La Soutenabilité Faible Et Forte

l’économie (santé, écoles, routes) - les entreprises vont se développer et intégrer le progrès technique par leurs investissements, créer des emplois, etc.…. ● ex. de la Corée du Sud qui est passé d’un IDH moyen en 1975 à élevé en 2000 grâce à une forte expansion (6% par an) 3) d’où le développement et le changement social : ●DEVELOPEMENT : L’ensemble des transformations qui accompagnent et permettent la croissance. Est un phénomène qualitatif : joue sur les structures économiques et sociales

économique du pays, amorcé après la crise de 2001, est impressionnant mais reste fragile Après 1994 et 1999, la Turquie a connu une nouvelle crise particulièrement sévère en 2001 : dépréciation de la livre de 50%, effondrement du système bancaire, forte récession (-7,5% PIB). Soutenu par le FMI, le pays a connu un remarquable redressement à partir de 2002, avec une croissance moyenne du PIB de 7,8% sur la période 2002-2005. Au printemps 2006, les turbulences enregistrées sur les marchés sont néanmoins

Currency Introduction « Aujourd’hui encore, loin de reposer sur une évaluation objective opérée par des marchés financiers clairvoyants, la soutenabilité des dettes souveraines dépend toute entière d’un fonctionnement de marché animé par une pure logique de croyances collectives auto-validantes ». 1 La question de l’évaluation de la soutenabilité des dettes souveraines prend toute son acuité dans un contexte d’endettement mondial croissant. La récente crise de la dette européenne a bouleversé

ou ceux de l'Asie qui s'endette, mais en parallèle, comme on va explique par la suite, les pays d'Europe par l'instauration du plan Marshall pour la reconstruction de l'Europe après la seconde guerre mondiale. solvabilité et soutenabilité : la solvabilité et la soutenabilité sont des notions permettant de caractériser la situation d'un pays par rapport à ses possibilités et sa volonté de respecter ses engagements financiers, par rapport au remboursement de sa dette. la solvabilité caractérise la

croissance potentielle française sera-t-elle durablement affectée par la « grande récession » de 2009 ? Dans la crise actuelle, d’origine financière, aucun déterminant de la demande n’est épargné : de nombreux pays de l’OCDE connaissent à la fois une forte baisse de la production, une baisse de l’investissement des agents privés et une baisse de la consommation des ménages associée à la hausse du chômage. Si l’offre potentielle était également réduite, les conséquences de la crise sur l’activité économique

conjoint. Les économies ont évolué vers les économies de marché, les marchés financiers partout dans le monde sont extrêmement développés. Les banques se sont développé en même temps que les marché, il y aujourd’hui partout une dépendance très forte entre les banque et les marchés. Dans cette partie, on va poser le grand cadre de l’analyse. II/ Des crises fin aux crises systémiques. Il y a de l’instabilité financière qui peut déboucher sur des crises III/ Liquidité, stabilité et régulation

pro-cyclique lorsqu’en période de récession, on améliore le solde conjoncturel. Inversement, lors des périodes de bonne conjoncture, on dégrade le solde budgétaire. Il y a un objectif de stabilisation conjoncturelle, mais aussi un objectif de soutenabilité budgétaire. B) Le consensus de Bruxelles On parle de consensus de Bruxelles en faisant référence à une doctrine établie par la commission européenne et qui consiste à : * D’un coté la politique monétaire doit répondre au choc symétrique

e ve rs le haut de LM e s t atté nué par le fait que le s prix bais s e nt, do nc la liquidité ré e lle s 'amé lio re c e c i induit un dé c alag e de la c o urbe AD ve rs la g auc he ► le no uve l é quilibre s e traduit par une pro duc tio n plus faible , de s taux plus é le vé s , e t de s prix plus bas Les différences entre politique monétaire et budgétaire : le taux d’intérêt; l’effet d’éviction GRAPHIQUE 16-1 pol. m on. restricitive : Equilibre général AS-AD niveau des prix AS GRAPHIQUE

courants) ou en valeur (en euro constant en prenant en compte le taux d'inflation). Le PIB de la France s'élève à 2000 Md€ en 2011. La croissance est un phénomène réversible. En France une phase de croissance forte (+5%/ an en moyenne de 1958 à 1972) a été suivie par une période de croissance faible (2%/an en moyenne de 1978 à 2005). Ce mouvement peut comprendre des phases de récession (-1,3% en 1993, + 0,4% en 2008, -2,3% en 2009, +1,4% en 2010 et +1,7% en 2011). L'évolution du PIB mesure le rythme

  secteur   économique  :   la   part   du   secteur   primaire   va   fortement   diminuer,   ainsi   qu’une   baisse   du   secteur   secondaire,  tout  ceci  au  profit  d’une  forte  hausse  du  secteur  tertiaire,  avec   ce  que  l’on  appelle  l’évolution  des  TIC  (technologies  de  l’information  et  de   la  communication).     3. Une   évolution   des