La Silhouette

Dessin :Au premier plan une aiguille et un fil surdimensionnés. Le fil passe dans le chas de cette aiguille curieusement plantée dans le sol. Motif de la couture. Le fil dessine une silhouette féminine (mère de Ray ? Certains y ont vu un couple) En arrière plan un paysage, que l’on distingue donc à travers cette silhouette curieuse. Peut signifier la quête de la surréalité. L’aiguille ainsi fichée en terre= comme un étendard, un signe d’affranchissement On peut voir dans ce motif de la couture une

toute l'année mais ça n'est pas tout : Elle révolutionne le maillot de bain : Fini les baleines, les coques et autres artifices. Inspirée par une jeune femme croisée sur une plage qui portait un maillot de bain fait main respectant parfaitement sa silhouette naturelle, elle lance une première ligne de maillots libres ! C'est un grand succès. Un naturel pas si simple : Pour compenser l'absence de baleines et de coques Irène Leroux utilise des tissus très élastiques confortables et doux. Elle développe

généralement en ateliers. On peut distinguer trois phases successives dans la réalisation d’une pièce. Le travail de l’argile Détails de vase à figure noire (à g.) et à figure rouge (à dr.). On distingue les incisions relativement grossières sur la silhouette noire, alors que le pinceau, trempé dans un vernis plus ou moins dilué permet un dessin fin, précis et subtil sur la silhoutte claire. Phase 1 Conditions de cuisson Atmosphère riche en dioxygène - température 600° L’argile et le vernis sont rouges

segment en fonction des marques : □ Les enfants pour la marque Candy Up □ Les femmes pour la marque Silhouette □ Les jeunes (- 30 ans) pour la marque Oasis Le « segment vrac » est le plus dynamique, en particulier pour les volumes inférieurs à 1L. Nous ciblons donc ce segment, dont notre cœur de cible est constitué des femmes (avec la marque Silhouette) CARTE PERCEPTUELLE !!!! ← Positionnement : Actuel : enfermé

féminin au Moyen Âge présentait certaines caractéristiques plus ou moins générales : le haut du corps était gainé tandis que le bas était allongé par la traîne, la silhouette cambrée au niveau des reins, large sur les hanches, ajusté sur le buste. Les coutures cintrées affinaient la taille. À cette époque, les tailles fines et les silhouettes affirmées étaient très en vogue. Après cela, elles devaient d’abord mettre un corset et après enfiler plusieurs jupons. Normalement, un d’entre ces jupons avait

troubles cardio-vasculaires et des problèmes articulaires. De plus, comme tout le monde mange à sa fin, être gros ne symbolise plus la richesse. Dans les années cinquante, soixante ainsi que septante, les couturiers s’intéressent avant tout aux silhouettes minces. Auparavant, la mode était aux femmes obèses avec des fesses rebondies et des plis sur le ventre. Les gros représentaient la beauté, la richesse, la fécondité et la prospérité. Les œuvres d’artistes tels que Renoir ou Rubens montrent à

aucune féminité. De nouvelles caractéristiques propres aux femmes. Le visage prend une importance particulière, le front haut, grand, afin de donner un air juvénile, pré-pubère. La peau devait être la plus blanche possible, symbole de pureté. La silhouette est fine, les hanches étroites, les seins petits et écartés, même si le ventre est rebondi. Le maquillage étant interdit par l’Eglise, les femmes présentent leur visage sans artifice. Les cheveux blonds et ondulés étaient aussi un signe de beauté

Petra courent de face au premier plan, Christophe les suit au second plan Plan 15 Des silhouettes apparaissent en haut de la colline en contrejour Plan 16 Syphilis de face, coupé à la taille par le champ de vision Plan 17 Le Visage de Chlamydia, de face 2 sec 2 sec 2 sec 1 sec 2 sec 4 sec 1 sec 1 sec Plan 18 On aperçoit 5 personnages aux silhouettes similaires, en contrejour Plan 19 On aperçoit les bustes d’Alice et Petra au premier

Date : 1936 Localisation : Musée d’Art de Philadelphie (Etats unis) Dimensions : 100 x 90 cm Technique : huile sur toile Description de l’oeuvre 1er Plan : on peut observer une silhouette difforme ou l’on distingue une tête, des bras, des jambes, des mains, des pieds et un sein. Cette silhouette semble se former en deux parie distincte : une en haut avec la tête, le sein, une jambe et un pied. La deuxième partie se situe en bas et est constituer de deux mains, un pied, deux bras. La

classification e Deux types de mesures : Indices de validit´ interne : ` partir d’une r´sultat de e a e classification et de l’information intrins`que dans la base de e donn´es on mesure la qualit´ du r´sultat : e e e indice de connectivit´ e indice de silhouette indice de Dunn Mesure de la stabilit´ de la classification : elle mesure la e consistence du r´sultat d’une classification en la comparant e avec une classification obtenue en supprimant chaque fois une colonne (une variable) : proportion moyenne