La Répartition Chez Marx

Frédérique lePlai  recueille systématique des analyses sociales : en 1855 avec 36 monographie de famille ouvrière avec la voie de l’observation des faits. Il va observer la société pour mettre en place un réformisme Sociologie = travaux politique Marx  il va utiliser les donné de l’enquête sociale pour proposer un cadre théorique conceptuelle. Pour lui la misère ouvrière n’est ni accident ni provisoire mais elle s’inscrit au plus profond du système capitaliste. Auguste Comte inscrit le savoir

pourcentage de l’emploi total 1985 1995 2005 2012 Intérimaires Apprentis CDD 0,4 0,6 4,3 1,0 0,7 7,6 2,1 1,3 8,1 2,0 1,5 8,5 FPE en % de l’emploi total 5,5 9,2 11,4 12,0 Formes Particulières d’emplois en pourcentage de l’emploi total chez les 15-24 ans 1985 1995 2005 2012 Intérimaires Apprentis CDD 1,3 4,8 14,1 3,2 6,6 26,8 7,6 13,7 24,4 6,3 17,4 26,6 FPE en % de l’emploi total 20,2 36,6 45,7 50,3 C. Une tendance de fond : la tertiarisation Tertiarisation : tendance à

née de la première révolution industrielle est marquée par la place centrale du secteur secondaire, la centralisation de la production dans les usines (factory system), l’essor du salariat et de la classe ouvrière. Au milieu du XIXème siècle, Karl Marx (1818-1883) voit dans la misère ouvrière la conséquence immédiate des rapports de production(relations déterminées par la place qu’occupent les individus dans un mode de production)caractéristiques des sociétés capitalistes (le salariat): l’exploitation

Durkheim (1858-1917) et l’analyse des faits sociaux : la sociologie comme application du rationalisme scientifique. 3 6. Max Weber (1864-1920) et le processus de rationalisation du monde moderne : la nécessité d’une approche compréhensive. 6 7. Karl Marx (1818-1883) l’analyse des rapports sociaux de production comme intention sociologique. 7 8. Pierre Bourdieu (1930-2002) et le structuralisme génétique. 8 9. Production de la société : Alain Touraine et la théorie des mouvements sociaux 10 PARTIE

processus (il faut assurer les 3 points). La première question est sur le découpage du travail : on a une quantité de travail en 4 taches. On va d’abord répartir ces taches en plusieurs taches dans un temps bien déterminé. La seconde question est la répartition des individus. On va se demander si on a des individus spécialisés. On va voir s’il y a une rotation, si les individus vont changer de taches (spécialisation ou polyvalence). La troisième : les modalités de coordination : les décisions sur le déclenchement

des populations(sous reserve d’une repartion 2) les étapes de la croissance Les étapes de la croissance ont été théorisé par Walt Whitman Rostow ( 1952) The process of economic growth traduit en français les étapes de la croissance économique chez Seuil en 1963. Cet auteur identifie 5 étapes du développement : LA société traditionnelle, les conditions préalables au décollage, le décollage, le progrès vers la maturité, l’ère de la consommation de masse 1° La société traditionnelle : Dans cette

socialistes, dont l’intérêt de celles-ci sont exprimées dans l’ouvrage L’extinction du paupérisme. Cette position le conduit à prendre des mesures en faveur de la classe ouvrière, par ex. en 1864 avec l’octroi du droit de grève; il va aussi accueillir Marx. Un certain nombre de mesure va permettre d’améliorer la condition ouvrière. Le bonapartisme abandonne les principes monarchistes pour devenir le parti de l’appel au peuple. Il fait évoluer son régime vers un régime parlementaire avec une chambre

une science de gestion de la rareté. Comment s’organiser pour produire, répartir, distribuer et consommer au mieux les richesses ? Les Libéraux s’intéressent à la production pour augmenter l’offre, et les politiques de gauche sont axées sur la répartition. Cette définition rend l’économie universelle et intemporelle. Dès l’Antiquité, les préoccupations économiques sont fortes, mais elles restent embryonnaires et n’offrent pas un système complet de pensée sur le fonctionnement du monde ou du pays

............................................................ 6 3. Les causes plus profondes ............................................................................................................... 7 4. Les théories des crises chez Marx, Keynes et Schumpeter – des théories solides mais dépassées. 12 5. L’actuel dilemme keynésien .......................................................................................................... 15 6. Perspectives d’avenir ....

de se construire une identité collective. MARX va dénoncer cette distorsion : c’est un voile sur la réalité. L’idéologie, on peut l’envisager sous son aspect positif (sans elle on ne peut donner sens à la réalité- besoin de congruence) ou bien négatif (elle introduit une distorsion dans la perception de la réalité ; elle légitime les pouvoirs en place) : L’idéologie sert donc les Dominants, et ne sert pas les dominés . Lien entre RICŒUR et MARX : Il n’est pas question pour Paul Ricœur de