La Silhouette

ces fleurs. Elle porte aussi dans ses long cheveux noirs un nœud de papillon jaune. Sa silhouette raccourci accentue ces formes. Elle a les yeux fermés et semble pensive. La femme de droite, porte une large et grande robe rose à manches longues et fermée jusqu'au cou (vêtement à la mode occidentale importé par les missionnaires).Cette robe accentue l'ampleur de ses formes en les dissimulant. Sa silhouette massive, assise en tailleur paraît à l'étroit dans le format et déborde même du tableau

entendre, puis une douce lumière blanche me sortit de ma noire torpeur. Je me retournai précipitamment. La première chose que j’aperçus fut une silhouette blanchâtre. La silhouette était vaporeuse et semblait immatérielle. Au lieu de céder à la panique, un étrange sentiment de bonheur inondait mon corps. En approchant d’avantage, je reconnus une silhouette familière, celle de ma femme. Pourtant, ses traits étaient plus fin, son air distrait avait laissé place à un regard grave. Ses cheveux semblaient

délimitent les silhouettes et non le dessin (celui ci était d'ailleurs exécuté directement au pinceau). Les couleurs ont été posées par larges touches superposées, donnant un effet de profondeur chromatique. Les zones claires et les zones sombres sont nettement délimitées par la grande silhouette de la Liberté. Le contraste clair / obscur s'estompe au profit de contrastes chromatiques parfois violents. La lumière semble venir de derrière la Liberté, ce qui accentue à la fois sa silhouette et son rôle

lignes cloche et paon (robe en queue de paon plongeantes derrière, courtes devant). 56 sa robe sac, robe sans taille,robe chemise, loin du corps, dépouillant complètement la silhouette C'est à lui que l'on doit la baby doll, qui en 1958 une des pièces maîtresse de ses collection, caractérisée par la simplicité de sa silhouette trapézoïdale. À la même époque, il découvre une nouvelle matière, le Gazar d'Abraham, qui va fortement influencer son travail. Cette étoffe rigide permet de marquer les volumes

sera le symbole de la Belle Époque. À la Belle Époque, c'est aussi la mode des moustaches et des barbes pour les hommes qui se doivent d'avoir un pli parfait, pour se faire ils dorment avec un fixe-moustache. Les femmes se doivent d'avoir une silhouette en S grâce à un corset ou une guêpière visant à faire ressortir la poitrine et d'accentuer la cambrure. Les éventails sont en vogue. C'est l'apparition des premiers manteaux de fourrure, l'apogée du haut-de-forme, et des manches gigot pour les femmes

leurs tissus que les vêtements des femmes riches différaient de ceux des femmes modestes. Pendant la plus grande partie du xviiie siècle les femmes portaient des robes flottantes. Elles avaient des jupes amplement drapés par-dessus des paniers. La silhouette des femmes qui les portaient semblait une grande cloche avec une très petite taille et de larges hanches. La plupart des robes étaient à taille basse, en pointe. Sous chaque robe les femmes mettaient un corps baleiné et des jupons. Les corsets étaient

de bon ton d’adapter soi-même ses tenues à son rythme de vie. La silhouette féminine du début des années 1940 a les épaules larges, la femme porte des robes raccourcies, à la taille serrée et ceinturée, et à manche ballon. Petit à petit, les gros manteaux sont abandonnés pour laisser place à la veste, telle celle des hommes, souvent portée sur plusieurs couches. Les premières semelles compensées apparaissent pour allonger la silhouette féminine. Au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, l’industrie

la toile, on ne le voit pas entièrement, le cadrage s'arrête juste en dessous de la taille. Derrière lui se dresse une forme rectangulaire, peut-être une porte. Le dessin est simple, le personnage est cerné par des contours qui font ressortir sa silhouette, ses vêtements ne sont pas très travaillés mais on distingue néanmoins les plis de la chemise. Son visage est un peu plus marqué grâce à des traits plus foncés. Le fond quand à lui est moins précis, les lignes ne sont pas aussi nettes. Le tableau

sont essentiellement sombres (bleu, noir). Au 1er plan et au centre se situe le personnage principale. C’est une silhouette vêtu de noir, au teint verdâtres, chauve, au contours flous, ondulés, non humain. Cette silhouette à l’allure fantomatique tient sa tête entre ses mains et a la bouche grande ouverte. En arrière plan et sur la partie inférieure gauche, deux silhouettes sombres humaines s’éloignent du personnage principale. On distingue un chapeaux sur la tête de l’individu de droite

supposer, en étudiant le tableau de René Magritte, « L’homme au chapeau », qu’un élément du réel, le paysage, a suscité le rêve. La mer et le ciel sont concrets et se retrouvent dans les deux plans, en continuité : ils sont un repère commun aux deux silhouettes. Enfin, le rêve ouvre les sens, et s’en alimente : le rêveur entend, voit, goûte, touche et respire cette conception qu’il a mis en place, comme le fait le personnage du poème de C. Baudelaire. Ainsi, les mécanismes du rêve apportent une libération