la bienséance -Veillez à la vraisemblance Le drame romantique (19e ) -mélange des registres (souvent tragique et comique) -alternance entre les moments sublimes (noblesse des sentiments, grandeur des situations) avec les passages grotesques (situations comiques) -rejets des règles formelle tel que : •unité de temps & de lieu •règles de bienséance (=pas de sang, pas de choses qui pourrait

nouveau genre théâtral, le drame romantique. Ce mouvement marque une véritable rupture avec le théâtre dit « classique ». En effet, le drame romantique remet en cause les fondements de la tragédie classique comme par exemple la règle des trois unités ou encore les règles de bienséances. Ce mouvement va s’entendre sur une durée relativement courte (une trentaine d’années) durant laquelle des auteurs tels qu’Hugo ou Stendhal vont tenter de définir les caractéristiques du drame romantique. Ainsi, pour Hugo

sont « [des] créatures vivantes, […] de chair, de sang, de nerfs et de bile » comme l’a dit Jules Lemaître. Les auteurs romantiques recherchent, pour leurs œuvres, la vraisemblance. Pour cela, dans la conception du drame, ils doivent rejeter la règle des trois unités, propre au théâtre classique, qui relèvent du caractère figé de l’action et donc entravent la véracité de la pièce. Tout d’abord, l’unité de lieu est abandonnée car, comme le dit Victor Hugo dans la préface de Cromwell, « quoi de