La Rêverie

pittoresquement -monde d'ordre/harmonie au-delà du chaos/désordre : sens réunis harmonieusement (noyer son regard, mélodie monotone de la houle, …) rêve qui fait oublier au poète qui il est, « dans la grandeur de la rêverie, le moi se perd si vite » Un récit en pic : La rêverie et la méditation qui constituent la phase en ascension, puis la révolte et la défaite qui forment la chute. → Un paysage propice à la contemplation et à la méditation sur la nature humaine et pourtant il contient déjà

nuits, II arrive souvent que sa voix affaiblie Semble le râle épais d’un blessé qu’on oublie Au bord d’un lac de sang, sous un grand tas de morts Et qui meurt, sans bouger, dans d’immenses efforts. I° AVANT LA CREATION : rêverie et méditation. 1) La rêverie Le poème commence, comme dans Chant d’automne, par adopter un ton général, avant d’y opposer une focalisation intime. « Il est amer et doux », « Les nuits d’hiver » : le poète considère cette scène comme étant de portée universelle

très belle femme car elle est amoureuse. Comme elle est amoureuse, son visage ne peut être que magnifique. B) On voit que c'est une femme passionné, l'amour l'empêche de dormir. Elle est incapable de penser a autre choses, elle est en pleine rêverie. → ça montre bien que la princesse est emporté par son esprit et son corps, c'est une femme passionnée. Elle n'as pas conscience de son amour pour Mr de Nemours mais elle nous le montre. Le tableau (ligne 20) représente le Duc de Nemours.

s'imaginer cette scène. * Pas de lieu, pas d'indice sur le moment. * A priori long moment puisque imparfait (durée) + "quelquefois" * imaginaire : "Je croyais" (vers 20) C'est la beauté du tableau qui provoque la naissance de la rêverie.   B. Un tableau en clair obscur * tableau : souvenir présenté comme une vision : "je l'ai vue" * vision statique, pas de fin au récit : C'est seulement l'arrivée de Junie ; majorité d'imparfaits * tableau en clair obscur : *

Plan : I) Un voyage exotique A. La description d'un paysage exotique B. Des lieux propices au voyage II) Un voyage sensoriel A. La sensualité de la femme et du voyage B. Une rêverie visionnaire C. La correspondance des sens : les synesthésies III) La recherche d'un idéal A. La recherche d'un idéal, d'un paradis perdu B. L'expression d'un idéal poétique Quels sont

Paysage I) Le paysage urbain réel 1) Baudelaire parle de ses rêveries à la fenêtre pour créer ses poèmes. On découvre le Paris du XIXe siècle. - Le poète à sa fenêtre : thème romantique. - Omniprésence du ciel -> champ lexical. Astrologue, clochers (2), mâts, ciel / cieux (religieux). Strophe 1 : V2 :nuit V3 :Matin :le jour. Strophe 2 : ciel voilé (brume, fumée, fleuves de charbon, nuit / pénombre.) Vastitude, liberté, associés à la ville. 2) La ville industrielle a) "Les clochers" :

précis, un autre indice temporelle est mis en évidence (v.1) « automne ».Il y a une transition entre le jour et la nuit et l’été et l’hiver, le poète met en avant les éléments spatiaux temporels." " - Ce poème décris un moment propice à la rêverie : le poète à les deux yeux " fermés. Le souvenir vécu par le poète est mis en évidence par l’emploi du pronom personnel «  je »,ce poème est donc un poème lyrique ( projection des sentiments ). «  Parfum Exotique  » dégage une ambiance chaude

Textes de référence: Le Titan (La Légende, nouvelle série), La vision de Dante (La Légende, dernière série), La vision d'où est sorti ce livre, (La Légende, nouvelle série), La pente de la rêverie (Les Feuilles d'Automne), L'égout de Rome (Châtiments). Pour situer les perspectives de l'examen de ces textes du point de vue d'une sémiotique de la description, il convient de rappeler quatre problèmes généraux -et les réponse de principe que leur donne la sémiotique. 1) Celui de la référence. Parler

me vis accoudé, froid, muet, enviant » v.15-16. Il s’agirait ici d’une rêverie. Le « je » lyrique quitte l’espace urbain pour un salon de jeu. « Danse macabre » Aucune information de la figure de flâneur. Il s’agit d’une allégorie : le train de ce monde conduit par la mort1. « l’amour du mensonge » « Quand je te vois passer, ô ma chère indolente » v.1 « quand je contemple » v.5 Observation d’une femme ; prétexte à la rêverie dans la rue. « je n’ai pas oublié… » « Je n’ai pas oublié, voisine de la

du monde réel, et est la meilleure façon de s’échapper du quotidien et de ne plus penser aux petits tracas du quotidien. Selon Serge Tisseron, psychiatre et psychanalyste, il existe trois types de songes : tout d’abord, il existe la rêvasserie, la rêverie et l’imagination. Le songe le plus créatif et le plus bénéfique pour nous est l’imagination. En effet, l’imagination nous permet de créer nos propres histoires, afin de renouveler continuellement notre imagination, la création. Il peut parfois résoudre