La Science de la logique

Cours sur la vérité dans les sciences déductives et empiriques (la raison, le réel, théorie, expérience, démonstration, vérité) Le problème de la vérité dans les sciences Introduction : Dans son sens le plus général, la science désigne l’ensemble des savoirs qui repose sur des preuves rationnelles, par opposition à la croyance qui, par définition, est irrationnelle, sans preuve. Une preuve en science c’est ce par quoi la raison par sa réflexion (le raisonnement) établit de manière irréfutable la

juge en reconnaissant la clarté de l’idée 3°/ C’est la volonté qui juge à partir des propositions de la raison III/ Logique, science du raisonnement, théorie de la démonstration A/ Les formes historiques de la logique 1°/ Définition et objet de la logique 2°/ Intuition et raisonnement 3°/ La logique classique aristotélicienne 4°/ La logique dialectique hégélienne B/ Les différents types de raisonnements 1°/ L’induction, ou l’ordre de la

Science et religion Une définition de la science Une science est l'ensemble des connaissances théoriques et pratiques sur un domaine donné, sur une catégorie de phénomènes ou d'objets. Ces connaissances sont bâties soit sur des principes évidents ou démontrables, soit sur des raisonnements vérifiés par l'expérimentation. Il y a presque autant de sciences, de spécialités scientifiques, que de domaines étudiés, mais les méthodes générales d'acquisition de ces connaissances sont les mêmes

1996). Marie Dominique COUZINET, "Questions de philosophie politique à la Renaissance". La Renaissance a posé la question politique en termes de savoir : quel savoir peut-on avoir sur la politique ? La politique peut-elle faire l’objet d’une science ? Dans quels termes et jusqu’où ? En tant que partie de l’éthique, la politique a le statut d’un savoir pratique (prudence) théorisé par les Anciens (Aristote et Cicéron surtout, mais aussi Platon) qu’il s’agit de reformuler en fonction d’une réalité

les nuances notables d'un stoïcien à l'autre. Sommaire  [masquer]  * 1 Avant-propos * 2 Étymologie * 3 Sagesse et philosophie * 3.1 Définitions de la sagesse et de la philosophie * 3.2 Divisions de la philosophie * 3.3 Les sciences, instruments du sage * 3.4 Unité du système stoïcien * 4 L'ontologie stoïcienne * 4.1 Divisions de l'être * 4.2 Les quatre genres * 4.2.1 Substrat * 4.2.2 Choses qualifiées * 4.2.3 Choses disposées d'une certaine

la production du savoir, ce qui fait sa validité. L’épistémologie c’est la partie de la philosophie qui s’interroge sur le savoir. La psychologie est-elle une science ? C’est une science « souple ». Existe-t-il une épistémologie de la psychologie (est-ce qu’on utilise des critères et qu’est ce qu’on a à dire sur le savoir et la science) ? Qu’est ce que la psychologie peut apporter à l’épistémologie ? * Approche « processus » * La variabilité des démarches Implicitement : Comment

parle par exemple du progrès de la criminalité, de l’alcoolisme, etc. Le progrès désigne aussi le passage graduel du bien au mieux selon une transformation positive. Il désigne enfin le mouvement en avant de notre civilisation grâce aux acquis de la science et de la technique. I.2 Le développement Le développement signifie l’action de développer c'est-à-dire d’accroitre, de déployer. Il renferme l’idée de croissance, d’extension. Ainsi une nation développée se caractérise par la croissance et la prospérité

d’analyse, de définition, de création ou de méditation sur desconcepts.[réf. nécessaire] À la différence des sciences naturelles, des sciences formelles et des sciences humaines, auxquelles elle est intimement liée par son histoire, la philosophie ne se donne pas un objet d'étude particulier et unique. On trouve toutefois au sein de la philosophie des domaines d'étude distincts, tels la logique, l’éthique, la métaphysique, la philosophie politique et la théorie de la connaissance. Au cours de l’histoire

force Puisque « il n'y a de science que du nécessaire » (selon Aristote), la logique s'assure de la nécessité des procédés de la pensée. Elle s'en assure doublement : elle veille à la rigueur du passage d’une proposition à l’autre et à l'évidence du premier maillon de la chaîne logique. La portée de la démonstration est alors jugée par la logique (un mode d’enchainement valide des propositions). Relativisation de la démonstration. La non-contradiction est la propriété logique fondamentale de la déduction

parle par exemple du progrès de la criminalité, de l’alcoolisme, etc. Le progrès désigne aussi le passage graduel du bien au mieux selon une transformation positive. Il désigne enfin le mouvement en avant de notre civilisation grâce aux acquis de la science et de la technique. I.2 Le développement Le développement signifie l’action de développer c'est-à-dire d’accroitre, de déployer. Il renferme l’idée de croissance, d’extension. Ainsi une nation développée se caractérise par la croissance et la prospérité