La Scolarisation Des Filles

masculine. Même si les filles ont eu le droit progressivement à l'instruction. La Loi Camille Sée de 1880 aborde l'accession des filles à l'enseignement secondaire, celui ci doit se faire dans des établissements spécifiques. Car les filles ne préparent pas le baccalauréat contrairement aux garçons. En 1920 les filles se préparent au baccalauréat avec «des cours clandestins». En 1922 Léon Bérard ( ministre de l'instruction public) décide que «provisoirement» les jeunes filles pourront assister au

des AREF à partir d’août 2003. Cette nouvelle gouvernance du système éducatif a contribué à des réalisations notoires en matière de généralisation de l’enseignement. II- Généralisation de l’accès à l’Education Avec un taux de scolarisation de 94% au primaire en 2007, le système éducatif s’est rapproché de l’objectif de généralisation. Les enfants des zones rurales enclavées et les enfants aux besoins spécifiques sont remarquablement intégrés. L’augmentation des effectifs au

[pic] THEME 1:CONDITION DE VIE FAMILIALE ET ECHEC SCOLAIRE DES JEUNES FILLES DANS LES ETABLISSEMENTS SECONDARES : LE CAS DU LYCEE MODERNE D’ABOBO. INTRODUCTION Selon Emile Durkheim : « l’éducation est l’action exercée par les générations adultes sur celles qui sont jeunes en vue de leur socialisation ». C’est donc grâce à l’éducation que se forme la personnalité de l’être humain. C’est encore grâce à l’éducation que la société se maintient et se transforme. Dans cette vision l’éducation

terrain, mais occupe l’ensemble de la cour de récréation. Les garçons tendent à occuper une surface plus grande lorsque ceux-ci s’amusent, alors que les filles sont beaucoup plus calmes et moins mobiles au sein des recoins de la cours et en marges des espaces utilisées par les garçons pour leurs jeux collectifs. Contrairement aux garçons, les filles ne courent pas et se retrouvent essentiellement en petit comité, notamment avec leurs meilleures amies, et jouent essentiellement à des jeux de rôles ou

comparativement à la famille européenne, nous retrouvons bien sûr, dans la famille sénégalaise, les éléments fondateurs que sont l’homme et la femme associés aux notions de couple, de mari, d’épouse, de polygamie ainsi qu’aux notions d’enfants, garçons et filles. Traditionnellement, l’homme sénégalais est celui qui doit faire preuve de « virilité » financière car il doit prendre en charge toute la famille, c’est lui qui doit nourrir les nombreux membres de la famille. C’est ce que l’on attend de lui, une

taches ménagères et n’accordent pas de temps domestique. Les hommes passent en moyenne beaucoup plus de temps au travail, études que les femmes. En 1986, les femmes passaient beaucoup plus du temps à faire le ménage et les courses mais ceci change au fil des années car la femme passe du temps au travail aujourd’hui et a peu de temps a s’occupait de sa maison. L’activité professionnelle des femmes mariées présentait deux inconvénients : L’épouse salariée entre en compétition avec son mari : le foyer

femmes, scolarisation des filles 1- Mesures urgentes (1999-2000) * Alphabétisation : * mettre en oeuvre au féminin la nouvelle stratégie d'alphabétisation. * mettre en place un mécanisme interministériel + ONG chargé de la coordination. * éducation non formelle * lancer une évaluation d'étape des activités du programme d'éducation non formelle relatives aux filles. * élaborer et mettre en oeuvre des plans locaux de prise en charge des filles avec des

forte population en milieu scolaire avec un taux de scolarisation estimée à 76%. Cependant, les progrès éducatifs réalisés sur 10 ans en Côte d’Ivoire restent faibles:  Le taux d’accès au CP1est passé de 65 % en 2000 à seulement 76% en (2010). Les disparités de scolarisation entre les garçons et les filles persistent et restent encore élevées. En effet, seulement 81 filles contre 100 garçons terminent le cycle primaire. Le maintien des filles à l’école dans le cycle primaire et secondaire rencontre

commencement à nos jours Le travail des enfants existe depuis l’Antiquité. A cette époque, les enfants avaient une faible espérance de vie, les jeunes filles étaient mariées vers 14 ans et il était tout à fait normal de voir les enfants participer aux tâches domestiques et agricoles. Les garçons suivent la voie de leur père, tandis que les filles sont éduquées à devenir de bonnes épouses et maîtresses de maison. A partir du Moyen Âge, Celles-ci sont employées dans l’artisanat à domicile, par exemple

et de Yabs. Lors des entretiens il a aussi été abordé la question de leur scolarisation. Cette question semble sensible et leurs réponses difficiles. Pour la personne la plus âgée, la scolarisation ne c’est faite qu’à la Réunion et par la voie de l’apprentissage. La relation avec l’école est décrite comme difficile notamment par l’interdiction faite d’utiliser le créole dans l’école. Pour la seconde personne, la scolarisation s’est faite à la Réunion jusqu’à 16 ans, puis elle est venue en métropole