La Source Théophile Gautier

contraste du ciel obscur de leur couleur et des étincelles d’or fauve qui le traversent. Des souvenirs littéraires ont pu aussi influencer Baudelaire, car ces yeux aux reflets changeants rappellent ceux de Nyssia dans ‘’Le roi Candaule’’ de Théophile Gautier : «Ces prunelles, du saphir passaient à la turquoise, de la turquoise à l’aigue-marine, de l’aigue-marine à l’ambre jaune, et quelquefois, comme un lac limpide dont le fond serait semé de pierreries…» Baudelaire s’étend sur cet oeil : son incertitude

Roy Jacqou Le Croquant Martial Chaullanges La terre des autres Alain-Fournier Le Grand Meaulnes Erich Maria Remarque A l'ouest rien de nouveau Sébastien Japrisot Un Long dimanche de fiançailles Jean Giono Colline ; Regain Marcel Pagnol Manon des sources; Jean de Florette Jules Vallès L'Enfant; Le Bachelier; L'Insurgé Joseph Joffo Un Sac de billes Jacques de Lacretelle Silbermann Anne Franck Journal Vercors Le Silence de la mer Robert Merle La Mort est mon métier; Malvil Martin Gray Au nom de

inaccessible, la violence et la volupté. • Contexte : Les Fleurs du mal sont marquées par l'esthétique du Parnasse et le Romantisme. Dans sa Préface aux Fleurs du mal, Baudelaire dédie le recueil à l'un des chefs de file de ce mouvement, Théophile Gautier, qu'il qualifie de « poète impeccable ». L'importance accordée à l'image poétique et à l'imagination font aussi du recueil un ouvrage précurseur du Symbolisme. - Les Parnassiens : groupe littéraire français de la 2nde moitié du XIXème siècle

l’artiste enfin que leurs œuvres ne soient pas influencer de par leur vit et leur idéologie. Pour eux l’art n’a pas à être utile, car comme on peut lire dans la « Théorie de l’art pour l’art » de Théophile Gautier « Tout ce qui est utile est laid ». Leur seul but est la beauté du texte. Mais T. Gautier n’était pas le seul à penser ainsi, Gustave Flaubert (écrivain Français) lui aussi pensait que l’art avait avant tout besoin d’être beau, il a écrit « Le but de l’art, c’est le beau avant tout. »

inspirera plus tard les philosophes des Lumières. En créant une forme d'ordre, les écrivains classiques recherchent au plus haut point le naturel. Donner l'impression d'une parfaite adéquation entre la forme et le fond et d'une écriture qui coule de source est en effet l'idéal du style classique. Or pour donner l'impression de naturel, il importe avant tout de ne pas choquer le lecteur. C'est pourquoi les règles de vraisemblance et de bienséance jouent un rôle majeur au XVIIe siècle. IV. Les lumières

strophes, qu'au niveau des vers, et qu'au niveau des rimes. Les théories classiques de Boileau qui visent à montrer ses capacités et sa virtuosité, apparaissent également. De plus, vers 1850, le mouvement parnassien voit le jour avec la théorie de Théophile Gautier qui est celle de « l’art pour l’art ». Ce nouveau mouvement implique de nouvelles règles telles que l’impersonnalité et le rejet de l’engagement social et politique de l’artiste. Ces mouvements de poètes obsédés par les règles de l’art ont sûrement

contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. Il préconise la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. A sa tête, il y a Victor Hugo, puis viennent Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny, Alphonse de Lamartine et Jacques Michelet. Les limites chronologiques du Romantisme qui sont fixées sont aléatoires car il a continué à influencer la littérature française durant tout le

coincer les élèves qui ont lu mais n’ont pas compris les détails. Activités d’analyse : 1- Analyse des éléments périphériques du texte, formulation d’hypothèses de sens et identification du modèle d’expression. - titre - corps du texte - source (auteur, maison d’édition, date d’édition) 2- Qu’est-ce qu’une nouvelle fantastique ? Objectif : Savoir identifier l'élément fantastique de la nouvelle. Il s’agit à partir du texte support (la nouvelle fantastique

service de la poésie. Une œuvre d’art ne dit pas avoir d’autre finalité que la beauté. La doctrine de « L’Art pour l’Art » est formulée pour la première fois par Théophile Gauthier dans la préface de son roman « Mademoiselle de Maupin » dont nous avons un extrait, texte E, puis dans son poème-manifeste « L’Art » (texte D). Théophile Gautier est défini comme l’inspirateur du mouvement mais il n’en est pas le maître. Quand nous regardons les principes de ce mouvement, nous remarquons qu’il s’oppose à

monocorde, parfois chantée. D'abord retranscription de fragments récités, parfois à partir de sources différentes, elle devient par la suite un genre littéraire en soi, l’œuvre d’un seul auteur, qui continue cependant souvent à utiliser des procédés hérités de la tradition orale. On peut ainsi distinguer épopées primaires ou populaires et épopées secondaires, également dites épopées littéraires. Puisant ses sources dans l’Histoire, l’épopée s'en distingue notamment par le souci de la part de son auteur