La Singularité Du Poète

Dieu, être nécessaire et unique parce qu’il est nécessaire, est une Intelligence où s’identifient le sujet, l’objet, et l’opération par laquelle le sujet appréhende l’objet. Étant principe de toutes choses, il connaît toutes choses dans leur singularité, même les choses variables 491 MUNK, CXXVIII, p. 352 sq. 151 et corruptibles, mais non pas sous leur forme corruptible 492 Les doutes que l’on pouvait tirer de l’enseignement de Duns Scot s’accentuent encore chez Guillaume d’Occam malgré

reconnaissance. De même, Molière dans son Don Juan, ne cherchait pas simplement à représenter un « grand seigneur méchant homme » qu’il aurait connu même s’il eut certainement des modèles. C’est plutôt une certaine représentation de l’homme dans sa singularité. C’est cette représentation que l’artiste doit dégager et présenter. Même les natures-morte en peinture montrent les objets des hommes à une certaine époque. C’est donc toujours l’homme dans une culture que l’œuvre d’art présente, qu’elle soit

du « moi » 3.2.4. les romanciers du « moi » 3.2.5. François René de Chateaubriand 3.2.6. Les premiers écrits romantiques en France 3.3. la poésie romantique 3.3.1. A l’écoute du moi souffrant 3.3.2. Des réponses au mal de vivre ? 3.3.3. Le poète et le monde 3.3.4. Alphonse de Lamartine 3.3.5. Alfred de Musset 3.3.6. Autres recueils poétiques romantiques 3.4. le drame romantique 3.4.1. Le mélange des genres 3.4.2. Totalité, diversité et transfiguration 3.4.3. Une première animée 3

instrument de collaboration. Manque nécessairement la singularité unique des individus. B. va souligner la fonction générale (pouvoir être compris de tous) du langage dans le rapport que nous avons avec nous même. Nos sentiments individuels/persos; perdent leur singularité à cause du langage. "déploiement extérieur" : celle de la conscience. Rapport très étroit entre conscience et connaissance. Connaitre notre sentiment c'est lui supprimer sa singularité. La vie humaine c'est une durée pure. L'art selon

 En  effet,  ils  réinventent  de   la   langue,   c’est-­‐à-­‐dire   trois   formes   de   dire,   écrire   et   raconter   car   la   littérature   est   transformée   par   la   singularité   de   cet   épisode   historique,   de   l’atrocité   des   camps.   C’est   cette   catastrophe   qui   informe   la   littérature,   qui   lui   donne   forme.   C’est   donc  

trouble existentiel qui ravagea toute une jeunesse désœuvrée, avide d'exprimer l'énergie de ses passions et de ses rêves, et consternée de ne trouver dans la société de la Restauration que de maigres canaux. Par là s'explique l'imagerie vite convenue du poète solitaire, déversant ses épanchements dans une Nature complice et cultivant l'extravagance de son imaginaire exalté. D' Allemagne vinrent pourtant des sources d'inspiration plus fécondes qui résonnent particulièrement dans le panthéisme de Nerval et

une odyssée sans fin ? La lettre d'Hélvétie Lettre helvétique : est-ce grave docteur ? Les humeurs de Marius Letellier Corine Lesnes versus Joseph Schumpeter Débats Aimé Césaire Mondes Francophones rend ici hommage au grand poète martiniquais. Ethnicités ou non ? L’ethnicité est-elle ouverture à l’autre ou enfermement dans une prison identitaire ? Est-elle l’un ou l’autre ? l’un et l’autre ? Francophonies et théories Qu'en est-il des théories récentes aux études

l'analyse des caractères et la singularité des aventures. Si cette époque est bien trop décalé de la nôtre l’éveille de la conscience ne peux se produire puisque le lecteur se sentira trop distant des personnages ou des aventures exposée, prenons par exemple l’œuvre Atala de Chateaubriand qui prend place au XVIIIème siècle, les consciences de l’époque sont bien différentes de celles d’aujourd’hui. Les thèses présenté par un politicien à travers un discours ou celles d’un poète grâce a un poème peuvent

serait absurde de demander à un poète si ce qu’il dit est vrai ou faux. « La lune est un singe échappé qui regarde à travers les barreaux de la nuit » (Supervielle) est une phrase qui n’est ni vraie, ni fausse. La finalité de cette phrase n’est pas d’imiter le réel, mais d’en produire un autre (nous faire entendre ce que nous n’avons jamais entendu, nous faire voir ce que nous n’avons jamais entendu). On peut donc dire que l’œuvre d’art en vertu de la singularité de sa forme, du primat de la forme

soit. Il ne peut non plus considérer l’art en général : abstraction qui n’existe pas effectivement . Il y a des singularités, des choses singulières, des œuvres qui sont des pensées singulières. La seule attitude raisonnable est de se rendre disponible pour les entendre, ce qui engage sans doute un processus en trois moment : voir/écouter, lire/comprendre et appréhender la singularité d’une signification à l’œuvre, apercevoir ce point où la matière fait signe, où la matière devient pensée, la pensée