La Souveraineté Populaire Rousseau

devenir populaire. (ex : Cote d’Ivoire) | Libertés abolies (de réunion, d’entreprendre…) | Libertés tolérées et limitées (par exemple, Tunisie/ tant que les constations ne sont pas graves, ça va mais sinon on peut éliminer) | Tunisie : régime fort, puis il peut paraitre sûr de lui donc il peut laisser de marche de mariné) Russie Totalitaire / Inde : démocratie (la plus grande démocratie) II. Les régimes démocratiques  A/ La marche vers la démocratie. Doc 13 p61 J.J Rousseau Ce qui

démocratie peut être directe ou indirecte, ceci dépendant du titulaire de la souveraineté, c'est-à-dire de celui qui exerce l’autorité législative, judiciaire et exécutive. Si c’est la nation, entité abstraite composée des hommes vivant sur un territoire donné, et inclut également la continuité des générations, de l’histoire, de l’intérêt général, et des valeurs communes d’un groupe social ; qui est titulaire de la souveraineté, on est dans le cas d’une démocratie indirecte, représentative, car la nation

violence. La seule exception est la notion de légitime défense. Il faut, cela étant, distinguer la souveraineté de la puissance de l’Etat : Souveraineté : La souveraineté est l’ensemble du droit interne et du droit international qui définit ce que sont les pouvoirs de l’Etat. Puissance : La notion de puissance renvoie aux moyens matériels qu’à l’Etat pour imposer sa souveraineté. La puissance de l’Etat, ce sont les moyens matériels qu’il a pour agir.

précédents en France et hors de France ÿ Quels sont les apports des Lumières ? o Les philosophes portent un regard optimiste sur les sociétés humaines : tous croient au progrès. o Ils exaltent l’individu, redécouvrent l’enfant (importance de Rousseau, Emile, 1762), et affirment le droit au bonheur. o La plupart plaident pour une adhésion à une religion « naturelle » mais sans aller jusqu’à remettre en cause l’existence de Dieu (Diderot le fait). Aux enseignements des Eglises, la plupart opposent

politiques. Différent de la religion il n’est pas fini une dimension nous échappe. L’organisation politique et juridique sont en vase clos, ils vont auto-évoluer paramètres intra et extrinsèque. Notre champ politique va se calquer sur l’exercice de la souveraineté. Lorsque l’on parle d’un Etat on peut difficilement comparer les différentes définitions de différente époque. Le système est en évolution permanente, il se perfectionne, ce qui fonctionne a une époque donné ne fonctionnera plus dans le futur

Section 1) théorie générale de l’état Le droit constitutionnel c’est le droit qui étudie le pouvoir politique. 4 concepts : • Le cadre d’exercice du pouvoir politique c’est l’Etat. • Ce qui fonde la légitimité du pouvoir politique, c’est la souveraineté. • Le statut de pouvoir politique c’est la constitution. • L’organisation du pouvoir politique repose sur la séparation des pouvoirs. Paragraphe 1) l’état ( l'institutionnalisation du pouvoir politique ) A) Le pouvoir politique 1°

Bernstein: écrit le chapitre suivant: L'horizon de l'État État dépositaire de la souveraineté. C'est aussi un ensemble de fonctions. Cours d'introduction très important car les notions de république, démocratie, état.... sont très souvent utilisées. Ne pas replaquer un plan d'un sujet que l'on a déjà traité, qui nous semble correspondre, qui nous semble d'un sujet proche. État: institution qui détient la souveraineté dans un régime démocratique, elle représente la société civile pour garantir

Vierge 18INTRODUCTION :     Cet extrait est une des œuvres écrites par Jean-Jacques Rousseau (1762) qui s’appelle “Emile ou de l'éducation". Cette œuvre est composée en 5 livres, en prenant la forme d’un roman, afin d'exposer les principes d'éducation des enfants.  A cette époque, c'était le temps de la monarchie absolue. Après la mort de Louis XIV en 1715, en raison des guerres successives et la construction du château de Versailles, les caisses de l’Etat étaient vides.      (Pour se remplumer

au peuple une chance d’exercer directement les compétences attachées à sa souveraineté sur certaine chose, par exemple lors d’un référendum. Cependant, dans une démocratie semi-directe, le souverain est obligé de déléguer les pouvoir de la souveraineté à des représentants meme si le souverain représente le peuple ou la nation. Mais, contrairement à la doctrine de la souveraineté populaire, la doctrine de la souveraineté nationale implique le refus de la démocratie directe et semi-directe, la

de gouverner seuls et que ce pouvoir doit être dans les mains d'experts. Peut-il exister une démocratie représentative? Le fait de représenter les citoyens dans l'exercice du pouvoir s'accorde t-il à une organisation politique dans laquelle la souveraineté doit et ne peut qu'appartenir à ses citoyens? Pour répondre à ces questions nous allons voir que la représentation est le pilier majeur de la démocratie (I) puis voir es effets pervers (II). I_ La représentation comme élément constitutif de