La Souffrance Humaine

reçu tous les types de soins palliatifs disponibles ». La loi autorise le Conseil de l'Ordre du Corps Médical à renoncer à toutes poursuites de médecins ayant pratiqué l'euthanasie si chacune des conditions suivantes a bien été remplie : -les souffrances du patient sont insupportables et sans espoir d'amélioration, -la demande d'euthanasie formulée par le patient doit être de son propre fait et récurrente dans le temps (on ne peut accéder à sa demande s'il est sous l'influence de tiers, d'une quelconque

moments de déambulation qui sont l’occasion de méditations, comme c’est le cas ici sur l’inéluctabilité de la mort et sur la condition humaine en général, tel que le relève Gérard Gingembre. Nous verrons d’abord le cheminement du poème, puis étudierons comment le lyrisme personnel de la perte est transcendé en lyrisme universel et commentaire sur cette condition humaine. I- Cheminement du poème comme combat contre la nuit. a. Quatrains 1-3 : Introduction à la situation du poète, prise de conscience

rocher ( le rocher des Enfers). Zeus veut se venger son tour et demande son frre Hads, dieu des Enfers, dinfliger un lourd chtiment Sisyphe. Les philosophes ont souvent repris limage de Sisyphe poussant son rocher pour symboliser la condition humaine. Comme Sisyphe, nous luttons, nous souffrons, nous poussons notre pierre sur la route, mais jamais le but nest atteint, et la mort vient mettre un terme qui na pas de sens cette vie qui na pas de sens non plus. Lecture de lextrait. Quest-ce qui ressort

1er mouvement (l. 1 à 7) : Un tableau pathétique des souffrances des prisonnières et de l’omniprésence de la mort : · Un texte sans forme fixe, entre poème en prose et poème en vers : pas de contrainte imposée, seule une volonté de libérer la parole pour exorciser la souffrance vécue.· Amplitude rythmique du 1er § qui commence par la conjonction « et » : ce texte est la suite d’évocations de souffrances auxquelles viennent s’ajouter celles de ce texte.· Tps verbal : présent de vérité générale· Déterminants

tous, partout, et toujours). Elle requiert donc l'adhésion de tous sans quoi cela poserait donc un problème dans sa nature même. Enfin, l'histoire nous offre de nombreux exemples du triomphe de la vérité. Le désir de savoir inhérent à l'espèce humaine semble au final éclaircir les affaires même les plus controversées. Zola disait à propos de l'affaire Dreyfus: « La vérité est en marche et rien ne l'arrêtera ». En effet, le Capitaine Dreyfus fut réhabilité après le procès qui l'avait injustement

comme au monde laïque lorsqu'il n'est utilisé que pour libérer les gens de leur souffrance. » Sigmund Freud «Il semble que la psychanalyse soit la troisième de ces professions impossibles où l'on peut d'avance être sûr d'échouer, les deux autres, depuis bien plus longtemps connues, étant l'art d'éduquer les hommes et l'art de gouverner.» Extrait d'une lettre de Sigmund Freud au Pasteur Pfiste « On ne guérit d’une souffrance qu’à condition de l’éprouver pleinement. » Marcel Proust Extrait du Albertine

l’oeuvre. Voltaire pense bien sûr à la guerre de Sept Ans (de 1756 à 1763), déclenchée par la Prusse, et au conflit qui oppose la France et l’Angleterre pour le Canada en 1756. Pour Voltaire, les causes des guerres paraissent dérisoires comparées aux souffrances qu’elles provoquent dans la population civile, mais aussi dans les armées. Dans Candide, la guerre est partout présente : outre cette description de bataille, toutes sortes de conflits sont évoqués, de la guerre de Succession d’Espagne (1701) à

empoisonné de mépris et d'horreur, il tente d'exercer, par le meurtre et la perversion systématique de toutes les valeurs, une liberté dont il découvrira pour finir qu'elle n'est pas la bonne. Il récuse l'amitié et l'amour, la simple solidarité humaine, le bien et le mal. Il prend au mot ceux qui l'entourent, il les force à la logique, il nivelle tout autour de lui par la force de son refus et par la rage de destruction où l'entraîne sa passion de vivre. Mais, en postulant que la vérité est de

la description d’une énorme souffrance avec des scènes dignes de films d’horreur : « A qui le crane a été enlevé », « nous voyons courir des soldats dont les deux pieds ont été fauchés ; sur leur moignons éclatés », « … rampe sur ses mains pendant deux kilomètres en traînant derrière lui ses genoux blessés ». Des images horrifiantes et choquantes avec une description très crue des mutilations subies pendant la guerre. A ces images d’horreur s’ajoute la souffrance psychologique, le narrateur

bonheur, et dans la mesure où le bonheur serait en quelque sorte la résultante de la satisfaction de ce désir - Schopenhauer, philosophe allemand du 19ème siècle, nous livre une vision pessimiste ou négative de la manière dont sont organisés les désirs humains. Le désir correspond essentiellement, à travers la conception qu'il nous en présente, à un manque que les hommes ne pourraient jamais combler. Pour trouver le bonheur, il faudrait renoncer aux désirs, jamais satisfaits, toujours renouvelés. Le caractére