La Révolte Est Elle Légitime

1 En principe la loi est incontestable car suffisamment légitime... La légitimité démocratique de la loi Dans une démocratie, la loi doit être respectée : elle assure la paix sociale et elle demeure l'expression de la volonté populaire. En effet, la déclaration des droits de l’homme et du citoyen (DDHC) proclame que « la loi est l’expression de la volonté générale ; tous les citoyens ont le droit de concourir personnellement ou par leur représentants à sa formation » (article VI). Il en résulte

de l'Homme et du Citoyen, et les forces de la police joue le rôle des « chiens de garde » de cette bourgeoisie, ce que critique Marx. La révolution Française a été avant tout une prise de pouvoir par la force, et même si son gouvernement a été légitimé par la suite, bafouant les droits naturels des hommes, celui-ci n'a eu d'autre choix que de disparaître. Effectivement, ce « droit du plus fort » ne pouvait mener qu'à une situation conflictuelle, et était incapable de générer la moindre stabilité

personnage du « sage ». 2 : Un discours véhément qui exprime la révolte. 3 : Un discours prophétique qui annonce un avenir funeste. II : Le retour au naturel et à la simplicité des besoins. 1 : Un bonheur basé sur le simple nécessaire. 2 : Une affirmation des valeurs fondamentales de l'humanité. 3 : Un refus de la décadence. 3 : Rédaction du Commentaire. Diderot présente le vieillard comme un homme dont la parole est légitime, c'est une sorte de « portier familias », bienveillant et de bon

date prévue. Nous nous poserons donc la question : en quoi cette scène d'accouchement est-elle réaliste ? Dans un premier temps, nous étudierons en quoi cette scène est réaliste. Dans un second temps, nous évoquerons la jalousie et la révolte de Jeanne. Pour terminer, nous verrons les effets de la maternité sur Jeanne. Tout d'abord, nous allons voir une scène réaliste qui nous montre les souffrances insurmontables de Jeanne lors de son accouchement décrit par Guy de Maupassant

pavés et cocktails Molotov sont les armes des étudiants contre les matraques et gaz lacrymogènes des CRS. L’évacuation se déroule dans la violence : 600 personnes sont arrêtées. La révolte, d'abord universitaire, débouchera sur des grèves et une crise sociale généralisée. 10 mai : la "nuit des barricades" : La révolte des étudiants atteint son point culminant dans la nuit du 10 au 11 mai au cours de laquelle étudiants et CRS s'affrontent dans de véritables combats de rues : voitures incendiées,

fortes et boucle de cette façon le cycle des gouvernements en nous faisant arriver de là où nous étions partis. Si cette la thèse de Rousseau s'avère juste, il devrait donc avoir le retour d'un gouvernement légitime comme la démocratie. Cependant, le despotisme n'est pas juridiquement légitime alors pouvons nous parler d'un retour à l'état de nature ? Pourquoi ? Rousseau explique que le despotisme a pour fondement la loi du plus fort. C'est à dire qu'un homme prend le pouvoir et se place

d’esclave. Un nombre important d’esclaves se sont résignés à vivre tant bien que mal dans l’esclavage. Ex : « Le nègre de Surinam », Candide de Voltaire La répression contre les tentatives de libération est sévère. Les révoltes sont réprimées avec force. Ex : La révolte de Spartacus : nombreux morts et les survivants (environ 6000) ont été crucifiés. La fuite est elle-aussi dangereuse. Ex : Si l’esclave est retrouvé, il peut se faire tuer ou couper une jambe. Analyse d’image Il s’agit

travers l’exemple des émeutes et violences urbaines des banlieues françaises de novembre 2005. Les rapports entre autorité et société à l’âge traditionnelle sont avant tout à l’image d’une alliance classique. L’autorité est un concept ancien qui légitime le pouvoir dans les sociétés qui s’y soumettent. Toute société suppose, pour assurer sa permanence à travers les âges, l’existence de différentes autorités titulaires des pouvoirs à exercer dans cette même société. L’autorité apparait toujours comme

paternelle a une certaine légitimé naturelle avec le conditionnel "si". Mais à peine reconnue, il y a une objection (avec "mais"). Aussitôt reconnue elle est aussitôt restreinte. Le conditionnel montre bien que ce n'est pas respécté, et nous montre que la puissance paternelle se prolonge de façon illégitime. 2) La puissance par la violence Ca commence par la formulation "ne que" et tout le reste du vocabulaire est péjoratif => "usurpation" "force" "soumis". Conséquence : La révolte contre l'autorité

chacun puisse disposer de la liberté nécessaire pour disposer de lui-même ? Rousseau écrit dans le Contrat social : "L’obéissance à la loi qu’on s’est donnée est liberté". N’est-on pas plus libre quand on obéit à des lois parce que celles-ci sont légitimes et émanent de la volonté générale, parce que l’on n’est pas dans une situation de contrainte mais dans une situation d’obligation (je me sens obligé quand je reconnais la légitimité et la valeur des lois ; je suis contraint même si les lois sont