La Science Rend T Elle L Homme Heureux

elles reconnaissent avec raison dans cette faculté un privilège exclusif de l’homme sur les animaux. Mais cette liberté n’est pourtant que relative, parce qu’elle nous soustrait à la contrainte des objets présents, et comparative, en ce qu’elle nous rend supérieurs aux animaux. Elle ne fait que modifier la manière dont s’exerce la motivation, mais la nécessité de l’action des motifs n’est nullement suspendue, ni même diminuée. SCHOPENHAUER, Essai sur le libre arbitre -2- [3] SUJET N° 3 - 11PHTEIN1

exclut donc tout accès à la vérité, mais plutôt utilité subjective et opinion. Ex : Homme malade jugera boisson amère |vs| homme sain la trouvera douce. => Pbs iques du relativisme : * Opinion vraie par hasard et non parce qu’elle est fondée rationnellement (= pas de valeur). * Relativisme rend impossible la science, car il n’y a plus de vérité objective et universelle. * Le relativisme rend impossible la morale. 2. Le préjugé est souvent illusoire, il nous éloigne de la vérité

Alexandre Issaïevitch Soljenitsyne est né le 11 décembre dans le Caucase, à Kislovodsk. Après une enfance heureuse à Rostov au sud de la Russie, sur le Don, et malgré la disparition de son père avant sa naissance, Soljenitsyne entreprend des études de sciences et de lettres. Il est ensuite mobilisé pour toute la durée de la guerre et devient capitaine. En janvier 1945, il est arrêté pour avoir émis dans une lettre privée des doutes sur la stratégie politique de Staline. Il est condamné sans appel à 8 ans

morale, propose à l’homme d’échanger le divertissement contre le pari de l’existence de Dieu qui seul nous rend notre humanité misérable, acceptable. Montaigne et Pascal pensent l’homme dans sa solitude intrinsèque, dans le coffre fort de son intériorité. Voltaire, homme du dix-huitième siècle, pense l’homme en tant qu’animal social. La fonction du philosophe n’est plus alors de le rendre heureux individuellement mais dans le partage d’une collectivité pensée pour le plus grand bien de tous. C’est

 Sommaire page 1 Le XVIIIe siècle 1 1.1 Histoire et société 1 1.2 Rationalisme et sensibilité 1 1.3 La langue française 1 1.4 Les principales tendances de la littérature 1 1.5 La vie artistique 2 1.6 Le progrès des sciences 2 2 Le siècle des Lumières 2 2.1 Introduction 2 2.2 Caractéristiques 2 3 Les idées de Voltaire 2 3.1 La métaphysique 2 3.2 Religion et morale 3 3.2.a L’existence de Dieu 3 3.2.b Le déisme voltarien 3 3.2.c La tolérance 3 3.3 Idéal politique 3 3.4 La civilisation 4 3.4.a La paix

parfait et drogue euphorisante). La très jolie Lenina Crowne quitte son poste de travail, prend un bain aux vestiaires puis se change. Elle explique à Fanny, une collègue, qu’elle sort depuis quatre mois avec Henry Foster sans avoir vu un autre homme. Pourtant, les relations exclusives qui s’éternisent sont très mal vues : chacun appartient à tous les autres. Lenina finit par avouer qu’elle se lasse peu à peu d’Henry Foster et qu’elle est attirée par Bernard Marx qui a pourtant la mauvaise réputation

téléchargeables en 30 secondes à imprimer chez soi RÉSUMÉ 3 ÉTUDE DES PERSONNAGES 6 Le professeur Otto Lidenbrock Axel Hans Bejlke Le professeur Fridriksson CLÉS DE LECTURE 8 Une structure particulière : des voyages dans le voyage De la science à la science-fiction La question du langage PISTES DE RÉFLEXION 11 POUR ALLER PLUS LOIN 12http://www.lepetitlitteraire.fr 2Voyage au centre de la TerreFiche de lecture –LePetitLittéraire.fr – Jules Verne Romancier français • Né en 1828 à Nantes • Décédé

Histoire du docteur Faust (1604) et celle de Johann Wolfgang von Goethe Faust (Goethe) (1808). Faust est un personnage populaire en Allemagne depuis plus de cinq siècles. De nombreux auteurs, musiciens et peintres ont travaillé sur ce thème. Cet homme ayant vendu son âme au Diable (souvent nommé Méphistophélès) a intrigué et intéressé de nombreuses générations. I. LES ORIGINES DU MYTHE. On suppose que la légende s’appuie sur la vie d’un certain Johann Georg Faust surnommé Maître ou Docteur

de plus averti, voilà qui n'est pas la même chose » : Freud, Essai de psychanalyse appliquée. « Les hommes ont conscience de leurs désirs mais non des causes qui les déterminent à désirer » : Spinoza. LE DÉSIR : « Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort » : Nietzsche. « Malheur à qui n'a plus rien à désirer ! » : Rousseau. « Ce n'est pas par la satisfaction du désir que s'obtient la liberté, mais par la destruction du désir » : Épictète, Manuel. « Ne demande point que les choses arrivent

l'apprentissage des langues et d'exercices, et on leur fait entendre qu'ils ne sauraient être heureux sans que leur santé, leur honneur, leur fortune et celle de leurs amis soient en bon état, et qu'une seule chose qui manque les rendrait malheureux. Ainsi on leur donne des charges et des affaires qui les font tracasser dès la pointe du jour. - Voilà, direz-vous, une étrange manière de les rendre heureux ! Que pourrait-on faire de mieux pour les rendre malheureux ? - Comment ! Ce qu'on pourrait faire