La Schizophrénie

coordination des mouvements Peut causer des vomissements Baisse de la vigilance Peut provoquer des hallucinations ou des troubles psychiques à forte dose, des bouffées délirantes, problèmes de concentration, augmentation du pouls Peut déclencher une schizophrénie Baisse de concentration, perte de motivation Le cannabis entre par le système respiratoire contrairement à l’alcool : Il n’y a donc pas d’organe comme le foie pour l’empêcher de pénétrer jusqu’au cerveau Peut entraîner une réduction du QI De nouveaux

degré de gravité sont très variables. La base en est, pour l'enfant, une autre constitution du monde. Une maladie énigmatique Le terme « autisme » a été créé en 1911 par le psychiatre suisse Eugène Bleuler (1857-1939) dans une étude sur la schizophrénie pour désigner un comportement de repli sur soi . On estimait que l'autisme trouvait son origine dans une relation de mauvaise qualité entre la mère et l'enfant. Les tentatives de traitement était donc exclusivement psychanalytiques, avec tous les

public baptise folie ». Cette citation de Jean Cocteau nous plonge directement dans la complexité du terme « folie ». Pour les médecins, le mot folie n’a pas de réelle définition. Elle désigne un ensemble de syndromes tels que la paranoïa, la schizophrénie ou encore la bipolarité vulgarisés sous un même terme. L’histoire et les progrès scientifiques ont permis la distinction entre ces différentes maladies et la mise en place de traitements efficaces mais aussi leur développement sous différentes

années, et même toute une vie, en se fixant ou non sur le même objet. Forme secondaire Si l’érotomanie peut être isolée – on est alors dans le registre de la paranoïa – elle peut se trouver associée à d’autres éléments délirants comme la schizophrénie ou même des éléments non-délirant comme la bipolarité (troubles maniaco-dépressif) ou les troubles de personnalité limite. Tout en gardant les caractéristiques symptomatiques de la forme primaire (érotomanie pure), la forme secondaire se présentera

peuvent être les conséquences d'une vie factice qui vient concurrencer la vie réelle et va même jusqu'à la doubler. Des états psychotiques et un déséquilibre psychologique peuvent en découler ainsi que d'autres maladies mentales telles que la schizophrénie, la psychose, les troubles de la personnalité, la paranoïa ; des maladies caractérisées par la perte de contact avec la réalité. Sartre ( écrivain français et philosophe du 20e siècle ) a différencié deux catégories d'individus selon qu'ils préfèrent

En décembre dernier, le patient a acheté un blouson 2000 euros, contractant une découvert de 1500 euros sur son compte A ce jour, Traitement : -Leponex 100 mg 1 cp le matin et 4 le soir (neuroleptique atypique) pour le traitement de la schizophrénie notamment les symptômes productifs. Effet secondaires : Agranulocytose, chute des leucocytes, hyper salivation, sudation excessive, prise de poids, syndrome malin. -Urbanyl 5mg 3 fois par jour pour le traitement de l’anxiosité. Effets secondaire :

Caractérisées par : Pas de délire ; Conscience du caractère pathologique du trouble, Symptômes compréhensibles en fonction de l'histoire du patient, Facteurs psychiques jouant un rôle important dans leurs genèses. Les troubles psychotiques : - la Schizophrénie - les Troubles délirants persistants - les Troubles psychotiques aigus et transitoires Caractérisés par l'existence : d'un délire (avec ou sans hallucinations) et /ou d'une désorganisation mentale. Psychopathe perverse : Est un trouble de la personnalité

DESCRIPTION : M. D., patient âgé de 47 ans, vient au C.M.P. De Txxxxxx tous les 28 jours, et ce depuis 11 ans, pour son injection intramusculaire à effet retard (I.M.R.). Recommandé par son médecin traitant, M. D. est suivi pour schizophrénie simple (qui peut s'exprimer par des bouffées délirantes et/ou par un phénomène de dépersonnalisation), il souffre d'un état déficitaire léger. Ce jour là, le 29/10/2012 à 10h00, les acteurs de cette situation sont : un infirmier de secteur psychiatrique

atypique-Substance active : Rispéridone * Neuroleptique dit « atypique ». Certains de ses effets indésirables sont moins marqués que ceux des neuroleptiques classiques. Il a des propriétés antipsychotiques. Utilisé dans : le traitement de la schizophrénie, le traitement des états maniaques associés à un trouble bipolaire, et la personne atteinte de la maladie d'Alzheimer. C.I : La prise conjointe de rispéridone avec un diurétique contenant du furosémide (LASILIX...) est déconseillée, notamment chez

avec chaleur mais sans implication émotionnelle excessive. Bibliographie: Margot Phaneuf. Communication, entretien, relation d’aide et validation. Montréal. Chenelière Education. 2002. 634p. Ridha Joobers, Les illusions sur la schizophrénie et la psychose. École Mini Psy. 2009. Disponible sur < http://www.douglas.qc.ca/page/mini-psy-2009> Carl ROGERS. La relation d'aide et la psychothérapie. 15ème éd. ESF Editeur. 2008. 235 p. Collection Sciences Humaines appliquées.